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Extrait ajouté par mllemooii 2015-02-26T18:43:02+01:00

« La sonnerie de son téléphone l’interrompit.

— Oh ! Pardon, Grace, excusez-moi, dit-il avec un sourire navré, tout en jetant un bref coup d’œil sur l’écran. J’attendais ce coup de fil.

— Je vous en prie, dis-je en sirotant mon gin tonic.

Tu peux faire ce que tu veux de moi. Je suis à toi.

Il décrocha.

— Qu’est-ce que tu veux, pétasse ? s’écria-t-il, le visage tordu par un rictus mauvais.

Je fis un bond sur ma chaise et m’étouffai avec ma gorgée. Autour de nous, les clients interloqués s’étaient figés. Ce qui ne parut pas impressionner Lester, qui poursuivit, imperturbable.

— Ouais, eh bien, devine où je suis ? hurla-t-il dans son téléphone, en se détournant légèrement de moi. Je suis dans un bar avec une femme ! Alors, qu’est-ce que tu en dis, sale garce ? Je vais la ramener chez nous et la baiser !

Sa voix monta dans les aigus, tendue à l’extrême, prête à se briser.

— Tu as bien entendu ! Je la prendrai sur le canapé, dans notre lit, dans la cuisine, sur le sol et sur cette foutue table ! Alors, qu’est-ce que ça te fait, sale tricheuse, misérable roulure ?

Il raccrocha, puis me regarda en souriant.

— Alors, où en étions-nous ? s’enquit-il, d’une voix radoucie. 

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Extrait ajouté par Ellen-x 2014-05-31T18:25:37+02:00

— Je suis là pour voir ma femme. Maintenant.

C’était Stuart.

Il pénétra dans la salle, vêtu de son habituel pull débardeur d’Oxford à losanges, de son pantalon brun foncé et de ses mocassins à pompons. Il se dégageait du garçon gentil et doux que je connaissais quelque chose de différent. Son visage était tendu, et dans son regard… Dieu du ciel… couvait une flamme sombre.

— Margaret, ça a assez duré ! s’exclama-t-il en nous ignorant tous.

— Quoi ? souffla cette dernière, en plissant les yeux.

— Si tu ne veux pas d’enfant, très bien. Si tu veux faire l’amour sur la table de la cuisine, tu vas être servie…

Il la regarda sans ciller.

— Mais tu rentres à la maison et sur-le-champ. Nous parlerons, tu peux me croire, mais pas avant que nous soyons nus dans notre lit.

Il marqua une hésitation.

— Ou sur la table.

Il rougit.

— Et la prochaine fois que tu me quittes, il vaudrait mieux pour toi que tu ailles jusqu’au bout, parce que je ne vais pas me laisser traiter comme une carpette. Compris ?

Margaret se leva, reposa sa serviette près de son assiette et se tourna vers moi.

— Ne m’attends pas cette nuit.

Puis elle prit la main de Stuart, un large sourire sur les lèvres, et le laissa l’entraîner vers la sortie.

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Extrait ajouté par Manouch-Ka 2015-05-21T23:11:46+02:00

Un bruit continu, comparable à un faible crépitement, finit par faire irruption dans ma conscience. Callahan l’entendit aussi. Nous baissâmes en même temps les yeux. Angus était revenu… La patte levée, il pissait sur la botte à laquelle il s’était attaqué un moment plus tôt.

Toute trace de sourire avait disparu sur le visage de mon voisin.

— Je ne sais pas lequel de vous deux est le pire, lâcha-t-il, en tournant les talons.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2013-11-10T19:44:06+01:00

— Le problème, c’est que tu es séduisant, répondis-je en lui donnant un coup de coude dans les côtes.

— Trop bête que tu ne sois pas hétéro, dit Kiki, sinon toi et moi pourrions vivre une grande histoire.

— Si j’étais hétéro, Grace et moi serions mariés et nous aurions déjà six enfants, répliqua Julian avec assurance, en passant un bras autour de mes épaules.

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Extrait ajouté par Milka2B 2013-08-10T09:32:35+02:00

Trois danses plus tard, les joues rouges et le souffle court, j’allais m’asseoir auprès de ma grand-mère.

— Salut, mémé, dis-je en lui appliquant une bise sur sa joue ridée

.— Regarde-toi… Tu ne ressembles à rien, grogna-t-elle entre ses dents.

— Merci, mémé ! Toi aussi, tu es en beauté, ce soir ! répondis-je en haussant la voix.

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— Alors pourquoi avez-vous abandonné la comptabilité ? demanda mon père.

Seigneur ! Il était comme un chien sur son os.

— Nous pourrions peut-être arrêter cet interrogatoire, hein ? dis-je fermement.

Cal était immobile à mon côté.

Mon père me lança un regard blessé.

— Chaton, j’essaie juste de comprendre pourquoi quelqu’un abandonne une situation professionnelle stable, agréable et gratifiante, pour un travail manuel plus difficile.

— C’est honnête, comme question, ajouta Andrew.

Ah… Honnête… Le grand mot était lancé. Nous y voilà, pensai-je en fermant les yeux. Et la suite me donna raison.

Cal me lâcha la main.

Spoiler(cliquez pour révéler)— J’ai été reconnu coupable de détournement. Plus d’un million de dollars, lâcha-t-il laconiquement. J’ai perdu ma licence de comptabilité et purgé une peine de prison de dix-neuf mois en Virginie. J’ai été libéré il y a deux mois.

Il regarda mon père, puis ma mère, et enfin Andrew.

— D’autres questions ?

— Vous vous êtes évadé de prison ? dit ma grand-mère, en tendant son cou maigre pour dévisager Cal. Qu’est-ce que je disais ! J’en étais sûre ! http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Extrait ajouté par Chocochat 2015-12-13T15:09:45+01:00

"- Vous permettez ? lança-t-il, en s'emparant d'autorité des poignées du fauteuil roulant. Dans quelle direction allons-nous, charmantes dames ?

- Est-ce que c'est l'Irlandais qui me pousse ? demanda ma grand-mère, en se tordant le cou pour tenter de voir par-dessus son épaule.

- Allez mémé... Tu es entre les mains d'un grand, fort et séduisant garçon. Soit tranquille et profite de la balade.

- On dirait une coureuse qui parle, marmonna-t-elle.

Elle se mura dans le silence le temps du trajet. Arrivée devant sa porte, elle lâcha un "bonne nuit" sec, et, tel un dragon protégeant sa grotte et le tas d'or qui s'y trouvait, fixa ostensiblement Callahan jusqu'à ce que ce dernier, finissant par saisir l'allusion, recule de quelques pas dans le couloir.

- Bonne nuit, mémé.

- Ne lui fais pas confiance, me chuchota-t-elle. Je n'aime pas la façon dont cette homme te regarde.

Je jetai un œil vers le couloir, et je fus tentée de lui demander comment il me regardait.

- D'accord, mémé."

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Extrait ajouté par Chocochat 2015-12-13T14:37:53+01:00

"Cal s'avança encore d'un pas et baissa les yeux sur moi. Son regard glissa vers mes cheveux, puis... oh, Seigneur... descendit sur mes lèvres.

- Il y a quelque chose que j'aimerais bien savoir, lâcha-t-il. Pourquoi votre petit ami vous laisse-t-il aussi souvent seule ?

Sa voix était douce.

Tout mon corps s'embrasa. Il ne fut qu'une immense vibration - ou une succession de pulsations.

- Eh bien..., murmurai-je, le souffle court. Je ne suis pas sûre que ça va fonctionner. Nous avons... euh... décidé de faire le point.

Dis-lui que tu es libre, Grace. Dis-lui que toi et Wyatt, c'est fini.

Mais rien ne sortit de ma bouche. En toute honnêteté, j'étais comme tétanisée. Tout mon corps frémissait à son contact. Par peur aussi qu'il ne profite de la situation, consciente que j'étais à un battement de cœur de me jeter sur lui et de lui arracher ses vêtements."

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Extrait ajouté par ge39 2015-07-17T12:42:12+02:00

Technique numéro deux : laisse promener ton regard dans la salle, l'air de rien, et souris. Il n'y a pas un homme présent ici qui ne se sentirait pas chanceux de t'avoir à ses côtés. Et tu peux avoir tous les hommes que tu veux.

Je m'exécutai de bonne grâce. Mon regard s'arrêta sur un vieil homme, qui affichait les quatre-vingt ans au compteur. Sûr qu'il serait heureux de m'avoir. Comme me l'avait fait savoir Dave, l'homme à la poche urinaire. Pas de doute : j'avais un ticket auprès des hommes du troisième âge.

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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-12-02T11:44:54+01:00

— Des cours de danse, hmm… Je ne l’aurais pas deviné.

— Je ne sais comment je dois prendre ça…

— Vous n’avez pas la silhouette d’une danseuse.

— Attention, vous avancez sur un terrain glissant…

— Vous n’êtes pas filiforme comme ces filles que l’on voit à la télévision.

— Vous vous enfoncez… Vous feriez mieux de vous taire…, soufflai-je en le fusillant du regard.

— Les danseuses ne sont-elles pas gracieuses et aimables ? poursuivit-il. Je ne les vois vraiment pas manier le râteau et la crosse de hockey pour assommer les gens…

J’enregistrai son sourire. Il s’amusait indubitablement.

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