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Trilogie Underworld USA, Tome 1 : American Tabloïd



Description ajoutée par Haye 2012-11-22T12:45:46+01:00

Résumé

"Malgré son poids,"American Tabloid" tient de l’épure tant il semble que l'auteur ait taillé à la serpe dans un manuscrit que l'on imagine colossal.

Plein comme un oeuf,"American Tabloid"requiert une attention de tous les instants:une simple ligne parcourue d'un oeil distrait,et c'est une conspiration ,un retournement de veste ou un cadavre qui risquent d'échapper au lecteur.Il n'en fallait pas moins pour passer au scalpel les mille jours de l’administration Kennedy et dresser le tableau dantesque des cinq ans qui courent de novembre 1958 au 22 novembre 1963 à Dallas..."

Bruno Gendre/Libération

Traduit de l'américain par Freddy Michalski.

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Classement en biblio - 119 lecteurs

extrait

Elle ne savait pas que M.Hoover ne baisait qu'avec le pouvoir.

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Commentaire le plus apprécié

Diamant

Quel livre, une écriture, un style vraiment génial.Ellroy nous montre la face cachée de l'amerique sous les kennedy (mafia, corruption, drogue, anti catriste etc)

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Commentaires récents

Diamant

On plonge avec ce livre dans les histoires sordides du pouvoir et de la mafia des années 60 pour finir en apothéose avec l'assassinat de Kennedy ... alors ? Un tireur ? Plusieurs ? La mafia ? Un détraqué solitaire ?

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Bronze

Gran fan du "Quatuor de Los Angeles", plaçant James Ellroy dans mes auteurs Favoris, j' ai beaucoup de mal avec son nouveau style épistolaire. Ayant changer radicalement de style, sa plume est pour moi trop cisaillée, trop brusque. Ca me fait d'autant plus de mal de ressentir cela car nous retrouvons une intrigue documentée et des révélations sur la période des années Kennedy. Encore une fois, l'auteur nous décrit une vie américaine sans détour et les dessous des élections et des cents jours de la gouvernance de John F Kennedy. Et nous comprenons pourquoi le dram du 22 novembre 1963 a eu lieu. Malheureusement, l'auteur n' a pas réussi à m' embarqué dans sa prose.

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Bronze

Le choix du sujet est intéressant mais j'ai trouvé le livre compliqué à suivre et trop long. Pour moi il y a trop d'histoire différentes par rapport au but du livre même si elles ont des personnages en commun qui finalement ne vont pas tous participer à la fin de l'histoire. Donc Bof : pas mal mais long !

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Diamant

Rien ne peut être plus cruel et plus risqué que l'idéalisme déçu. L'amour inconditionnel se transforme vite en haine profonde et parfois irrémédiable. L'idéal et l'humiliation sont des vecteurs dangereux. Ward J. Littell en est l'effigie, l'emblème dans American Tabloïd. Il apparait furtivement dans Perfidia. Je dirai qu'il manque le lien entre ces deux livres pour savoir pourquoi Littell est tel qu'on le découvre dans les premières pages d'American Tabloid, alors qu'on l'a laissé « autre » dans Perfidia, mais je fais toute confiance à Ellroy pour trouver la jonction. Ward J. Littell est un saint jetant sa foi aux orties pour boire au chaudron du Diable. Nous sommes dans l'Histoire : les Kennedy, la Mafia (je devrais peut-être dire les mafias), le FBI, la CIA, Cuba. Foisonnant, limpide et pourtant tellement, tellement, tellement ….. dense. Je n'ai pas trouvé de longueurs, juste cette cadence soutenue qui ne souffre aucune distraction d'attention. Je concède que l'imbroglio cubain peut paraître par moment touffu pour ne pas dire un peu obscur.

La réalité et la fiction sont si emmêlées, si imbriquées, si semblables aussi que tout paraît impitoyablement vrai. Une trame très serrée commençant par une tentative de vol de voiture et se terminant par le jour de l'assassinat de Jack Kennedy. Plusieurs intrigues, des personnages principaux, secondaires, furtifs. Collusions, recoupements, trahisons, complots, meurtres, extorsions, une foule d'événements grands et petits qui tels des ruisselets se rejoignent peu à peu pour former un fleuve qui va tout balayer sur son passage.

Je suis d'accord avec Darkcook, Ellroy est plutôt « gentil » avec Jack et Bobby Kennedy, disons qu'il ne leur enfonce pas trop la tête sous l'eau.

Les Mafieux – réels ou fictifs – sont décrits comme de dangereux abrutis ce qui nous donne un festival de dialogues idiots, drôles et très souvent en-dessous de la ceinture. On finirait par se demander comment ces personnes peuvent être aussi redoutées. Les écoutes téléphoniques sont délicieuses.

Les extrémistes de droite, les membres du Ku Klux Klan sont définis comme des bandes de tarés psychopathes de la meilleure eau.

Hoover est un monstre qui détruit tout ce qu'il touche, obsédé par la gauche, la pensée de « gauche », les communistes. C'est une sorte de dieu sanguinaire sur son piédestal attendant les sacrifices.

James Ellroy les passe à la moulinette de sa sagacité, son acidité, sa férocité, sa prose satirique, sa plume caustique s'en donne à coeur joie. Comme toujours j'adhère complètement.

Et puis il y a Kemper Boyd, Pete Bondurant, Ward J. Littell. Ce ne sont pas des saints, on pourrait même dire qu'ils sont des criminels. Boyd et Littell sont du FBI, Bondurant est un ancien flic devenu escroc, homme de main « à tout faire », J'ai eu une grande sympathie pour eux avec même l'envie qu'ils s'en sortent (pourtant leur âme n'est pas parsemée de fleurs des champs). James Ellroy leur donne une humanité, une charge émotionnelle, une forme de nudité morale qui appelle la compassion et la clémence. Dans le désespoir de leur âme noircie subsiste une flamme d'amour et de pardon. Pourtant la folie les a depuis longtemps pris dans ses bras.

Il est toujours une question de rachat chez Ellroy ; et là qui rachète qui ? Et quoi ? Littell et sa foi chrétienne dénaturée ? Boyd et sa revanche sociale impossible ? Bondurant et son péché originel insoluble ? Qui sont ces trois hommes ? Pris dans les filets de l'Histoire, foulés par celle-ci ; figures de papier ? Ombres chinoises ? ils s'assemblent, se ressemblent (Ward Littell ne devient-il pas un double de Kemper Boyd à la fin ? )

Les personnages de femmes sont en arrière plan dans ce roman, elles passent ; elles servent de balise des sentiments. Elles sont pour le sacrifice et la revanche. Elles sont invisibles et pourtant bien là. On croirait presque qu'elles attendent leur heure.

Un salut amical au personnage de Lenny Sands, trublion sans gloire et sans joie.

Un livre comme un credo

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Diamant

Rien ne peut être plus cruel et plus risqué que l'idéalisme déçu. L'amour inconditionnel se transforme vite en haine profonde et parfois irrémédiable. L'idéal et l'humiliation sont des vecteurs dangereux. Ward J. Littell en est l'effigie, l'emblème dans American Tabloïd. Il apparait furtivement dans Perfidia. Je dirai qu'il manque le lien entre ces deux livres pour savoir pourquoi Littell est tel qu'on le découvre dans les premières pages d'American Tabloid, alors qu'on l'a laissé « autre » dans Perfidia, mais je fais toute confiance à Ellroy pour trouver la jonction. Ward J. Littell est un saint jetant sa foi aux orties pour boire au chaudron du Diable. Nous sommes dans l'Histoire : les Kennedy, la Mafia (je devrais peut-être dire les mafias), le FBI, la CIA, Cuba. Foisonnant, limpide et pourtant tellement, tellement, tellement ….. dense. Je n'ai pas trouvé de longueurs, juste cette cadence soutenue qui ne souffre aucune distraction d'attention. Je concède que l'imbroglio cubain peut paraître par moment touffu pour ne pas dire un peu obscur.

La réalité et la fiction sont si emmêlées, si imbriquées, si semblables aussi que tout paraît impitoyablement vrai. Une trame très serrée commençant par une tentative de vol de voiture et se terminant par le jour de l'assassinat de Jack Kennedy. Plusieurs intrigues, des personnages principaux, secondaires, furtifs. Collusions, recoupements, trahisons, complots, meurtres, extorsions, une foule d'événements grands et petits qui tels des ruisselets se rejoignent peu à peu pour former un fleuve qui va tout balayer sur son passage.

Ellroy est plutôt « gentil » avec Jack et Bobby Kennedy, disons qu'il ne leur enfonce pas trop la tête sous l'eau.

Les Mafieux – réels ou fictifs – sont décrits comme de dangereux abrutis ce qui nous donne un festival de dialogues idiots, drôles et très souvent en-dessous de la ceinture. On finirait par se demander comment ces personnes peuvent être aussi redoutées. Les écoutes téléphoniques sont délicieuses.

Les extrémistes de droite, les membres du Ku Klux Klan sont définis comme des bandes de tarés psychopathes de la meilleure eau.

Hoover est un monstre qui détruit tout ce qu'il touche, obsédé par la gauche, la pensée de « gauche », les communistes. C'est une sorte de dieu sanguinaire sur son piédestal attendant les sacrifices.

James Ellroy les passe à la moulinette de sa sagacité, son acidité, sa férocité, sa prose satirique, sa plume caustique s'en donne à coeur joie. Comme toujours j'adhère complètement.

Et puis il y a Kemper Boyd, Pete Bondurant, Ward J. Littell. Ce ne sont pas des saints, on pourrait même dire qu'ils sont des criminels. Boyd et Littell sont du FBI, Bondurant est un ancien flic devenu escroc, homme de main « à tout faire », J'ai eu une grande sympathie pour eux avec même l'envie qu'ils s'en sortent (pourtant leur âme n'est pas parsemée de fleurs des champs). James Ellroy leur donne une humanité, une charge émotionnelle, une forme de nudité morale qui appelle la compassion et la clémence. Dans le désespoir de leur âme noircie subsiste une flamme d'amour et de pardon. Pourtant la folie les a depuis longtemps pris dans ses bras.

Il est toujours une question de rachat chez Ellroy ; et là qui rachète qui ? Et quoi ? Littell et sa foi chrétienne dénaturée ? Boyd et sa revanche sociale impossible ? Bondurant et son péché originel insoluble ? Qui sont ces trois hommes ? Pris dans les filets de l'Histoire, foulés par celle-ci ; figures de papier ? Ombres chinoises ? ils s'assemblent, se ressemblent (Ward Littell ne devient-il pas un double de Kemper Boyd à la fin ? )

Les personnages de femmes sont en arrière plan dans ce roman, elles passent ; elles servent de balise des sentiments. Elles sont pour le sacrifice et la revanche. Elles sont invisibles et pourtant bien là. On croirait presque qu'elles attendent leur heure.

Un salut amical au personnage de Lenny Sands, trublion sans gloire et sans joie.

Un livre comme un credo

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Lu aussi

American Tabloid est un gros pavé de plus de 700 pages alors certes au début ça fait peur mais une fois rentrée dans l'histoire ça va même s'il y a certains passages qui auraient pu être coupé. J'aime beaucoup l'histoire de John F. Kennedy qui est d'ailleurs mon président américain préféré, le mystère autour de sa mort m'a toujours intriguée. A travers ce roman, nous suivons l'évolution de sa carrière, comment il a toujours été destiné à devenir président.

James Ellory écrit, ici, sa propre version de l'histoire mêlant complots en tout genre avec meurtres, sexe et politiques. C'est une histoire passionnante de ce fait mais très longue au final.

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Or

Les 5 années qui ont précédé l'assassinat de Kennedy... Fantastique plongée dans l'envers du décors de l'Amérique, avec un style à la fois drôle et sombre !

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Lu aussi

Donc ce livre est le deuxième tome. L’histoire est moins intéressante et les personnages sont sur une pente plus ou moins douce. Avec toujours cet adage de E.H : L’ironie du sort….brrrrrr

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Argent

Cinq années au cours desquelles personnages fictionnels et historiques se rencontrent, agissent ensemble ou se mettent des bâtons dans les roues.

C'est la première fois que je lis un roman de Ellroy : les personnages sont nombreux et les enjeux des uns et des autres sont parfois complexes à saisir. Il faut être particulièrement attentif tout au long de la lecture.

Cela n'empêche que c'est un très bon roman !

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Diamant

La grande claque de 1995.

Un immense thriller doublé d'une passionnante leçon d'Histoire,même si l'on peut lui objecter une relative subjectivité.Mais les zones d'ombres officielles qui entourent cette période n'autorisent-elles pas diverses interprétations?

Celle-ci est largement concevable.

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Date de sortie

Trilogie Underworld USA, Tome 1 : American Tabloïd

  • France : 2022-05-11 - Poche (Français)

Activité récente

Pintxos l'ajoute dans sa biblio or
2023-05-23T10:05:56+02:00

Titres alternatifs

  • American Tabloid - Anglais
  • Ein amerikanischer Thriller - Allemand

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Note globale 7.92 / 10