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"Je m'arrachai à la contemplation de son visage afin de trouver mes mots. C'est alors que je remarquai le compteur de vitesse.
-Nom d'un chien ! hurlai-je. Moins vite !
-Qu'y a-t-il ?
Il avait sursauté, sans pour autant lever le pied.
-Tu roules à cent soixante kilomètres heure !
Affolée, je jetai un coup d’œil dehors, mais il faisait trop sombre pour y voir. Seule la clarté bleuâtre des phares illuminait la route. La forêt qui s'élevait de part et d'autre ressemblait à deux murs aveugles, deux murs sur lesquels nous irions nus fracasser si Edward perdait le contrôle du véhicule à cette vitesse.
-Du calme, Bella !
-Tu veux notre mort ou quoi ?
-Pas de panique !
-Tu as une urgence ?
-J'aime bien conduire vite, rigola-t-il en me servant son sourire en coin
-Regarde où tu vas ?
-Je n'ai jamais eu d'accident, Bella. Ni d'amende. J'ai un radar intégré, pouffa-t-il en se tapant le front.
-Très drôle. Charlie est un flic, je te signale. On m'a appris à respecter les lois. Je sais bien que si jamais tu enroulais ta Volvo autour d'un arbre, tu t'en sortirais sans une égratignure...
-Mais pas toi, admit-il.
C'est avec soulagement que je vis l'aiguille du compteur retomber peu à peu à cent trente.
-Contente ? maugréa-t-il.
-Presque.
-Je déteste rouler lentement.
-Parce que tu trouves ça lent ?"
Afficher en entierTu es ma vie, désormais
[Edward à Bella]
Afficher en entier- Je suis sérieux.
- Moi aussi. Je te le répète, je me moque de ce que tu es. Il est trop tard, de toute façon.
-Tais-toi!
Je me mordis la bouche. Heureusement,il ne savait pas à quel point il me blessait. Je reportai mon attention sur la route.Nous ne devions plus être très loin,maintenant. Il conduisait beaucoup trop vite.
-A quoi pense-tu? demanda-t-il tout à coup.
Je secouai la tête, incapable de lui répondre. Je sentais qu'il me regardait, refusai de me tourner vers lui.
-Tu pleures? s'exclama-t-il,ébahi.
A mon insu, mes larmes avaient débordé.Je passai rapidement ma main sur mes joues - les traîtresses étaient bien la, elles m'avaient vendue.
-Absolument pas, répliquai-je d'une voix tremblante.
Sa main se tendit vers moi , hésitante, avant de se reposer lentement sur le volant.
- Je suis désolé.
Afficher en entier- J'aimerai entendre tes théories.
- J'ai pensé à la Kryptonite, aux araignées radio-actives...
- Hum...comme les super héros et si je n'étais pas le héros, si j'étais le méchant...
Afficher en entier- Elle a peur des piqûres, marmonna-t-il en secouant la tête. Un vampire sadique prêt à la torturer à mort ne lui pose aucun problème, elle se jette même des ses bras ! Une simple perfusion en revanche...
Afficher en entier"Avant toi, Bella, reprit-il ensuite, ma vie était une nuit sans lune. Très noire, même s'il y'avait des étoiles – des points de lumière et de raison ... Et puis, tout à coup, tu as traversé mon ciel comme un météore. Soudain, tout brûlait, tout brillait, tout était beau. Quand tu as eu disparu, quand le météore est tombé derrière l'horizon, tout s'est de nouveau assombri. Rien n'avait changé, sauf que mes yeux avaient été aveuglés par la lumière. Je ne distinguais plus les étoiles, et la raison ne signifiait plus rien."
Afficher en entier-Edward...
-Je suis prés de toi
-J'ai...mal...
-Je sais Bella, je sais...chuchotait l'ange, rassurant, tout proche. Tu ne peut rien faire? ajoutait-il,plus éloignés,avec des accent engoissés
-Passe moi ma sacoche ,s'il te plait...Retiens ton souffle ,Alice ,ça sera plus facile
-Alice...
-Elle est là aussi,c'est elle qui ta trouvée.
-Ma main...Elle brûle.
-Carlisle va te donner de quoi calmer la douleur.
-Ma main brûle! m'époumonnai-je en jaillissant enfin du néant ténébreux.
J'ouvris les yeux.je ne distinguai pas son visage .
Quelque chose de sombre et de chaud voilait ma vus.
Pourquoi n'éteignait'ils pas le feu qui me ravageait.
-Bella?
-Il semblait effrayé.
-Le feu! arrêtez le feu! hurlai-je,torturée par d'atroces souffrances
-Carlisle! Sa main!
-Il l'a mordue.
Afficher en entierPendant presque un siècle, j’ai fréquenté mon espèce et la tienne en croyant que je me suffisais à moi-même, sans me rendre compte de ce que je cherchais. Et sans rien trouver, parce que tu n’étais pas encore née.
ilovethehost.overblog.com
Afficher en entier" - C'est le crépuscule, murmura Edward en examinant l'horizon chargé de nuages.
J'eus l'impression que son esprit vagabondait très loin de nous. Je le contemplai qui fixait sans les voir les alentours. Brusquement, il se tourna vers moi.
- C'est le moment de la journée le plus sûr pour nous, dit-il en répondant ) l'interrogation qu'il avait lue sur mon visage. Le plus agréable, le plus triste aussi, en quelques sorte... la fin d'un autre jour, le retour de la nuit. L'obscurité est tellement prévisible, tu ne trouves Pas ?
Il eut un sourire mélancolique.
- J'aime la nuit, décrétais-je. Sans elle, nous ne verrions pas les étoiles. "
Page 280 (livre poche)
Afficher en entier"- Encore une fois, tu as tout faux, murmura-t-il à mon oreille; Tu es scandaleusement indécente. Aucune femme ne devrait avoir le droit d'être aussi tentante, c'est injuste.
- Comment ça, tentante? Je peux me changer...
- Tu es absurde, soupira-t-il en secouant la tête."
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