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Edward se détendit un peu sans pour autant approcher toutefois.
- Inutile d'avoir peur, Bella, chuchota-t-il. Tu ne crains rien, je ne te ferais aucun mal.
Cette promesse cryptique ne servit qu'a m'égarer plus avant. Je le fixai comme une imbécile, incapable de saisir.
- Tout ira bien Bella, Je sais que tu es terrifiée, mais c'est fini. Personne ne te fera aucun mal, je ne te toucherai pas, je ne te ferai aucun mal.
- Pourquoi répètes tu cela ? dis-je en retrouvant enfin ma voix.
J'avançai d'un pas maladroit, il recula.
- Que se passe-t-il ? soufflai-je. Qu'est-ce que tu as ?
- Tu n'as pas peur de moi ? demanda-t-il, soudain aussi égaré que je l'étais.
Afficher en entier- Je te hais, Jacob Black.
- Tant mieux. La haine est une passion.
- Je t'en ficherais, de la passion. Et du meurtre, l'ultime crime passionnel.
- Du calme, s'exclama-t-il joyeusement, l'air d'avoir envie de se mettre à siffler. C'était sûrement mieux qu'embrasser un caillou.
- Rêve, mon pote !
Afficher en entier"-Tu t'es encore cassé la figure, Bella? (Emett)
-Non! J'ai filé un coup de poing dans la tronche d'un loup-garou." (Bella)
Afficher en entiernouvel extrait
« Si tous les autres mourraient mais que lui restait, je continuerais d’être. Si tous les autres survivaient mais que lui disparaissait, l’univers me deviendrait étranger »
Afficher en entierJ'avais cru que Jake soignait le trou de mon coeur. Du moins qu'il le comblait, en muselait la souffrance. je m'étais trompée. Il avait juste creusé son propre trou, si bien qu'à présent, j'étais perforée comme un gruyère.
Afficher en entierÀ cet instant, la pluie se mit à tomber. Je fusillai le ciel du regard.
- Je te ramène, proposa-t-il en essuyant des gouttes sur mes joues.
- La pluie ne me dérange pas. Elle signifie seulement qu’il est temps d’accomplir un acte extrêmement déplaisant et terriblement dangereux.
Alarmé, il écarquilla les yeux.
- Heureusement que les balles ne peuvent pas t’atteindre, précisai-je. Nous allons avoir besoin de cette fichue bague. C’est le moment de mettre Charlie au courant.
- Alors, oui, tu as raison, c’est effectivement périlleux, s’esclaffa-t-il.
Ayant tiré l’écrin de la poche de son jean, il glissa, une fois encore, la bague à ma main gauche, là où elle resterait pour l’éternité.
Afficher en entierSi seulement j'avais pu être frappée par la foudre et coupée en deux ! De façon bien douloureuse, si possible.
Afficher en entierHélas... si Edward réussissait, il me faudrait dire à Jacob de partir pour ne plus jamais revenir. Pourquoi était-ce si difficile, si douloureux ?
Afficher en entier- Ne sois pas idiote. Tu n'aimes donc pas tes doigts de pied ?
Afficher en entier- Il est comme une drogue, pour toi, repris Jacob, sans critique cependant. Je vois à présent que tu es incapable de vivre sans lui. Il est trop tard. N'empêche, j'aurais été plus sain pour toi. Je n'aurais pas été une drogue, mais ton air, ton soleil.
- C'est drôle, c'est ainsi que je t'envisageais, avant. Comme mon soleil qui compensait les nuages de ma vie.
- Je peux combattre les nuages, soupira-t-il. Pas une éclipse.
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