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Extrait ajouté par s0kellys 2015-08-02T11:27:24+02:00

"Je n'aspire pas spécialement à être comme les autres."P.18

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Extrait ajouté par Aur31 2016-04-18T16:19:15+02:00

- Q'est-ce que tu en dis ? m'interrogea Finn à voix basse.

Je me penchai vers lui pour mieux l'entendre, et son regard noir plongea dans le mien.

- C'est très beau, répondis-je en désignant le jardin sans parvenir à détacher mon regard du sien.

- Je voulais te montrer que tout, ici, n'est pas froid et intimidant. Je voulais que tu voies de la chaleur et de la beauté. (Il eut un sourire joueur.) Mais c'est vrai que ce jardin est moins beau quand tu n'y es pas.

- C'est vrai ? demandai-je en essayant, en vain, de prendre un air sexy.

Le sourire de Finn s'élargit, faisant battre mon coeur comme un marteau sur une enclume.

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T12:07:13+01:00

- Du chocolat ? demandai-je en plissant le nez comme elle mettait dans une soucoupe un triangle parfait.

- Oui, Wendy, tu aimes le chocolat, m'informa-t-elle.

- Non, j'aime pas ça ! protestai-je, les bras croisés sur la poitrine. Je déteste le chocolat ! Je n'en mangerai pas, et tu ne me forceras pas !

- Wendy !

L'extrémité couverte de glaçage du couteau était pointée dans ma direction, mais je n'avais pas peur. Sinon les choses se seraient peut-être passées différemment. Mais non, j'étais partie pour faire une nouvelle crise.

- Non, non, non ! C'est mon anniversaire, et je ne veux pas de chocolat ! criai-je en tapant du pied aussi fort que je le pouvais.

- Tu ne veux pas de chocolat ? répéta ma mère en fixant sur moi son grand regard bleu incrédule.

Une lueur de folie nouvelle scintillait dans ses yeux. Cette fois, j'avais peur.

- Quel genre d'enfant es-tu, Wendy ? poursuivit-elle en contournant lentement l'îlot central, le couteau soudain menaçant. En tout cas, tu n'es pas mon enfant. Qu'est-ce que tu es, Wendy ?

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T11:33:48+01:00

- Je sais que vos prétendants vont bientôt se manifester, et je voudrais que vous sachiez que j'ai beaucoup d'atouts, poursuivit le chancelier. Je suis très riche, j'occupe une position stable, et ma lignée est d'une pureté exemplaire. Votre mère approuverait certainement un tel arrangement.

- Il n'est pas encore question d'arrangement..., me défendis-je.

Je tournai la tête et étirai mon cou en sachant pertinemment que, si Elora me voyait, elle m'accuserait d'avoir été impolie. Toutefois, je ne savais pas comment réagir autrement. Ce type répugnant venait de me faire une proposition dégueulasse. Je devais à tout prix me sortir de ce pétrin.

- Il paraît que je suis un excellent amant, murmura-t-il. J'imagine que vous n'avez pas beaucoup d'expérience, mais je suis tout à fait disposé à m'occuper de votre apprentissage.

L'air affamé, il baissa les yeux, regardant fixement autre chose que mon visage. J'avais une terrible envie de le repousser. Intérieurement, je hurlais mon dégoût.

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Extrait ajouté par marion13 2017-07-01T16:13:58+02:00

« Jen tourbillonna et me frappa si fort au visage que je fus projetée vers l’extrémité du balcon. Avant de me relever en m’agrippant à la rambarde, j’eus à peine le temps d’apercevoir le vide au-dessous de nous.

Finn, qui avait lui aussi réussi à se remettre sur ses pieds, aplatit Jen au sol. Le frappant aussi fort qu’il pouvait, il fulminait, les dents serrées.

— N’essaie. Plus. Jamais. De la. Toucher. »

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T12:28:28+01:00

- J'étais censée m'appeler comment ?

- Mmh... Michael ! répondit Maggie en claquant des doigts. Michael Conrad Everly. Mais bon, comme tu es née fille...

- Pourquoi Wendy ? poursuivis-je en plissant le nez. Michelle aurait été plus logique.

- Euh... (Maggie réfléchit en s'abîmant dans la contemplation du plafond.) Ta mère a refusé de choisir, et ton père... n'avait pas d'idée. C'est donc Matt qui a opté pour Wendy.

- Oui, c'est vrai, me rappelai-je vaguement. Mais pourquoi Wendy ?

- Ça lui plaisait, c'est tout. (Elle haussa les épaules.) Il adorait Peter Pan, ce qui est ironique, vu que Peter Pan parle d'un garçon qui refuse de grandir, et que Matt a toujours été vieux, si l'on peut dire. (Elle gloussa.) C'est pour ça qu'il a toujours été si protecteur avec toi. Il t'a baptisée. Tu étais à lui.

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T12:01:07+01:00

- Quand est-ce que tu sors le motoculteur ? demandai-je à Matt tandis qu'il arrachait des genres de plantes grimpantes.

On aurait dit de la vigne, mais rien n'était moins sûr. Pendant qu'il s'activait, mon boulot consistait à tenir près de lui une brouette pleine de déchets.

- Nous n'avons pas de motoculteur, lança-t-il en jetant des plantes mortes dans la brouette. Tu pourrais m'aider, tu sais ? Tu n'es pas obligée de tenir ce truc tout le temps.

- Je prends mon travail très au sérieux. Pas question que j'arrête.

Il leva les yeux au ciel, grommela, mais je fis la sourde oreille.

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T11:49:49+01:00

- Tu as toujours été mauvaise ; je l'ai su dès que je t'ai tenue dans mes bras. (Elle se calma un peu et s'adossa contre sa chaise.) Je l'ai vu dans tes yeux. Ils n'étaient pas humains. Ils n'étaient ni gentils ni bons.

- Dans ce cas, pourquoi ne m'as-tu pas tuée ? demandai-je, de plus en plus irritée.

- Tu n'étais qu'un bébé ! (Ses mains et ses lèvres se mirent à trembler. Sa confiance vacillait.) C'était ma conviction profonde mais, comme tu t'en doutes, je ne pouvais être sûre de rien, expliqua-t-elle en pinçant les lèvres et en essayant de contenir ses larmes.

- Et qu'est-ce qui t'a fait changer d'avis ? Tu te rappelles mes six ans ? Pourquoi ce jour-là en particulier ? Qu'est-ce qui s'est passé ?

- Tu n'étais pas à moi. Je le savais, dit-elle en s'essuyant les yeux. En réalité, je l'ai toujours su. Je n'arrêtais pas de penser à ce qu'aurait dû être cette journée. Avec mon mari et mon fils. C'est Michael qui aurait dû fêter son sixième anniversaire ce jour-là, pas toi. Toi, tu étais une enfant terrible, horrible, et tu étais en vie. Eux étaient morts. Alors je... Ça ne pouvait plus durer, c'est tout. (Elle prit une profonde inspiration et secoua la tête.) Je pense la même chose aujourd'hui.

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T11:29:18+01:00

- Dans le temps, on déplaçait des montagnes, dit-il, pensif.

Son attitude tout entière avait changé. Il n'était plus agité, ne jetait plus des coups d’œil autour de lui. En bougeant, le lustre avait changé quelque chose en lui.

- Pour de vrai, ou c'est juste une métaphore ?

- Pour de vrai. On pouvait ériger des montagnes, arrêter les rivières. (Il faisait de grands gestes pour illustrer son propos.) On a créé tout ce qu'il y a autour de nous ! C'était de la magie !

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Extrait ajouté par Chlawee 2016-02-24T11:25:00+01:00

- Je me rappelle, ajouta-t-elle dans un sourire. Je m'étais ennuyée à mourir.

J'étais tellement soulagée de la voir. Elle, au moins, n'essaierait pas de me rentrer dans le crâne les noms des trois cents derniers monarques trylles.

- Tu m'as pourtant l'air bien vivante, rétorqua sèchement Finn en s'adossant à son fauteuil. Je n'y suis peut-être pas allé assez fort.

- C'était une pique, monsieur cigogne ? demanda Willa en essayant vainement d'être sarcastique. Je n'ai rien senti. A peine une brûlure.

- Si tu ressens une brûlure, plains-toi plutôt auprès de ton dernier partenaire sexuel, contra-t-il avec un sourire.

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