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Commentaires de livres faits par Treillis

Extraits de livres par Treillis

Commentaires de livres appréciés par Treillis

Extraits de livres appréciés par Treillis

Je voulais lui demander tout un tas de chose. Je voulais en savoir un peu plus sur Rosie, le chien guide qui avait précédé Brady. Je voulais savoir ce qu'il faisait pour s'amuser, s'il avait une petite amie, ou de préférence un petit ami. Je n'avais pas la moindre idée quant à savoir s'il était gay et je réalisai que même s’il ne l'était pas, je voulais en apprendre beaucoup plus sur cet homme. Alors, au lieu de poser ce genre de question, j'en posai une concernant tout autre chose.
- Que faites-vous samedi ?
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Mais où que tu sois, dans cette vie ou dans une autre, dans ce monde ou ailleurs, je te retrouverai.
Il me suffira de marcher droit devant, et à un coin de rue, dans une allée de magasin, dans la voiture de derrière, sur une plage du Pacifique, dans un désert aride, une oasis, le quai d'une gare de métropole, dans un wagon de métro, sur le siège d'un avion, en mer, sur terre, dans les airs, je te reconnaîtrai. Tu prendras ma main, je la serrerai contre moi, à l'endroit du coeur, et tout me reviendra.
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"Découvrir que ses chères énigmes n'amusaient qu'elle, que le jeu intellectuel tombait en désuétude au profit de la facilité scénaristique..."
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"Je comprenais mieux pourquoi le roman de mystère ne se publiait plus. Quel éditeur voudrait courir le risque de publier des ouvrages qui, au mieux, se classeraient dans la catégorie de la masturbation intellectuelle..."
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date : 22-06-2014
Extrait
Bienvenue !

J'aime plus que tout la simplicité de la vie rurale, rythmée par la nature.

Lorsque ma famille et moi séjournons dans notre maison de campagne, nous consommons principalement des produits issus de notre jardin, de fermes voisines, et de parties de chasse, de pêche ou de cueillette. Nous consacrons notre temps libre à découvrir les richesses de la région, de ses artisans et de ses cultivateurs, à récolter des cerises ou des noix, et à pêcher sur le lac ou le long de la côte.

J'utilise une cuisinière à gaz à deux brûleurs et un four à pain extérieur, alimenté au bois. Lorsque des amis nous rendent visite, nous passons des heures à table, à bavarder et à rire autour d'un bon repas.

L'objectif n'est pas d'impressionner nos convives en accomplissant des prouesses gastronomiques ou en servant des plats sophistiqués, mais de vivre un moment de complicité et de célébrer ce que la nature nous offre si généreusement.

Ma cuisine et mes recettes se veulent authentiques. Je n'emploie pas d'ingrédients exotiques ou difficiles à se procurer.

En revanche, j'apprécie le luxe de savourer une pêche mûre, parfumée et juteuse, un poisson brillant péché le jour même ou un morceau de viande de qualité provenant d'une bête élevée à la ferme.

C'est cette simplicité qui est à la base de cet ouvrage, qui propose une approche de l'alimentation et de la cuisine privilégiant le savoir-faire, la convivialité, l'emploi d'aliments frais et l'aptitude à vivre dans le présent, en profitant pleinement des produits de saison.

Une telle démarche est transposable partout dans le monde car, dans tous les pays, des personnes engagées vouent leur existence à la production d'aliments et de vins de qualité.

Comment ne pas être attiré par un mode de vie plus sain et plus authentique dicté par la nature et ses multiples richesses ?

En ville, j'adopte cette même approche en allant faire mes courses au marché pour apprendre à identifier les produits de saison, en cultivant mon carré de potager, en allant à la rencontre des producteurs locaux et en consacrant davantage de temps et d'attention à mon bien-être et à celui de mes proches.
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« J'étais dans un état de panique totale », dit-il. « Les automobilistes qui me prenaient en stop me croyaient malade, et l'un d'eux voulut me conduire dans un hôpital. La seule chose que j'avais en tête était un sentiment c: culpabilité. J'avais tué Oliver. J'étais aussi responsable c: sa mort que si je l'avais poussé. »
Comme tout à l'heure, les mots de Ned me disaient une chose, et son regard m'en disait une autre.
« Culpabilité proclamait-il tout haut, et télépathiquement je percevais satisfaction. « Responsable de la mort d'Oliver », affirmait-il, et, derrière cela, il fallait comprendre : excité l'idée que quelqu'un avait pu se tuer par amour pour moi « Panique », disait-il, et derrière ces mots il triomphait ravi de mon pouvoir de manipuler les autres.
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« Accepte le monde tel un théâtre de Dieu ; sois le masque de l'Acteur et laisse-le jouer à travers toi. Si les hommes te louent ou te sifflent, sache qu'ils sont eux aussi des masques, et prends le Dieu intérieur pour seul critique et seul spectateur. »
( Sri Aurobindo - Aphorisme 250 in "Pensées et Aphorismes" Tome II. )
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- Nous n'avons pas précisément une Amérique, dit Vornan. Je viens de la Centralité. Les mots ne sont pas conformes et il est difficile pour moi de comparer même approximativement...
- L'Amérique a disparu ? Comment cela se peut-il ? Quand cela s'est-il passé ?
- Oh! pendant le Temps du Grand Nettoyage, je suppose. Beaucoup de choses ont changé alors. Il y a longtemps. Je ne me souviens pas d'une Amérique.
F. Richard Heyman vit dans ces paroles l'occasion d'un possible bénéfice historique. Il se tourna vers Vornan et lui demanda: « A propos de ce Temps du Grand Nettoyage que vous mentionnez parfois, j'aimerais savoir... »
Il fut interrompu par un flot de cris indignés poussés par un président proche de l'apoplexie.
« L'Amérique di... dis... disparue ? Le ca... ca... capi.... pitalisme en ... enterré ? Ce... ce... ce ... n'est pas vrai ! je... je... je vous dis... dis... dis... »
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Était-ce que j'avais en tête quand j’ai pris les rênes ? Qu'avais-je en tête ? Y avais-je seulement quelque chose, mis à part le fait que tout s'écroulait et que mon devoir était de tout faire tenir ? C'était ça, je crois. Le monde sombrait dans le chaos J'ai le désordre en horreur ! Tarit d'agitation, tant de confusion : hommes à l'agonie, nations déjà mortes, hordes sauvages écumant le pays, plus rien n'était simple, la simplicité avait disparu de ce monde. J'aime la simplicité: une structure bien nette, harmonieuse et satisfaisante pour l'esprit. Une nation, un gouvernement, un ensemble de lois, le règne de l'un jusqu'à l'horizon. J’avais soixante-treize ans et j'étais solide. Le monde avait des millions d'années et il était faible. Je ne supportais pas le chaos. Je crois que fondamentalement tous ceux qui ont régné sur le monde haïssaient le chaos plus qu’ils n’aimaient le pouvoir. Napoléon, Attila, Alexandre, Gengis, même ce pauvre fou de Hitler : ils voulaient tous que les choses soient simples et nettes. Ils avaient la vision d'un ordre, en somme, et ils n'ont pas, vu comment atteindre cet ordre, sinon en l’imposant eux-mêmes au monde. Comme moi je l’ai fait. En fin de compte, naturellement, ils ont engendré plus de chaos qu'ils n'en ont supprimé, et c’est eux-mêmes qu'il a fallu supprimer. Voir Hitler. Je n'ai pas commis une telle erreur. Je lutte jusqu'au bout contre l’entropie. Je m’offre, moi Gengis II Mao IV, en tant que symbole d'unité, foyer de l'énergie planétaire, cristal la de la simplicité. Mais, ô père Gengis, ces sessions plénières, ce, bourdonnement, ces mouches à merde! Avais-tu un Horthy pour te haranguer, père Gengis ? Devais-tu rester à te tourner les pouces en rêvant d'un cheval rapide et de la morsure du vent glacé, pendant qu'un Parlator ou un Blount déversaient leurs discours. Misère! Était-ce pour cela que je me suis chargé du chaos d'un monde pourrissant ?
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date : 23-02-2014
Note de bas de page :

C'était aussi l'opinion de Léonard. « J'avais bien saisi son foutu sourire dans les esquisses », avait-il dit à Rampa en sirotant du vin frais sous le soleil de midi, « mais il est parti dans tous les sens sur le tableau. Son mari a émis quelques protestations quand j'ai livré la toile, mais je lui ai dit: "Allons, Signor del Giocondo, après tout, à part vous, qui va le voir, ce tableau ? " Enfin, bref... vous pouvez m'expliquer encore une fois cette histoire d'hélicoptère ? »
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date : 23-02-2014
Note de bas de page:
Avec le contrat de garantie standard pour les ordinateurs, qui stipulait que si la machine 1) ne fonctionnait pas, 2) n'accomplissait pas les performances promises par de dispendieuses campagnes publicitaires, 3) électrocutait le voisinage immédiat, 4) et en fait ne se trouvait même pas dans son coûteux emballage lors de l'ouverture, pour tout ceci, la responsabilité ou la compétence du fabricant n'était engagée expressément, absolument, et implicitement en aucune façon; que le client devait s'estimer heureux qu'on l'ait autorisé à donner de l'argent au fabricant et que toute tentative pour traiter ce qui venait d'être acheté comme la propriété du client éveillerait aussitôt l'intérêt de messieurs sérieux dotés d'attachés-cases menaçants et de montres extra-plates. Les garanties qu'offrait l'industrie de l'informatique avaient beaucoup impressionné Rampa. D'ailleurs, il en avait expédié une pile En Bas à l'intention du service qui gérait les contrats sur l'Âme immortelle, accompagnée d'un mémo sur papier jaune où il avait simplement écrit: « Vous avez encore à apprendre. »
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« l'après-midi d'or de la race humaine »
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date : 21-02-2014
« J'ai vu une fois un homme dans un donjon, un meurtrier, dont les pensées étaient plus pures que celles du diacre venu lui apporter réconfort »
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Une dame part en avion avec son canari.
Elle est très émue.
« Vous comprenez, dit-elle, c'est son premier vol. »

Pendant une croisière en Méditerranée, un passager s'informe « Où le canal de Suez prend-il sa source? »

Une dame désirait, dans un hôtel, « une chambre cinglée » qui était en réalité une chambre « single ».

Une Parisienne en vacances à Villard-de-Lans racontait
« Je suis entrée dans une congénère et j'ai eu beaucoup de mal à en sortir. »
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date : 16-02-2014
- Cinq cents francs, ça fait combien?
demande le garçon de café condamné à une amende.
- Ici, monsieur, c'est service compris,
lui répond le président.

Un chauffeur routier comparait devant un tribunal et se présente les mains dans les poches
- Sortez vos mains de vos poches,
s'écrie le président.
- Vous vous croyez au volant de votre camion!
- Vous avez sept enfants?
demande le président à une prévenue.
- Oui, répond-elle,
et ils ont chacun leur père.

Emportée par son éloquence,une avocate déclare devant la Cour
- Messieurs, mon client est un homme comme vous et moi...
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« Qui sait si les personnes qui peuplent ce livre n'auront pas pu avoir vécu dans fort longtemps en Californie du Nord ?
The people in this book might be going to have lived a long, long time from now in Nothern California. »
— phrase d'ouverture du livre
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Bill est un chien, mais pas un chien comme tous les autres. (...)
Surtout, il y a ses oreilles. Les oreilles de Bill font tout son charme, et ce sont probablement les seules oreilles préhensiles de tout le règne animal.
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date : 08-02-2014
"Au foot, j'ai mis un putain de cachou à Claude qui jouait le goal. Je l'ai explosé, il a pas touché sa canette."
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PRÉFACE

L’itinéraire de Rolande Gaboriaud est l'histoire d'une âme éprise de justice, sensible à l’amour, fidèle au passé, enrichie d'espérance.
Vous suivrez le poète dans son émouvant cheminement depuis le village qu'éclaire la luminosité de L’enfance jusqu'à ce lit d'hôpital où un accident la cloître provisoirement et la livre à la méditation.
Poignant hommage à ses père et mère disparus qu'elle honore avec vénération. Souvenirs romantiques de sa première communion, de ses jeunes tendresses, de ses bonheurs partagés ; mélancolie face à la fuite de ces instants qu'on souhaiterait retenir.
De sa rue Ravignan dont elle observe finement, le quotidien, Rolande Gaboriaud se reporte à son cher village qu'elle poétise délicatement; elle songe à L’amour qui n'est pas marivaudage, au sortilège des sentiments, à la vie génératrice de souffrance et de joie, à la fragilité de L’humain'
Elle nous dépeint les colères de la mer, la féerie d'un clair de lune, d'autres scènes qui lui sont familières, en touchantes images où, à travers la ronde des mots, on découvre la fraîcheur de L’inspiration.
Que d'années couchées au cimetière ! Mais la cruauté de la vie n'empêche pas l’oiseau bleu de voler vers la lumière et c'est à Notre-Dame de Fourvière, à Notre-Dame de Royan que le poète adresse, dans la belle simplicité du vocabulaire et dans L’humilité, ses actions de grâce.
On comprend mieux la sincérité, l’authenticité des poèmes que nous offre Gaboriaud, comme une confession chuchotée, quand on sait la ferveur de son activité culturelle, en particulier à la société littéraire des P.T.T. ; L’ardeur qu'elle apporte à ses conférences notamment sur Claudel, Péguy, Eluard, Saint- John Perse, son attachement au Cercle Aliénor dont elle est vice-présidente.
L'Ordre national du mérite a justement récompensé cette oeuvre de choix, cette vie accomplie.
Pierre Osenat.
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