Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 477
Membres
1 006 511

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

A contrario, il est proposé des programmes de type soins palliatifs : "Gérer votre stress au travail" ; "Réussir sa vie"... Tu parles, Charles !

Afficher en entier

Parce que le con qui progresse dans l’institution est un danger, pour vous, pour les autres, pour les organisations et donc, à terme, pour la nation, il est impératif de lutter avec détermination contre les cons au bureau. C’est même un devoir, un acte citoyen 

Afficher en entier

La vérité, comme souvent, doit se situer dans un entre-deux. Si le con au bureau ne se voit pas, en revanche, il s’y voit déjà. Il s’imagine, il se projette, il s’envisage, il se rêve. Bon d’accord, surtout, il vous emmerde, mais là n’est pas mon propos

Afficher en entier

Devenu phobique aux cons au bureau, vous dissimulez avec plus ou moins de talent votre « insupportation » dès lors que vous vous trouvez en leur présence. C’est ennuyeux ! Si un con doit évidemment être pris pour ce qu’il est, à savoir un con, il n’est pas très utile qu’il soit tenu informé heure par heure de votre opinion. Le con n’aime pas du tout être pris pour ce qu’il est.

Afficher en entier

Reconnaître le con au bureau, vous l’admettrez à rebours, est d’une simplicité déconcertante, c’est purement animal. La répulsion est aussi immédiate que physique. C’est bien simple, tout en eux vous révulse : leur façon de parler, de rédiger leurs e-mails, d’être, de rire et de hurler, de boire et de pisser, de manger et de faire chier. Pour faire simple, ce qui vous révulse le plus chez eux, c’est très globalement leur façon de tout. De sorte que l’on peut admettre ici le postulat que d’un con  – parce que cela se ressent et que cela se pressent  –, vous pouvez en un coup d’œil évaluer le potentiel de saloperie qu’il s’apprête à commettre

Afficher en entier

L’humanité, c’est aussi cela ! Et si je ne dispose pas de statistiques précises sur le taux de reproduction des cons au travail, de très nombreux témoignages indiquent que ça doit y aller fort… Un peu comme lors de la Première Guerre mondiale, où chaque famille connaissait au moins un mort, un peu comme pour le chômage, où chaque famille compte ou a compté un demandeur d’emploi, tout le monde connaît un con au bureau. Bref, il y a de très grandes chances  – c’est là évidemment une façon de parler  – que vous vous trouviez dans une foutue merde

Afficher en entier

Cela fait certes moins hype et in the move dans les dîners mondains, et vous sentez dans les yeux de votre partenaire comme un tassement, voire un effondrement de son admiration. C’est un petit peu ennuyeux pour l’ego, mais cela présente au moins le mérite d’être sincère. Le privilège de l’âge étant, au bout du bout, d’arrêter de se mentir tout en continuant, par schizophrénie parentale, à faire croire pêle-mêle à ses enfants que le Père Noël existe, que Dieu aussi d’ailleurs, mais qu’il fait moins de cadeaux et n’a pas vu le reportage sur le Darfour. Qu’enfin, si certains enfants se comportent comme des cons, c’est qu’ils sont malheureux, même si, vous le savez très bien, petit con deviendra grand… Et là, vous savez de quoi vous parlez… il se trouve que le con au bureau, c’est son père

Afficher en entier

Aussi, face à tous vos nouveaux projets à vocation d’assassinat d’hypocrisie, vous interrogez-vous. Vous vous posez ainsi mille et une questions : « Que s’est-il passé pour que j’en sois arrivé là ? » ; « Quel génie malfaisant a pu ainsi et à ce point torpiller mon légendaire entrain et changer mon paradis originel en no man’s land répulsif ? » ; « Qui a pu transformer mes journées en centre d’entraînement à la guérilla urbaine ? »… Allez, ne cherchez plus, c’est ce con au bureau. Ce constat sibyllin laissant à penser que les cons, lorsqu’ils ne déclarent pas des guerres propres, se replient dans les bureaux pour foutre le bordel

Afficher en entier

Malgré la complexité liée à la multiplicité des variables à intégrer, je vous propose de revisiter la non-définition de Jean Rigade  – non-définition qui s’applique aux cons en général et, pour ce qui nous concerne ici, adaptée aux cons au bureau en particulier 

Afficher en entier

Au même titre que Dieu, les trous noirs, la réussite ou la non-réussite d’une crème renversée, ou la prolifération des nains de jardin, le con au bureau est à lui tout seul un défi aux lois de l’Univers. Comme, très curieusement, il n’a jamais fait l’objet d’études ni poussées ni poussives  – et bien que ses ancêtres polluent les ambiances de travail depuis que les ambiances de travail existent, et qu’il n’y ait pas une personne au travail qui ne soit tombée un jour sur un con  –, il est encore, au jour où j’écris, difficile de s’accorder sur une définition vraiment précise du con au bureau

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode