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Extrait Tome 3 : L'Epouse Bafouée

Il brandit la plaquette de pilules.

James fixait Megan. La culpabilité s'était peinte sur le visage de la jeune femme. Il en avait presque envie de vomir.

Ne trouvant aucune boîte d'aspirine dans les placards de la salle de bains, il avait jeté un coup d'œil dans la trousse de sa femme. Et il venait d'y trouver la pire des trahisons.

Une rage blanche sourdait en lui. Or, il ne pourrait pas la contenir très longtemps.

— Tu n'avais aucune intention d'avoir un autre bébé, n'est-ce pas ?

— Eh bien, euh... Je...

— N'est-ce pas ? cria-t-il, furieux.

Cette fois, elle devint rouge de confusion. Bon sang, encore aujourd'hui, combien de fois avait-il rêvé qu'ils étaient en train de concevoir un enfant ? A la vérité, il y avait pensé à chacune de leurs étreintes. Bien sûr, la nouvelle sensualité de Megan l'avait électrisé, durant ces huit jours, et il adorait lui faire l'amour dans des positions inédites, mais... Cette seconde lune de miel était censée mener à la conception d'un bébé ! C'était son vœu le plus cher depuis des années !

Et elle l'avait piétiné. Comme Jackie. Il avait cru qu'elle était différente, mais il s'était leurré. Elles étaient de la même race : égoïstes et cruelles. Oui, Megan était cruelle ! Car elle savait à quel point cet enfant était important pour lui.

Non seulement elle lui avait arraché son désir le plus précieux, mais elle s'était enferrée dans le mensonge. Durant des jours !

— Je... euh... s'il te plaît, James, laisse-moi t'expli quer, balbutia-t-elle.

— Trop tard. Rien de ce que tu pourrais me dire ne t'excusera. Tu m'as menti, Megan. Et tu t'es moquée de moi. Je ne peux pas tolérer ça !

Sans hésiter, il quitta la chambre, traversa la villa, passa sur la plage et déchira rageusement la plaquette de pilules pour jeter tous les comprimés à la mer.

Quand il se retourna, Megan se trouvait derrière lui, drapée d'un kimono sévèrement noué sur sa taille de guêpe. Son expression coupable avait disparu pour laisser place à un regard furieux.

— Ah, vraiment ? demanda-t-elle d'un ton vibrant de colère. Tu ne supportes pas qu'on te mente et qu'on se moque de toi ? Toi ? De ta part, c'est un comble ! Tu m'as menti depuis notre rencontre ! Et tu n'as jamais cessé de te moquer de moi ! Je ne parviens pas à croire que tu aies pu te montrer aussi insensible et arrogant !

Il lui retourna un regard d'incompréhension, mais elle posa les mains sur les hanches et enchaîna avec virulence :

— Tu ne m'as jamais aimée ! Tu voulais seulement un enfant, et j'ai joué le rôle de la gentille idiote qui pourrait exaucer ton souhait ! Alors tu m'as fait croire que tu m'aimais. Mais tu n'as jamais été amoureux de moi ! Pas une seule seconde !

— Qui t'a dit ça?

— Personne ! explosa-t-elle. J'ai surpris une conver sation entre Hugh et Russel, quand j'étais à l'hôpital. Ils croyaient que je dormais. Et à leur insu ils m'ont fourni un portrait complet de l'homme que j'avais épousé !

James était totalement décontenancé par ce retournement de situation.

— Pourquoi ne pas m'avoir quitté tout de suite, dans ce cas ? demanda-t-il, éberlué.

A ces mots, le mépris se peignit sur le visage de Megan.

— C'est la réponse qu'une femme doit attendre de la part de son mari quand elle l'accuse de ne pas l'aimer ? Bravo ! Pour répondre à ta question, il ne t'est pas venu à l'esprit que j'étais trop dévastée pour prendre la moindre décision, sur le moment ? Crois-moi, j'ai voulu te quitter. Mais je n'en avais pas le courage. Pourtant, le mariage de ton ami Hugh m'y a fait réfléchir sérieusement : quand j'ai vu son amour pour sa femme, j'ai compris que je ne m'accommoderais jamais de tes sentiments tièdes. Quand tu m'as embrassée, sur le chemin du retour, j'étais sur le point de réclamer le divorce ! Mais tu m'as encore embrassée, et... j'ai laissé passer cette occasion. Le lendemain matin, tu m'as parlé de cette seconde lune de miel, et j'ai pensé... j'ai pensé...

— Vas-y ! s'écria-t-il. A quoi as-tu pensé ? A prendre ta revanche au préalable ?

Il attendait qu'elle se défende. Mais elle ne le fit pas. Au contraire, elle gardait le silence. Et il comprit alors quel plan diabolique elle avait ourdi.

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Extrait Tome 2 : L'Héritière de Pearl Beach

— Oui, je comprends pourquoi votre amie a agi ainsi, mais tout cela n’explique pas votre attachement à cette maison.

Elle secoua tristement la tête et croisa les bras sur sa poitrine.

— Inutile, vous ne comprendriez pas.

— Ah non ? Et pourquoi pas ?

Un sourire ironique se peignit sur les lèvres de Kathryn.

— Parce que c’est impossible.

— Essayez tout de-même.

— Bon… Eh bien disons que cette maison a la même valeur à mes yeux que Tara pour Scarlett O’Hara.

Hugh n’avait jamais vu Autant en emporte le vent. Il avait souvent hésité à aller voir une reprise au cinéma, mais la longueur du film l’avait systématiquement découragé à l’avance.

Comme il lui retournait un regard perplexe, elle expliqua :

— La première fois que je suis allée chez Val, j’avais neuf ans. Elle recueillait des enfants pour Noël, et elle a été très bonne, très généreuse avec moi. Durant les années qui ont suivi, pendant ma jeunesse comme à l’âge adulte, j’ai pris l’habitude de me réfugier chez elle régulièrement, pour l’été ou quand j’avais besoin de réconfort. La maison de Val était mon port d’attache, mon sanctuaire. A tel point que je ne sais vraiment pas comment je vais faire pour apprendre à vivre sans. Il le faudra bien, pourtant : cette page se tourne.

Elle reprit une gorgée de café, et releva les yeux vers lui pour déclarer d’un ton las :

— Hugh, je suis navrée, mais je vais vous donner ma démission.

— Quoi ? protesta-t-il. Pour quelle raison feriez-vous une chose pareille ? Vous n’allez plus vous marier, maintenant : il n’y a aucune raison de quitter votre poste !

Il discerna une lueur de tristesse dans son regard, avant qu’elle ne détourne la tête pour murmurer :

— Je n’ai plus aucune raison de rester à Sydney, désormais. Je n’y ai que de mauvais souvenirs, et… j’ai besoin de prendre un nouveau départ. Hugh répliqua d’un ton calme :

— Je ne veux pas que vous partiez.

— Désolée, répondit-elle en rougissant, mais je n’ai pas le choix et…

— Si, vous avez le choix, coupa-t-il. Elle leva les yeux au ciel, exaspérée.

— Très bien : alors je choisis de partir, répliqua-t-elle.

— De la même manière que vous aviez choisi d’épouser un homme que vous n’aimiez pas…

— Quelle remarque pleine de tact !

— Vous savez que c’est la vérité, insista-t-il, sans détacher son regard du sien. Mais dites-moi franchement… S’il vous restait une chance de récupérer cette maison, vous pourriez changer d’avis, non ?

— Comment cela ? demanda-t-elle. Que voulez-vous dire ?

— Quelle est la date de votre anniversaire ? enchaîna-t-il, tandis que l’idée qui germait dans son esprit commençait à l’exciter follement.

— Le 23 février, répondit-elle, visiblement déstabilisée. Mais je…

— C’est parfait : cela nous laisse tout juste cinq semaines.

— Cinq semaines pour quoi faire ? reprit-elle d’un ton agacé.

— Pour nous marier, bien sûr.

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Extrait Tome 1: La Vengeance d'un Homme d'affaire

Connaîtrait-il enfin le plaisir de la vengeance, s’il rendait cette femme follement amoureuse de lui avant de la laisser tomber ?

C’était plus que probable.

Et du même coup, il pourrait ainsi assouvir son fantasme, posséder ce corps dont il rêvait et en découvrir la douceur veloutée…

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Extrait Tome 1: La Vengeance d'un Homme d'affaire

Même s’il faisait tout pour sauver les apparences, Russel s’était senti terrifié au moment d’entreprendre ce voyage. Et il ne fut rassuré qu’au moment où Nicole le rejoignit dans le hall de son hôtel. Oui, il avait craint qu’elle ne lui fasse faux bond…

Vêtue d’une longue robe jaune citron, elle avait laissé sa longue chevelure lâchée sur ses épaules. Des boucles blondes comme les blés effleuraient ses bras nus, et sa peau dorée par le soleil était plus appétissante que jamais. Quant à sa bouche… Il aurait tout donné pour y presser ses lèvres immédiatement.

— Je regrette de ne pas être un peu mieux habillée, lança-t-elle avec un petit sourire d’excuse. Je n’ai plus de vêtements de luxe !

— Ne dis pas de bêtises. Tu es ravissante.

— Merci, répondit-elle en rougissant. Et toi… Tu es incroyablement sexy.

A ces mots, Russel sentit son sang bouillir dans ses veines. Bon sang, comment allait-il s’y prendre pour demeurer calme durant tout le dîner ?

Hugh lui avait cent fois conseillé de jouer la carte de la prudence et de ne pas brûler les étapes : « Si tout se passe bien, tu auras toute la vie pour lui faire l’amour, avait-il conclu, à l’aéroport. Alors, mesure-toi et reste détendu ».

Détendu. Facile à dire, mais il y avait trois semaines qu’il rêvait d’enlacer de nouveau Nicole, de la sentir entre ses bras, de lui prouver qu’il l’aimait.

Au prix d’un suprême effort, il se contenta de lui baiser galamment la main et la conduisit au-dehors pour s’engouffrer avec elle dans un taxi.

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Extrait Tome 1: La Vengeance d'un Homme d'affaire

Comme elle s’éloignait, Nicole prit son mobile, avec l’espoir d’entendre la voix de Russel plutôt que celle de sa mère. Il lui téléphonait souvent, de même que Kara…

— Allô ?

— Bonjour.

— Oh, Russel, je suis si heureuse que ce soit toi !

Sa mère ne cessait de la houspiller pour qu’elle quitte la Thaïlande, en l’accusant de gâcher bêtement sa vie ici.

— Moi aussi, répondit-il avec humour.

— Oh, ne commence pas à me taquiner…

— Tu crois que je ferais ça ? s’enquit-il d’un ton amusé.

— Oui, répondit-elle en éclatant de rire.

Ces dernières semaines, ils avaient tissé une profonde complicité. Ne serait-ce que pour cette raison, Nicole ne regrettait pas d’avoir quitté l’Australie seule. Elle savait désormais qu’au-delà du désir qui les attirait l’un vers l’autre, ils partageaient bien des points communs, et bâtissaient une relation de confiance mutuelle. Et puis, Russel savait mieux que personne lui rendre son sourire, lui redonner goût à la vie et confiance en l’avenir. Même si elle passait parfois par des moments de déprime, en songeant à la trahison de son beau-père, elle se sentait infiniment plus forte que quelques semaines plus tôt. Et c’était à Russel qu’elle le devait. Suivant son conseil, elle n’avait pas parlé de la triste affaire des bijoux à sa mère.

« Pourquoi lui briser le cœur ? » avait demandé Russel. Elle en avait eu le souffle coupé. Certes, il était riche et accaparé par ses affaires, mais il n’en demeurait pas moins un homme d’une grande sensibilité. Dans la même situation, David n’aurait certainement pas réagi ainsi ! Et Alistair encore moins…

— Raconte-moi ce que tu fais, aujourd’hui, suggéra-t-il avec gentillesse. Tu es toujours dans les travaux de peinture ?

— Non. Pas aujourd’hui. Il fait trop chaud. Alors je me repose, sous un arbre, et je regarde les garçons jouer au football. Et toi, que fais-tu ?

— Pas grand-chose non plus. La chaleur est terrible aussi, là où je suis.

— Vraiment ? Il ne peut pas faire aussi lourd qu’ici, pourtant… Et comment va le marché de l’immobilier ?

— Hum. McClain Immobilier est en plein essor, malgré la tendance générale. Je ne sais pas comment font mes agents. C’est peut-être lié au nouveau temps de travail que j’ai fait instituer, trente-cinq heures par semaine. J’ai également veillé à ce que les pères de famille soient tous en congé le samedi et le dimanche. Quoi qu’il en soit, les chiffres de ces derniers mois sont fabuleux. D’ailleurs, mon comptable me suggère de faire quelques donations supplémentaires, cette année. Je sais bien que tu ne veux pas de mon argent, mais j’ai pensé que ton amie Julie aimerait peut-être bénéficier d’un coup de pouce. Si j’en crois ce que tu me dis, cet orphelinat a besoin de sérieux travaux de rénovation, et mieux vaut faire appel à des professionnels. Alors je me demandais ce que ça coûterait. A ton avis, le quart d’un million de dollars serait suffisant ?

Nicole laissa échapper une exclamation de surprise.

— Comment ? Tu dis… Un quart de million ?

— Eh bien disons un demi… Tu es une sacrée négociatrice !

— Mais, je… Tu es sérieux ?

— Naturellement. Je ne fais jamais de propositions que je ne pense pas tenir.

Dominant le vertige qui la gagnait, elle se leva et se dirigea vers le bâtiment principal.

— Il faut que je le dise tout de suite à Julie, déclara-t-elle, le cœur battant.

— Non, c’est inutile. Elle le sait déjà.

— Quoi ? Comment est-ce possible ?

— Parce que je lui ai annoncé en personne il y a quelques minutes.

Nicole jeta un regard éperdu tout autour d’elle et réalisa soudain que la voix de Russel ne provenait pas seulement de l’appareil… Il était là. Quelque part.

Et moins d’une seconde plus tard, elle le vit traverser la cour dans sa direction. Plus séduisant que jamais, dans un pantalon de lin très ample et un T-shirt blanc.

Bouche bée, elle le dévisagea longuement avant de déglutir avec peine et d’articuler :

— Les quatre semaines ne sont pas terminées…

— Je sais.

Il avait toujours son mobile collé à l’oreille. Comme elle.

— Mais il fallait que je te voie, enchaîna-t-il en plongeant son intense regard dans le sien. Tu préfères que je m’en aille ?

Le souffle court, la gorge nouée, elle hocha négativement la tête. Elle était incapable de proférer un son. Comment avait-elle pu oublier l’effet qu’il produisait sur elle dès qu’il entrait dans son champ de vision ? Déjà, elle commençait à chanceler tandis qu’une boule de chaleur se formait dans son ventre et que des frissons lui parcouraient la nuque. Oui, comment-elle avait pu oublier ça ? Cette fièvre qui la poussait vers lui, qui lui donnait envie de se jeter dans ses bras pour y demeurer jusqu’à la fin de ses jours ?

— Tu veux bien dîner avec moi, ce soir ? reprit-il.

Elle acquiesça d’un hochement de tête. Bien sûr, elle savait que ce dîner finirait par une étreinte voluptueuse…

Elle le regarda ranger son mobile et l’imita. Enfin, il sourit et s’enquit :

— J’aimerais bien rencontrer les enfants, maintenant. Pour comprendre d’où vient tout ce grabuge…

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Pour Russel, Hugh et James, la richesse et le pouvoir ne sont que des acquis. Leur vrai défi ? Épouser une femme d’exception.

La vengeance d’un homme d’affaires

Afin de se venger d'Alistair Power, un banquier peu scrupuleux responsable de la mort de son père, Russel décide de séduire la propre fille de son ennemi. Mais, alors qu'il pensait rencontrer une créature égoïste est superficielle, il découvre une jeune femme dont la beauté et la sensibilité le bouleversent...

L’héritière de Pearl Beach

Kathryn est stupéfaite : si elle veut hériter de la maison de Pearl Beach qu'elle aime tant, le testament de son amie stipule qu’elle doit se marier avant son trentième anniversaire ! Le cœur serré, mais déterminée, elle accepte alors le mariage de convenance proposé par son patron, Hugh Parkinson. Tout en sachant qu'elle joue avec le feu...

L’épouse bafouée

Sous le choc, Megan se remémore la conversation qu’elle vient de surprendre : son mari, James, ne l'a jamais aimée et ne cherchait, en l'épousant, qu'à avoir un héritier... En proie à la panique, Megan s’interroge : peut-elle continuer à vivre avec James comme si de rien n'était, alors qu'il n'éprouve rien pour elle ?

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