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Christina et Norman accueillent Joe, un jeune ado de 15 ans qui souhaite apprendre l’illusionnisme avec « le meilleur ». Norman le prend sous son aile et en fait son apprenti, son « fils ». Un triangle amoureux se tisse entre les protagonistes sur fond de bluff et de coups de poker. Le jeune Joe s’enferme dans un complexe d’Œdipe tardif et n’aura de cesse de « tuer le père ».
Amélie Nothomb dépeint avec finesse la relation père-fils.
Déçue. Grande fan de Nothomb, je me suis réservée un petite soirée pour le livre, j'ai attendue d'être bien tranquille... Surtout qu'on en disait plutôt du bien.
Et pourtant, comme les autres depuis quelques années, il n'est pas à la hauteur des premiers. Certes, ça reste intéressant et un peu surprenant à la manière de Nothomb. Mais où sont les histoires vraiment tordues du début, le style piquant, les retournements de situation qui vous laissaient perplexes bien après avoir fini le livre ?
Le premiers Nothomb, je les ai encore en tête. Les derniers, je les lis comme on regarde un épisode de série et je les oublie dans les mois qui suivent... J'ai du me creuser la tête pour retrouver de quoi parlait le précédent, et demander à quelqu'un pour retrouver son titre ! Ce ui ne risque pas d'arrive avec Mercure ou Hygiène de l'assassin ou les Catilinaires...
Tuer le père va surement tomber dans mes vagues souvenirs tout comme Une forme de vie.
Un apprenti magicien rencontre un maitre magicien. Le maître s'attache à son élève et finit par le considérer comme son fils... Amour, haine, vengeance... "Tuer le père, c'est "se libérer de tout ce qui est projeté sur soi, de l'attente paternelle", explique Amélie Nothomb. Et celui qui reconnaît un fils pourrait en souffrir davantage.
Je trouve que l' histoire sur ce thème freudien est intéressante. L'auteur a réussi à écrire un livre un peu différent des romans précédents.
J'ai passé un bon moment durant cette lecture que j'ai trouvée plutôt divertissante. Le fond est certes différent de ce qu'Amélie Nothomb nous offre habituellement, mais les rebondissements sont tout de même surprenants. On peut affirmer que l'écrivaine s'amuse en travaillant et n'hésite pas à sortir de sa zone de confort.
Ce livre se lit d'une traite, comme tous les Amélie Nothomb. Ce n'est pas celui qui m'aura le plus marqué mais j'ai bien accroché à l'histoire tout de même. Il y a toujours un petit twist à la fin de ses romans, c'est toujours un peu surprenant, un peu bizarre, mais j'ai passé un bon moment de lecture.
Alors qu'une amie a lu un très grand nombre de ses livres, j'ai fini par lui demander de m'en prêter un.
En toute honnêteté, je n'ai jamais été attirée par la lecture de ces romans. Mais mon amie me l'a tellement bien vendu que je me devais d'essayer. C'est donc celui-ci qu'elle a choisi pour moi en me disant qu'il était susceptible de me plaire - le risque étant que j'y prenne goût et que je veuille tous les lire.
Je ne m'attendais pas à une lecture aussi fluide. Comme quoi, il faut vaincre nos a priori, nous pourrions être surpris.
Ce livre raconte l'histoire d'un jeune garçon passionné de magie, Joe, abandonné par sa mère. Alors qu'il tente de s'en sortir seul grâce à ses tours de magie, il va faire la rencontre de celui que sera son professeur et qui lui apprendra tout en plus de prendre soin de lui et de le considérer comme son propre fils.
J'ai apprécié cette lecture et c'est en me demandant pourquoi tant d'ingratitude de la part de Joe envers la famille qu'il s'est créé pendant quelques années et qui s'est soucié de lui alors que, finalement, lui, ne voyait que le jeu et l'argent.
Comme quoi, l'argent peut mener à des comportements qui nous dépasseront toujours.
Un roman excellent ! Nothomb maitrise parfaitement les codes de l'humour noir et du désanchentement. Ce fut une lecture formidable, comme toujours avec cette auteure !
Mon troisième roman d'Amélie Nothomb. Qui confirme l'irrégularité de la qualité de ses oeuvres. J'ai adoré Métaphysique des Tubes, puis horriblement déçu par Cosmétique de l'Ennemi. Avec Tuer le Père, je retrouve une écriture directe, sans ronds de jambes, addictive, courte et précise, mais avec toujours cette même morale fataliste qui semble la caractériser définitivement. Le récit est transportant, mais la fin ne nous mène qu'à une réflexion sommaire qui gâche un peu l'ensemble du roman à mon goût. "Tout ça pour ça", pourrait-on résumer. Bin oui, tout ça pour ça... Dommage, parce que l'écriture sans fioriture est tellement efficace !
Résumé
Christina et Norman accueillent Joe, un jeune ado de 15 ans qui souhaite apprendre l’illusionnisme avec « le meilleur ». Norman le prend sous son aile et en fait son apprenti, son « fils ». Un triangle amoureux se tisse entre les protagonistes sur fond de bluff et de coups de poker. Le jeune Joe s’enferme dans un complexe d’Œdipe tardif et n’aura de cesse de « tuer le père ».
Amélie Nothomb dépeint avec finesse la relation père-fils.
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