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Commentaires de livres faits par toutoun

Extraits de livres par toutoun

Commentaires de livres appréciés par toutoun

Extraits de livres appréciés par toutoun

— Non ! hurlai-je. Pas la baignoire ! J’ai peur de Brutus et Médor, et du petit serpent de Kir.
— Le serpent de Kir ?
Pour lui expliquer ce dont je parlais, c’était plus rigolo de jouer aux devinettes que de lui dire le mot, je fis onduler mon index devant son visage et le tendis d’un coup sec.
— Oh, se contenta-t-il de dire en faisant une tête si bizarre que j’explosai de rire.
Aidan commença à me faire des chatouilles, et je continuai de ricaner sans pouvoir m’arrêter. Quand il eut fini, j’étais toute nue, et je commençai à trouver ce jeu très plaisant. J’entrepris de le déshabiller aussi, mais il captura mes poignets et remonta le drap sur moi pour bloquer mes bras en dessous, jusqu’à ce que je renonce à lui faire des guili-guili coquins.
Vraiment, il n’était pas drôle, mais qu’est-ce qu’il avait de beaux yeux et une belle bouche, et et… bah, tout était beau chez lui. J’avais envie de le toucher partout, mais je me rappelai une bonne femme, petite et vieille, qui, je crus me souvenir, lui avait pincé les fesses. Et soudain, tout me revint en mémoire comme un boomerang qui me fit voir trente-six chandelles très salaces.
— Oh oh, j’essaie de ne pas t’imaginer en train de coucher avec Eileen, c’est très très dur. Oh non, j’y pense, là. Oh et Kir, tu l’as déjà vu nu ? l’interrogeai-je pour continuer sur le chemin du tout le monde à poil.
— Non, et j’espère bien que je n’en aurai jamais l’occasion.
— Tu as tort, c’est quelque chose !
Avez vous apprécié cet extrait ? +15
— Tu as emmené des humains avec toi ?
— Non. Des Vikaris.
Il écarquilla les yeux.
— Qu’est-ce qu’elles font là ?
— Elles écoutent Eminem.
— Eminem ?
— Ben ouais, je sais, moi non plus, j’aime pas. Où est Ballister ?
— Ballister est dans le coffre, sous sédatif, comme tu me l’as demandé. Qu’est-ce que tu comptes en faire ?
— Un sex-toy.
Avez vous apprécié cet extrait ? +35
— C’est la copine de mon frère qui lui a filé l’astuce, elle aussi elle ne perd rien pour attendre… En gros, la nana attend que tu sois à ça de l’orgasme, ou que tu viennes juste de t’en payer un, et là, bam, elle te demande ce qu’elle veut. Tu vas dire oui.
— Merde, c’est pas con ça… Et ça marche ?
— Un peu que ça fonctionne ! Elle m’a fait le coup deux fois. Mais maintenant que j’ai bien compris son manège, on va vérifier ma théorie.
— Qui est ?
— Eh bien se soir je vais lui brouter le minou et…
— Putain, mec ! T’as pas le droit de parler comme ça ! Y’a plus personne qui dit « brouter le minou » !
— Ben, tu dis quoi ?
— Un cunni !
— Ah ouais… Bon, si tu veux, ce soir je lui fais un cunni et juste quand je sens qu’elle va exploser, là je lui demande un truc improbable.
— Je vais tester aussi.
— Sérieux ? Tu me diras alors, je veux voir jusqu’où on peut aller avec cette astuce. Je sens qu’on va bien se marrer.
— Tu crois pas qu’on devrait faire passer l’info au boss et à Matt ?
— Mais carrément ! L’empire couillu contre-attaque, mec !
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
date : 19-03-2014
– Liz, je ne sais pas si je dois vous remercier ou non. Je sais que ma réputation me précède, vous connaissez donc mon rapport compliqué aux femmes.
– Quand vous dites « compliqué », vous voulez bien dire « expéditif » ?
– Je veux dire fade. Sans intérêt, creux, vide. Et je me dois de vous dire que vous êtes la première femme à qui j’offre un cactus.
– Je suis flattée, répondis-je avec un sourire.
– Vous voyez ? C’est exactement ce que je voulais dire. Vous êtes flattée quand d’autres seraient furibondes.
– La flatterie, c’est la phase deux de votre plan ?
– Pas tout à fait.
– Un feu rouge, un cactus… Vous êtes si romantique, monsieur Banks, raillai-je.
– N’est-ce pas ? Je savais que ça vous plairait, plaisanta-t-il
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
— Nous avons un produit exclusif conçu par notre enseigne dont nous sommes fiers, un produit à partir de produits 100 % naturels !
— Ça fait beaucoup de produits.
Et un couinement, un…
— Avec ce lubrifiant bio, aucun souci à se faire, que vous ayez un terrain allergique connu ou non, vous serez certaine de ne pas avoir de mauvaise surprise.
— Ne vous inquiétez pas pour mon intimité, avec toutes les choses qu’elle a déjà vues, elle se carre votre bio bien profond.
Son couinement se fait de plus en plus souffreteux.
— Oui, je comprends.
— Non, je ne pense pas, non !
Elle continue, je remarque que ses épaules se voutent lamentablement.
— Nous avons des menottes en mat…
— J’ai déjà.
— Nous avons aussi ce plug anal qui per…
— J’ai.
Elle commence à transpirer de la croupe la Miss Samantha.
— Voici un petit vibro.
— Celui qu’on peut passer autour du doigt ?
— Oui, c’est celui-là, me sourit-elle soulagée.
— Je l’ai déjà et j’en suis ravie. Je l’utilise quand je suis fatiguée et que j’ai la flemme de tenir Roberto.
— Roberto ?
— Mon godemiché fétiche.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
Scène 5 : Sarah

— Téléphone ! crie Sarah depuis la chambre.
— Ouais, ben décroche, je taffe là…
Toujours aussi aimable, lui. Elle se lève et répond.
— Résidence mal-embouchée, bonjour !
— Ouais, passe-moi Sandro.
— Bonjour à toi, Dante. Quel plaisir d’entendre ton auguste et délicieuse voix de bon matin.
— Ta gueule, Sarah, passe-moi ton mec, j’ai pas que ça à foutre.
— Sache que je t’emmerde, Dante, et que si je vais chercher Sandro, c’est uniquement parce que j’ai promis à Lola de coopérer.
— Tu crois que je suis là en train d’attendre que tu lui donnes ce putain de combiné pour quelle raison ? Elle nous a tous bien eus dans cette histoire.
— Sandro, ton frère au téléphone.
— Dis-lui que je suis pas là.
— Il sait que t’as pas couvert le téléphone et que j’entends tout ? réplique Dante.
— Je pense qu’il le sait, oui.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
– Pourquoi moi, Asher ? Je ne suis qu’une petite pute provinciale qui traîne un tas de valises. Tu pourrais avoir n’importe qui.
Je sens son cœur battre contre ma joue et son rythme régulier ne fait qu’augmenter ma perplexité.
– Pourquoi moi ?
– Mon chou, quand tu auras la réponse à cette question, nous ne parlerons plus.
Je m’écarte de lui et je le regarde en clignant des yeux.
– Tu seras parti ?
Il ébauche un sourire.
– Je serai en toi.
Avez vous apprécié cet extrait ? +27
(Maggie)

– Y-a- t’il quelqu’un dans ta vie, Maggie ? me demande ma mère à voix basse.
Elle réserve le chuchotement aux questions scandaleuses, comme le concubinage ou le sexe non destiné à la procréation.
– Essaies–tu au moins de trouver le véritable amour ? A moins que tu n’aies l’intention de continuer à forniquer avec des hommes de passage, en dehors du sacrement du mariage ?
– Tu veux dire que si j’étais mariée j’aurais ta bénédiction pour forniquer avec des hommes de passage, comme tu dis ? Je devrais peut– être revoir ma position sur le mariage, dans ce cas.
Avez vous apprécié cet extrait ? +24
Spencer se sentait comme nu sans son chapeau et sa canne alors qu’il était en extérieur. Il fournissait de gros efforts pour avoir l’air à l’aise alors qu’il aurait donné n’importe quoi pour ne plus se trouver sur ce toit.
Mademoiselle Leprince se pencha un peu trop à son goût et il eut le stupide réflexe d’accourir et de l’entraîner en arrière.
— Espèce de dindonneau ! Qu’est-ce qui vous prend ? pesta-t-elle en se dégageant de son emprise.
— Miss ! Vous étiez beaucoup trop près du bord ! s’indigna-t-il, vexé de s’être laissé submerger par sa phobie.
— Auriez-vous le vertige, Monsieur le Lord parfait ? le railla-t-elle en retournant contre le parapet sans le quitter des yeux.
— Absolument pas ! Je me sens juste responsable de votre vie ! se récria-t-il.
Elle s’assit sur le rebord et se pencha imperceptiblement en arrière, il ne put s’empêcher de faire un pas vers elle.
— Oh… Oh… Je vais tomber… se moqua-t-elle exagérément en agitant les bras comme si elle perdait l’équilibre.
— Mademoiselle ! Cessez ce stupide jeu séance tenante ! lui ordonna-t-il.
Mais cela ne fit qu’accroître l’envie que Rose avait de se jouer de lui et de sa peur des hauteurs. Elle passa une jambe et la laissa pendre dans le vide.
— Ouh la la… Que c’est haut ! articula-t-elle en se penchant un peu plus.
— Il suffit ! s’emporta Spencer en la rejoignant.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
— On s’en fout de l’appart. Il est très beau, hein, mais ce qui m’intéresse, ce sont les cookies de Cam.Je piochai une chips.
— Je n’aurais jamais dû évoquer cette conversation.
— Trop tard, répliqua-t-il la bouche pleine. Brittany gloussa.
— Il me tarde de savoir ce que « cookies » signifie.
— À mon avis, il parlait de sa bite, déclara Jacob en se laissant tomber sur le bras du canapé.
— Oh, mon Dieu, dis-je en me servant une poignée de chips.J’allais avoir besoin de nombreuses calories pour supporter le tour pris par cette discussion. Brittany acquiesça.
— Ça se tiendrait. Ça expliquerait qu’il ne veuille pas partager ses cookies avec une fille moche.
— Je ne pense pas que c’est ce qu’il avait en tête, tempérai-je en continuant mon grignotage. Bon, revenons-en à nos notes d’histoire…
— On s’en tape de l’histoire. Revenons-en à la bite de Cam, insista Jacob. Tu as conscience que si « cookies » est un nom de code pour dire « bite », cela signifie que tu as mis la sienne dans ta bouche ?
Je m’étouffai sur ma chips et avalai de grandes lampées de soda pour faire couler le tout. J’étais écarlate.
— Au sens figuré, bien sûr, précisa Jacob en souriant comme un benêt. (Il se releva d’un bond.) Je ne sais pas comment tu fais, Avery. Si j’habitais en face de chez lui, je serais posté devant sa porte de midi à minuit. Et je réclamerais sans arrêt ses cookies. Miam.
Avez vous apprécié cet extrait ? +61
date : 18-02-2014
— Qu’est-ce que tu veux ? lui lançai-je, peu aimablement.
— Faire mon boulot.
— Et alors, c’est quoi ton « boulot » ? dis-je en mimant les guillemets comme je l’avais souvent vu faire dans les séries américaines dont je me gavais adolescente.
Il croisa à nouveau les bras sur son torse (bave pas, Elle, c’est juste un torse) et me toisa comme il savait si bien le faire. Je l’imitai dans sa posture en le foudroyant du regard. L’effet obtenu fut loin de mes espérances : il me sourit. Comment résister à ce sourire ? C’était pourtant ce que je devais faire ! J’attendis sa réponse qui ne venait pas. Je m’impatientais mais j’étais assez honnête pour m’avouer que je n’avais aucune envie d’abréger ce tête-à-tête.
— Pourquoi m’as-tu aidée ? finis-je par demander.
— Parce que c’est mon rôle.
Gné ? Son « rôle », son « boulot » ? Ah, je comprends ! Nous étions toujours dans l’épisode de La quatrième dimension qui avait commencé la veille sur le pas de ma porte ! Je levai un sourcil interrogateur et il fit de même. Mince alors ! Je m’étais entraînée des années devant le miroir pour y arriver ! Je pensais que c’était super rare de savoir faire ça ! Il sourit (encore) devant mon air ahuri. Il fallait absolument qu’il arrête de sourire, je perdais tous mes moyens et ça ne m’aidait pas à gagner des points de crédibilité.
— Bon, si tu me parlais de manière non codée ? Genre, en français, ça te dit ? lançai-je, manifestant à présent très clairement mon impatience.
— Je suis un guide, lâcha-t-il, exaspéré.
Je vois, j’avais affaire à une sorte de Père Fouras et il fallait que je décrypte son énigme. Voyons voir… Il pouvait être un guide touristique, mais ça n’expliquait pas pourquoi il jouait à Superman. Il restait donc comme option… le guide spirituel ! Sérieusement ?
— C’est toi le gourou ! m’écriai-je, surprise.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
date : 18-02-2014
Je levai la main et caressai ses lèvres, il me laissa faire. Je pris une bonne dose de son sourire. Lui qui ne m’avait jusqu’à présent que lancé des regards assassins, le contraste était fascinant. Je le sentis tressaillir sous mes doigts, soupirer, et puis il sortit comme il était entré : en silence. Joshua était venu chez moi et je ne portais même pas de petite culotte. En effet, c’est capital comme information, mais c’est ce qui me vint en premier à l’esprit.
Avez vous apprécié cet extrait ? +4
— Ça m’étonne que tu lui aies pas fait du rentre-dedans, à celle-là. (Il me désigna d’un petit coup de menton.) C’est pas ton genre, mais elle est jolie.
Le genre de Jackson ? Il préférait probablement les pouffes alcooliques du bayou qui étaient déjà à poil avant même que la fête ait commencé.
— Elle est glaciale et c’est une pétasse arrogante, répondit Jackson en français, la voix grondant de colère. Une poupée complètement inutile – jolie à regarder, mais c’est tout.
e serrai les dents tandis que Lionel ricanait, déterminée à ne pas leur montrer que je comprenais leurs conversations.
Oh, je suis bien plus qu’une petite poupée inutile, le Cajun. Je suis une poupée esquintée. Et si tu savais ce qui se passe dans ma tête, tu ferais un signe de croix et tu prendrais tes jambes à ton cou.
Mais Jackson était perspicace. Il remarqua mes épaules tendues et ma mâchoire crispée.
En plissant les yeux, il se tourna face à moi tout en continuant de s’adresser à Lionel en français :
— C’est toi qui devrais lui faire du rentre-dedans, mais assure-toi de la remettre à sa place pendant que t’y es. Jamais vu une fille qui en avait autant besoin.
Je tentai de maîtriser ma réaction, sans savoir si j’y étais parvenue.
Quand la sonnerie retentit et que Lionel s’éloigna d’un pas traînant, Jackson me lança :
— Tu parles le français cadien ?
J’hésitai un instant, levai les yeux et jetai un coup d’œil par-dessus mon épaule.
— C’est à moi que tu parles ? demandai-je d’une voix confuse.
Avantage : Evie.
Jackson sembla abasourdi.
— Tu parles français !
— Hein ? Qu’est-ce que tu dis ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +43
J'ai juste l’impression que ma vie est compliquée en ce moment.
— Oh oh ! Ça sent la crise de queue, ça !
— Mais non, Ginger ! Il n’est pas question de queue…
Pourquoi est-ce que tu ramènes tout au sexe ?
— Peut-être parce que tout se résume à une histoire de cul ?
Je pouffe.
— N’importe quoi.
— OK, donc ça n’a rien à voir avec un mec ?
Je me tais quelques secondes C’est trop.
— Ah ! Je le savais ! Crise de queue ! Crise de queue !
— Arrête ça ! Disons juste qu’il se trouve que la cause
d’un de mes problèmes en a une, OK ? Enfin… Plutôt deux, d’ailleurs…
— J’y crois pas ! Tu sors avec un type qui a deux queues ?
— Ginger ! Je voulais parler de deux types, pas de deux pénis !
— Oh…, réagit-elle, manifestement déçue. Dommage, ça aurait été franchement chouette, ça.
— Je ne vois pas en quoi ça aurait été chouette.
— Ben, deux queues, deux trous… Je dis ça, je dis rien, moi !
Avez vous apprécié cet extrait ? +8
Je viendrai donc vous rejoindre dans votre lit, ce soir. Consentirez-vous à me recevoir de votre plein gré ?
Elle releva le menton.
— Tant que vous n’apportez pas votre hache…
Il esquissa un sourire.
— Rien que mes mains, alors. Et ma bouche. Et peut-être encore autre chose.
— Je suppose que vous faites allusion à votre sens de l’humour ? rétorqua-t-elle. À moins que ce ne soit votre charme enfantin.
Avez vous apprécié cet extrait ? +19
— Tu comptais me torturer pendant encore combien d’heures avant de te décider à m’appeler ?
Lucas.
— Je voulais juste… Lucas ? Pas ce soir… pas cette nuit, d’accord ?
Je m’apprêtais à appuyer sur la touche adéquate pour mettre fin à cette conversation quand je reconnus mon prénom.
Déjà vaincue par l’inflexion chaude de sa voix, je rapprochai à nouveau l’appareil de mon oreille.
— Rejoins-moi dehors… il pleut des cordes et j’aimerais qu’on discute… au hasard : chez toi.
Je me redressai brutalement, mouvement brusque qui engendra une horrible sensation de tournis très désagréable.
— Attends, tu… toi, tu n’es pas vraiment devant chez Romain, n’est-ce pas ?
— Bien sûr que si. Et je t’attends sous la flotte pour donner une touche dramatique au tableau que j’offre en costume Yves Saint-Laurent détrempé.
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
— Tu devras t’habituer à ce que je te morde, bébé, parce que ça va arriver très souvent.
— Dans tes rêves, Popeye. Mon orgueil ne me laissera sûrement pas tomber dans le lit du mec qui vient de passer des mois à jouer les indifférents. C’est un peu tard pour commencer à faire attention à moi.
Dante passa une main dans ses cheveux, un geste de possessivité qui énerva Jaime autant qu’il l’excita. Il immobilisa la jeune femme d’un regard.
— Tu ne vas pas tomber dans le lit de n’importe qui, Jaime, mais dans le mien. Ah oui. Tu peux le nier autant que tu veux, mais nous savons tous deux que ça va arriver. Je vais te prendre, je vais m’enfoncer en toi tout entier, et tu vas adorer ça.
Avez vous apprécié cet extrait ? +26
— Je fais des efforts. Vraiment. Mais mon amour pour elle est comme une diarrhée. Je suis incapable de le contenir, rétorqua Dominic en mettant les mains sur son cœur.
Avez vous apprécié cet extrait ? +33
— Ne fais pas attention à elle, conseilla Taryn à Jaime. Ne laisse pas cette vieille sorcière sénile te taper sur les nerfs. C’est son seul plaisir dans la vie.
— Je t’ai entendue, intervint Greta.
— C’est pas comme si je murmurais, dit Taryn en adressant un regard suppliant à Jaime.
As-tu des tuyaux à me donner pour m’aider à vivre avec cette tatie Danielle ? Tu la connais depuis bien plus longtemps que moi.
— Attention à ne jamais lui mettre de lumière dans les yeux, l’arroser ou la nourrir après minuit, répondit Jaime en pinçant les lèvres.
Avez vous apprécié cet extrait ? +14
— C’est quoi ces messes basses ? demanda Dominic à Jaime.
— Si je te réponds je vais devoir te tuer.
Il fit semblant de faire les gros yeux puis il regarda vers le bas en prenant un air perplexe.
— C’est un pantalon d’astronaute que tu as là ? lui demanda-t-il.
— Comment ?
— Parce que ton cul me donne envie de m’envoyer en l’air.
Avez vous apprécié cet extrait ? +24
– Tu t’es évanouie.
Il redressa la tête, le front plissé. Pivotant légèrement, j’aperçus Dani et les autres près du mur, et je réalisai que Sam soupçonnait ma sœur de m’avoir fait mal.
Je secouai la tête afin qu’il comprenne que ce n’était pas le cas.
Cas s’assit à côté de moi sur le lit et posa sa main sur ma jambe.
– J’ai proposé de te faire du bouche-à-bouche mais Sam a refusé. Je ne sais pas pourquoi. J’avais pourtant promis de ne pas mettre la langue.
Je gloussai. Sam, les sourcils toujours froncés, décrocha la main de Cas de mon genou, un doigt après l’autre.
– Je suis sûr qu’Anna apprécie ton dévouement, dit-il, mais elle n’avait aucun mal à respirer.
– Simple détail, souffla Cas en haussant les épaules.
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date : 29-01-2014
(Glass)
— Je t’aime, laisse-t-il échapper dans un murmure.
Peu importe le nombre de fois qu’il lui a répété ces mots, elle en tremble chaque fois. Elle se détache de lui le temps de reprendre son souffle.
— Moi aussi, je t’aime.
Elle se replonge alors dans le baiser, lui caressant tout en douceur le dos jusqu’à atteindre la bande de peau découverte entre son T-shirt et sa ceinture.
— Faisons une pause, l’arrête Luke, hors d’haleine.
Ces dernières semaines, il est devenu de plus en plus difficile d’empêcher les choses d’aller trop loin.
— Non, pas cette fois, lui dit Glass, en lui adressant un sourire plein de promesses. En plus, c’est mon anniversaire, lui glisse-t-elle à l’oreille.
Luke éclate de rire avant de lâcher un grognement. Il se redresse en soulevant Glass dans ses bras.
— Repose-moi par terre ! rit-elle en battant des jambes. Mais à quoi tu joues ?
Luke avance de quelques pas vers la porte.
— Je t’emmène à la Bourse d’échange. Je vais te troquer contre une fille qui n’essaiera pas de me causer des problèmes tous les quarts d’heure !
— Eh ! s’exclame-t-elle d’un ton faussement indigné avant de tambouriner des poings sur sa poitrine. Repose-moi !
Il se détourne de la porte.
— Tu promets de te tenir tranquille ?
— Quoi ? C’est quand même pas de ma faute si ton sex-appeal me donne envie de te toucher partout…
— Glass, l’avertit-il.
— Oui, oui, je promets, d’accord.
— Tant mieux, dit-il en allant la déposer précautionneusement sur le canapé. Sinon, j’aurais pas pu t’offrir le cadeau que je t’avais trouvé.
— C’est quoi ? demande-t-elle en s’asseyant.
— Une ceinture de chasteté, annonce Luke, plein de sérieux. Pour moi. Je l’ai trouvée à la Bourse d’échange. Ça m’a coûté une petite fortune, mais c’était nécessaire pour protéger ma…
Avez vous apprécié cet extrait ? +10
date : 28-01-2014
— Et qui est Emma ? demande Matthias à A2.
— Son premier amour, ils se sont mariés quand ils avaient cinq ans d’après ce que mes parents m’ont dit. Ensuite ils ont divorcé à huit ans parce qu’ils se disputaient tout le temps. À douze ans, ils ont été chacun punis pendant deux mois pour avoir été surpris en train de fumer une cigarette volée au père d’Emma. Et il me semble bien qu’à quatorze ans, ils ont perdu leur virginité ensemble.
— Ça va, je ne vous dérange pas ? demande Yoan entre ses dents.
— Ah, j’oubliais, ils se sont fait faire un tatouage aussi, le même, au même endroit, une histoire d’amitié pour la vie…
Avez vous apprécié cet extrait ? +1
— Je veux juste dire qu'on est collègues, pas amis. Ça m'étonnerait que tu parles aux autres pilotes de leurs pénis.
L'exaspération d'Evan céda le pas à l'amusement. Elle avait rosi en prononçant le mot. Il se fendit d'un large sourire et répondit :
— Non, on ne discute pas de nos pénis, ça serait vraiment bizarre. Par contre, on fait allusion à nos queues, de temps en temps. On se vante de la nôtre, on se moque de celle du copain... Les mecs abordent facilement ce sujet, entre eux. Tu sais, leurs zobs.
Avez vous apprécié cet extrait ? +2
— Je sais bien. Tu es une super copine. Si tu n’étais pas là, je deviendrais folle, et je t'en suis vraiment reconnaissante. Mais je ne veux pas faire les gros titres de la presse spécialisée sous prétexte que je suis dotée d'un utérus.
— Oh, à mon avis, les mecs s'intéressent plutôt à ton vagin. À ta foufounette. A ta cheminée à ramoner.
C'était là appeler les choses par leur nom. Kendall s'apprêtait à expliquer à son amie ce qu'elle pensait de ses métaphores quand elle perçut un rire étouffé derrière elle. Génial, quelqu'un les avait entendues.
— C'est ce qui arrive quand on fait concourir une femme dans les championnats ? Au lieu de discuter châssis et réglementation des plaques minéralogiques, on cause utérus et foufounette ?
Alors là, c'était la meilleure. Ce n'était pas juste « quelqu'un ». C'était ce satané Evan Monroe. Juste derrière elle. Et voilà maintenant qu'elle se sentait minuscule, ridicule et furieuse. De tous les gens qui se pressaient alentour, il fallait que ce soit lui qui surprenne leur conversation. Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?
Avez vous apprécié cet extrait ? +5
— Tu ne peux pas t'unir avec moi et espérer vivre. J'essaie de te sauver la vie !
L'ironie du moment n'échappa pas à Rune. Elle essayait de le chasser pour lui sauver la vie, exactement comme il avait essayé de sauver Tiago en l'empêchant de s'unir à Niniane. Tiago lui avait dit : « Un de ces jours, tu vas trouver ta compagne de vie. Et peut-être qu'elle sera wyr, ou peut-être pas. Alors tu comprendras exactement ce que tu as bien failli me faire. »
Je comprends maintenant, Ti. Je comprends.
La vie n'avait pas d'importance s'il perdait Carling et qu'il se retrouvait avec une éternité de désespoir devant lui. Il échangerait volontiers tout ce temps contre un seul jour avec sa compagne.
— Je ne veux pas que tu sauves ma vie, je veux que tu me donnes la tienne, fit-il en la transperçant du regard.
— Rune...
Il la coupa :
— Est-ce que tu te souviens de ce que je t'ai dit ? C'était il y a très longtemps pour toi, tellement longtemps que je vais le répéter. Si tu échoues - si tu meurs - je chercherai un moyen de remonter le temps pour te trouver. Peu importe où. Peu importe quand. Je le jure.
Avez vous apprécié cet extrait ? +9


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