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« À la fin de décembre 1999, une surprenante série d'événements tragiques s'abattit sur Beauval, au premier rang desquels, bien sûr, la disparition du petit Rémi Desmedt. Dans cette région couverte de forêts, soumise à des rythmes lents, la disparition soudaine de cet enfant provoqua la stupeur et fut même considérée, par bien des habitants, comme le signe annonciateur des catastrophes à venir.
Pour Antoine, qui fut au centre de ce drame, tout commença par la mort du chien. »
Ce livre est certes bien écrit, cependant je trouve le contenu très mince, une dissertation sur la notion de culpabilité à la suite d'un geste qui ne se justifie pas et qui me parait disproportionné pour en tirer un roman. Je n'ai pas aimé ce livre où il ne se passe rien ou pas grand chose...
C'était vraiment une déception ! J'ai vraiment eu du mal à finir ce livre, mais je voulais le lire jusqu'au bout pour lui donner une chance. Hélas, c'est vraiment mal écrit, le langage est vraiment familier, le vocabulaire est peu recherché et il y a beaucoup d'incohérences temporelles car les pensées de personnages se scindent vraiment mal de la narration. On a aussi une mauviase découpe entre les pensées du protagonistes, les réflexions plus générales et la narration. En plus de cela, les personnages sont fades et peu intéressants, ce sont des clichés ambulants qui ne possèdent aucune profondeur. Les personnages sont mal décrits, on n'a jamais aucune description même sommaire du protagoniste alors qu'on en a une plus complète de la victime. Au niveau de l'intrigue, elle est trop simple et ne possède aucun suspense. On suit simplement l'histoire d'un meurtrier qui s'en est sorti car il a eu de la chance et qu'il a été couvert par son entourage. Le seul point intéressant, ce sont les dilemmes existentiels du protagoniste et son enfermement qui devient de plus en plus oppressant. Quant à la fin, elle est aussi fade que le reste.
Pierre Lemaitre nous plonge dans un roman psychologique sombre et remarquable, après son magistral roman historique "Au revoir là-haut", où il déploie son talent unique pour émouvoir et torturer le lecteur : un "Crime et Châtiment" à la française. Chaque mot, chaque phrase, chaque événement m'a profondément touché(e). J'ai dévoré ce roman d'une seule traite, le cœur serré. Ce n'était pas la peur, l'angoisse ou le suspense oppressant, mais plutôt la compassion, présente, inéluctable, symbole d'impuissance face à une situation qui empire petit à petit.
Antoine est un garçon assez standard et on ne se douterait pas une seconde a la suite des évènements... Ce livre est addictif, sans filtres et puissant. Je l'ai dévoré et c'est dingue mais on pourrait croire que ça peut arriver a tout le monde! C'est tourné d'une telle façon qu'on a l'impression d'être coupable et que l'on vit tout à la première personne. Je recommande! Il se lit très vite !
C’est avec ce roman psychologique poignant que je découvre l’œuvre de Pierre Lemaître et j’ai été totalement conquise par sa plume et par sa capacité à tenir le lecteur en haleine. L’histoire est sombre et prenante et le récit est bien ficelé. Une fois plongée dans ma lecture, il m’a été difficile de lâcher le roman tellement j’ai été happée par l’histoire. Je n’ai cessé de m’imaginer à la place du personnage principal et je suis passée par différentes émotions. J’ai été angoissée, tourmentée et secouée par le récit que je découvrais. Trois jours et une vie est une histoire éprouvante et déchirante qui retourne le coeur, un roman saisissant que je ne suis pas près d’oublier.
J'avais très envie de découvrir ce livre de par son résumé, mais aussi pour enfin découvrir la plume de Pierre Lemaître. Si ma lecture n'a pas été désagréable, je reste tout de même assez mitigée.
On suit ici l'histoire d'Antoine qui, prit d'une rage passagère, va ôter la vie d'un enfant de son village. Seulement, Antoine n'a que 12 ans au moment des faits. Comment ce pré-ados va-t-il pouvoir vivre avec le poids de la culpabilité ?
Une ambiance de malaise nous est imposée dès le début du roman, alors que l'on suit Antoine dans ses tentatives désespérées de cacher au monde le crime qu'il a commis. Il n'y a rien de plus perturbant de que de voir un gamin tenter de cacher un corps...
Là où l'auteur m'a un peu perdue, c'est justement avec la personnalité de notre personnage principal, Antoine. Non seulement il va très vite tomber dans la paranoïa, ce qui peut se comprendre vu ce qu'il risque si son méfait est découvert, mais en plus il devient tout bonnement un gros connard au fil du récit (Spoiler(cliquez pour révéler)et vas-y que je trompe pas copine sans aucun remord parce que bon, qui ne sauterait pas sur l'occasion s'il pouvait coucher avec son crush d'enfance ?).
L'autre point qui m'a beaucoup énervé pendant ma lecture, ce sont tous les clichés dans lesquels l'auteur tombe à chaque fois que c'est possible lorsqu'il s'agit de la vie en village. Spoiler(cliquez pour révéler)D'ailleurs le plot twist m'a bien fait tiquer...
Bref, si l'idée de base était bonne et que la plume est plutôt agréable à lire, l'exécution laisse un peu à désirer...
Un synopsis effroyablement alléchant, avec ce jeune ado devenant malgré lui un tueur d’enfant, suite à un malencontreux accident en forêt. Le tout se veut accessible, grâce notamment à la narration chaleureuse du bon conteur qu’est Pierre Lemaitre.
Mais malheureusement, la promesse d’un récit inoubliable n’est pas tenue.
Ainsi, les incessants et trop nombreux scénarios paranoïaques auxquels se livre Antoine viennent gonfler une narration qui aurait très bien pu se satisfaire de moins. Surtout que ces derniers, de part la légèreté de leur ton (nous sommes dans la tête d’Antoine, après tout), ne permettent pas de mettre en place cette tension qui semblait pourtant à portée de doigt. Pire, ils desservent même le suspense en noyant le lecteur dans un flot presque constant de ces “spams” paranoïaques, dispensables et loin d’être ingénieux. Antoine est beaucoup plus touchant, en tant que jeune ado, lorsqu’il répond au monde dans lequel il évolue plutôt que lorsqu’il use de son imagination.
Sans trop dévoiler la suite, le dernier quart du récit s’étend sur divers bonds temporels, avec à la clef leur lot de révélations. Révélations à la saveur amère, qui à mon sens aurait eu leur place dans l’intrigue de 1999, avec une nouvelle fois pour moi l’impression que ce Trois jours et une vie tend à s’étaler plus qu’il ne le faut, de la mauvaise manière. Sans doute parce que le roman n’est déjà pas très épais de base.
Dommage, même si les qualités de Pierre Lemaitre sont indéniables.
Résumé
« À la fin de décembre 1999, une surprenante série d'événements tragiques s'abattit sur Beauval, au premier rang desquels, bien sûr, la disparition du petit Rémi Desmedt. Dans cette région couverte de forêts, soumise à des rythmes lents, la disparition soudaine de cet enfant provoqua la stupeur et fut même considérée, par bien des habitants, comme le signe annonciateur des catastrophes à venir.
Pour Antoine, qui fut au centre de ce drame, tout commença par la mort du chien. »
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