Tu te maries et moi j'aime, suivi de Mémoires de deux jeunes mariées
Auteur
- Honoré De Balzac (Écrivain)
- Sarah Cohen-Scali (Écrivain)
Thèmes
Amitié féminineAcheter neuf
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Classement en biblio - 14 lecteurs
Commentaires récents
j'ai trouvée la partie de Sarah K. magnifique, c'est une histoire magnifique et triste vers la fin, mais je l'ai quand même beaucoup apprécier.
pour la partie de balzac, je l'ai juste feuilleté, elle est difficile a comprendre et je n'ai pas accrocher... c'est dommage
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La première partie :
Elle est tout simplement génial. La correspondance se fais de façon logique et normal. On comprend facilement les différents dilèmes aux quelle sont confronté nos deux héroïnes. J'ai même versé une petite larmes vers le milieux du livre suite a un passages très triste. Vraiment super livre !
La deuxième partie
Elle, en revanche, je ne l'ai pas fini a cause de l'écriture trop ancienne que je ne comprenais pas. Dommage !
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J'ai beaucoup apprécié la partie écrit par Sarah K., l'histoire était touchante et intéressantes à suivre, de plus le fait que ce soit écrit sous forme de lettre me donnait encore plus envie de lire, et aussi qu'elles reprennent contact des années plus tard m'a bien plu. Par contre la partir écrite par Balzac, je n'ai pas accroché, et je ne l'ai pas lu en entier car le langage était trop littéraire et trop dur à comprendre ...
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Personnellement j'ai beaucoup aimé la version moderne mais je n'ai pas accroché à celle de BALZAC, peut être était-ce un peu trop compliqué pour moi ce langage... mais après tout chacun son avis !!
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Date de sortie
Tu te maries et moi j'aime, suivi de Mémoires de deux jeunes mariées
- France : 2005-02-23 - Poche (Français)
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Résumé
La plus belle histoire d'amour de Balzac, et sa version moderne par Sarah K.
Tu te maries et moi j'aime. Laura à Charlène, février 2001.
« Il ne m'a jamais pris la main. Jamais. Est-ce que tu peux le croire ? Même si je sens, je sais, j'espère qu'il meurt d'envie de coucher avec moi, il ne me le dit pas. Du moins pas avec des mots. Seuls son regard, sa respiration et ses silences me le disent. La balle est dans mon camp. La décision me revient. »
Mémoire de deux jeunes mariées. Louise de Macumer à Renée de L'Estorade, octobre 1825.
« Je règne par l'amour, tu règnes par le calcul et par le devoir. Je suis si haut que s'il y avait une chute je serais brisée en mille miettes. Enfin, je dois me taire, car j'ai honte de te peindre l'éclat, la richesse, les pimpantes joies d'un pareil printemps d'amour ».
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