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Extrait ajouté par SherCam 2019-05-26T09:59:12+02:00

Ne trouvez-vous pas que c'est excellent de tout savoir des gens ? Je veux dire : ce qu'ils pensent, ce qu'ils ressentent, et non pas strictement ce qu'ils sont ou ce qu'ils font.

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Extrait ajouté par SherCam 2019-05-26T09:58:50+02:00

Trois souris

Trois souris

Trois souris aux yeux crevés

Trottinaient-menu

Trottinaient-menu

Trottinaient-menu après la fermière

Quand aiguisant son couteau la mégère

Une à une leur a coupé la queue

A-t-on jamais rien vu de plus affreux

Que trois souris

Sans yeux

Ni

Queue ?

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-09T14:18:09+02:00

Je l’aurais parié. Les marins sont beaucoup moins tolérants que les fantassins et les aviateurs. Depuis combien de temps êtes-vous mariés ? Vous êtes très amoureuse de lui ? — Sans doute aimeriez-vous monter voir votre chambre ? — D’accord, j’admets que ma question était impertinente. Mais je souhaitais vraiment obtenir une réponse. Je veux dire : c’est intéressant – vous ne trouvez pas ? – de tout savoir des gens. Ce qu’ils pensent, ce qu’ils ressentent, je veux dire, et pas uniquement ce qu’ils font ou qui ils sont

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-09T14:18:01+02:00

Très chère, vous avez eu cent mille fois raison ! Je me laissais emporter par ma passion pour l’authenticité. Il va sans dire que, si vous aviez gardé la traditionnelle table de milieu, il vous faudrait autour la famille adéquate : le père, beau ténébreux d’allure solennelle et doté de la barbe idoine… la mère, prolifique et fanée, leurs onze enfants, la gouvernante acariâtre, plus l’inévitable créature que tout le monde n’appelle jamais que « notre pauvre Harriet »… cousine fauchée qui met un peu partout la main à la pâte et qui se montre tellement, mais tellement reconnaissante qu’on lui accorde l’hospitalité. Regardez-moi cet âtre… représentez-vous les flammes qui devaient y lécher les parois du foyer et cramer le dos et les fesses de cette pauvre Harriet 

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-09T14:17:53+02:00

 Vous ne ressemblez en rien à l’image que je m’étais faite de vous. Je vous imaginais en veuve de général de l’armée des Indes. Réfrigérante et férocement collet monté. En vieille toupie vivant avec ses chats au milieu d’une collection de cuivres de Bénarès. En véritable momie victorienne. Or, je trouve que tout ici est divin, tout simplement di-vin. Avouez que vous cachez quelque part des fleurs de cire sous globe… Et des oiseaux de paradis, peut-être ? Oh ! je vais tout bonnement a-do-rer cet endroit ! Je tremblais, voyez-vous, que ce ne soit très Haute Époque… très, très Demeure Seigneuriale… si j’excepte les cuivres de Bénarès, bien entendu. Au lieu de quoi, c’est l’extase… la vraie, l’indestructible respectabilité telle qu’on l’entendait sous cette bonne vieille Victoria ! Dites-moi, n’auriez-vous pas par hasard un de ces prodigieux buffets… en acajou… en acajou très sombre tirant sur cette divine couleur prune et avec d’énormes fruits sculptés sur les panneaux ? — En fait, répondit Molly, quelque peu abasourdie par ce torrent verbal, nous en avons un

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-09T14:17:45+02:00

En un tournemain, Giles avait refermé la porte sur les éléments déchaînés. Mr Wren, quant à lui, avait dénoué son cache-nez, lâché sa valise, envoyé promener son chapeau – le tout, semblait-il, d’un seul et même geste et sans cesser de pérorer. Il avait la voix haut perchée, un tantinet geignarde, et la lumière du hall révélait un garçon pourvu d’une tignasse d’un blond roux doré par le soleil et dont les yeux pâles étaient d’une mobilité extrême

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-09T14:17:38+02:00

 Je me demande comment était cette femme qui s’est fait assassiner… — Mrs Lyon ? — C’est comme ça qu’elle s’appelait ? Comment savoir qui a bien pu la tuer, et pourquoi… — Peut-être qu’elle cachait un magot sous les lames de son parquet. — Quand ils disent que la police recherche activement « un individu dont la présence a été remarquée dans les parages à l’heure du crime », est-ce que ça signifie qu’il s’agit de l’assassin ? — Je pense que c’est la formule consacrée. Une façon courtoise de dire les choses. Une sonnerie stridente les fit soudain sursauter tous les deux

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-09T14:17:32+02:00

Ça, il y a toutes les chances. Mais pense aux quartiers de viande qu’on a dû y rôtir… Des aloyaux entiers, des selles de mouton… Pense aux énormes bassines à confiture en cuivre débordantes de marmelade de fraises maison qu’on a dû y mettre à mijoter avec des kilos et des kilos de sucre… Comme il devait faire bon vivre à l’époque victorienne ! Quel confort ! Regarde le mobilier du premier étage, costaud, lourdaud et peut-être un peu trop orné, ça, d’accord… mais, oh, seigneur ! ce qu’on est divinement bien dedans… Et puis cette place en veux-tu en voilà pour le déluge de linge de maison qu’on possédait en ce temps-là, et ces tiroirs qu’on ouvre et qu’on referme sans problème… Tu te rappelles cet appartement moderne tellement à la pointe du progrès qu’on avait loué ? Où tout était encastré et censé coulisser… seulement rien ne coulissait… ça se coinçait toujours quelque part. Et où les portes étaient à fermeture automatique… à ceci près qu’elles ne le restaient pas, fermées… ou que, quand elles fermaient pour de bon, il n’y avait plus rien à faire pour les rouvrir. — Oui, c’est ça le pire, avec les gadgets. Si ça ne fonctionne pas au quart de tour, vous êtes cuits

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-09T14:17:24+02:00

Ce n’est pas faux, ça. C’est fou ce que c’est agréable, une cuisine. Celle-ci, j’en raffole. Je trouve que c’est, et de loin, la pièce la plus agréable de la maison. J’adore ce vaisselier avec cette ribambelle de plats et d’assiettes, et je me gorge du sentiment de faste absolu que vous procure ce gigantesque fourneau à charbon… tout en bénissant naturellement le ciel de n’avoir pas à m’en servir. — J’imagine que la ration de combustible de l’année y passerait dans la journée

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-05-09T14:17:18+02:00

Qu’est-ce que tu en sais ? Tu ne l’as pas encore vue ! Molly lui tourna le dos. Elle étala un journal sur la table, sortit un vieux trognon de fromage et entreprit de le râper. — C’est quoi, ça ? s’inquiéta son mari. — Ça va être une version toute personnelle de la fondue galloise, le renseigna Molly. Welsh rarebit à la Molly Davis : purée de pommes de terre, chapelure et un mini-mini petit rien de fromage pour justifier l’appellation. — J’ai épousé un cordon-bleu ! s’émerveilla le mari extatique

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