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"J'ai conscience que ce sera dur, mais c'est ce que je veux. Je te veux, pour toujours. Une vie n'y suffira pas."

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Extrait ajouté par Amylove43 2013-04-29T10:39:23+02:00

"Je me concentrait. Il fallait que je dise quelque chose. D'une importance vitale.

Très prudemment, si prudemment que ce geste là fut décelable, je sorti mon bras droit de derrière mon dos et levai la main vers son visage. Je m'interdit de songer à la couleur perle de ma peau, à la soie de la sienne ou à la décharge qui électrocutait l'extrémité de mes doigts. Plantant mes yeux dans les siens, j'entendis ma propre voix pour la première fois:

-Je t'aime.

Ce fut comme si je l'avais chanté. Le carillon d'une clochette. En réponse, il m'offrir le sourire le plus ravageur qui soit et que je voyais vraiment à présent.

-Autant que je t'aime, dit-il.

Prenant mon menton entre ses mains, il s'approcha de moi, assez lentement pour me rappeler de faire attention, et il m'embrassa, d'un baiser d'abord léger comme un murmure, puis de manière plus osée, plus passionnée. Je m'efforçait d'être délicate, mais la tâche ne me fut pas facile sous l'assaut des émotions, qui m'empêchaient de penser de manière cohérente. J'eus l'impression qu'il ne m'avait encore jamais embrassée, que ceci était notre premier baiser. Et, en vérité, il ne m'avait jamais embrassée ainsi. [...]

Quelqu'un se racla la gorge. Emmett. Je reconnus immédiatement la basse de sa voix teintée d'amusement et d'agacement. J'avais oublié que nous n'étions pas seuls. Je me rendis compte ensuite que ma posture (j'étais à moitié enroulée autour d'Edward) n'étais pas des plus polies. Gênée, je reculai d'un pas. Rieur, Edward suivit le mouvement et ne desserra pas son étreinte sur ma taille.[...]

J'eus besoin d'une respiration pour me ressaisir.

Comme ce baiser avait été différent! Tout en comparant son intensité évidente au souvenir flou de mon époque humaine, je constatait qu'Edward semblait... plutôt satisfait de lui.

-Tu te retenais, avant! l'accusai-je de ma voix chantante.

Il s'esclaffa, radieux, soulagé que tout fut terminé - la peur, la douleur, l'incertitude, l'attente.

-C'était nécessaire, alors, se justifia-t-il. Maintenant, c'est à toi de ne pas me briser."

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Nouvel extrait La musique était trop lente a mon goût,et j'avais du mal à ne pas le devancer.Par bonheur,le trajet était très court.Enfin ô enfin,je fus rendue.Edward me tendit la main,et Charlie plaça la mienne dessus,en un geste symbolique vieux comme le monde.Lorsque j'effleurai le froid miracle de sa peau,j'eus l'impression d'être arrivée chez moi.

L'échange des voeux fut simple,mot traditionnels qui avaient été répétés des millions de fois,même si notre couple était unique en son genre.Nous avions juste demandé a M.Weber d'effectuer un infime changement et,au lieu de l'ancestral <<jusqu'à que la mort nous sépare>>,il dit:<<tant que nous vivrons tous deux>>.Au moment où il prononçait ces paroles,mon univers,qui avait été sans dessus dessous pendant si longtemps,parut retrouver sa signification et son équilibre.Je compris à quel point j'avais été sotte de redouter le mariage,comme s'il avait été un cadeau d'anniversaire non désiré ou une manifestation embarrassante,à l'instar du bal de fin d'année.Je plongeai mes yeux dans ceux brillants et triomphants d'Edward et devinai que,moi aussi,j'avais gagné.Parce que plus rien n'importait,sinon que j'allais pouvoir rester à son côté.

Je ne rendis compte de mes larmes qu'à l'instant où vint mon tour de parler.

-Oui,réussis-je à balbutier en chuchotement à peine audible,tout en clignant des paupières pour continuer à le voir.

-Oui,assena-t-il à son tour.

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L’attachement personnel est un luxe que nous ne pouvons nous permettre qu'après avoir éliminé tous nos ennemis.

Avant cela, tous ceux que nous aimons sont des otages qui sapent notre courage et corrompent notre jugement.

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Extrait ajouté par -Swan- 2012-07-28T16:04:30+02:00

LIVRE 3: BELLA

Prologue

Cessant d'être un cauchemar, la ligne noire avança vers nous, cepandant que les foulées de ceux qui la constituaient agitaient la brume glaciale.

"Nous allons mourir", songeai-je, paniquée.J' était au desespoir pour l'être précieux que je défendais. Toutefois, y penser maintenant détournait mon attention et je n'était pas en mesure de me le permettre.

Ils se rapprochèrent tels des fantômes, leurs capes noires doucement agitées par leurs mouvements. Leurs mains se recroquevillèrent en couleurs d'ossements. Ils se séparèrent, afin de nous cerner de toutes parts. Nous étions coincés. Nous allions mourir.

Puis comme sous l'éclaire d'un flash, la scène se modifia brutalement. Rien n'avait changé, pourtant. Les Volturi continuaient de venir à nous, menaçant, prêts au massacre. En revanche, ma perception de ce qui se passait était tout autre. Soudain, j'avais hâte. Je voulait qu'ils attaquent. Ma panique se sublima en soif sanguinaire, alors que je tapissait, un rictus au lèvres, mes dents dévoilées, et qu'un grondement s'échappait de ma gorge.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-20T19:17:23+02:00

Certes, je m’étais attendue à ce qu’Edward tirât avantage de notre marché, qu’il fît pencher la balance en sa faveur, histoire d’offrir beaucoup plus qu’il ne recevrait. J’avais accepté qu’il remplace ma camionnette en temps voulu, n’ayant pas envisagé que ça se produirait aussi vite. Lorsque j’avais été contrainte d’admettre que la Chevrolet était devenue une nature morte le long du trottoir, j’avais deviné que la voiture qu’il comptait m’acheter me mettrait dans l’embarras. Qu’elle ferait de moi l’objet des regards et des racontars. Et j’avais eu raison. Cependant, même dans mes pires cauchemars, je n’avais pas imaginé qu’il m’en donnerait deux. La voiture « d’avant » et celle « d’après », m’avait-il expliqué quand j’avais piqué une crise

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Extrait ajouté par linedu85 2012-04-12T18:56:58+02:00

Prologue de la partie 2 :

Jacob

La vie est nulle et ensuite on meurt ...

Tu parle, je n'aurai pas cette chance.

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Extrait ajouté par lamiss59283 2012-02-24T15:36:10+01:00

Prologue

J'avais eu plus que mon compte d'expériences mortifères, phénomène auquel on ne s'habitue pas.

Il semblait cependant inévitable que j'affronte de nouveau la mort. À croire que j'étais marquée du sceau de la catastrophe. J'avais beau y avoir échappé à maintes reprises, elle ne cessait de revenir à moi.

Pour autant, cette fois différait beaucoup des précédentes.

Il est possible de fuir celui que l'on craint, de lutter contre celui que l'on hait. Je savais réagir face à ce genre de tueurs - monstres et ennemis.

Lorsqu'on aime son assassin, on n'a plus le choix, cependant. Car comment fuir et lutter si cela signifie blesser l'aimé ? Si la vie est la seule chose à lui donner, comment la lui refuser ?

Quand on l'aime réellement ?

1

FIANÇAILLES

« Personne ne te regarde. Personne ne t'observe. Personne ne t'épie », me rassurai-je.

Comme j'étais incapable de mentir de façon convaincante, y compris à moi-même, je me sentis obligée de vérifier, néanmoins.

En attendant que l'un des trois uniques feux de Forks passe au vert, je jetai un coup d'œil sur ma droite - à l'intérieur de son monospace, Mme Weber avait le buste tourné dans ma direction. Son regard me transperça, et je tressaillis. Pourquoi me fixait-elle ainsi ? N'était-il pas impoli de toiser ainsi les gens ? Ou cette règle ne s'appliquait-elle plus à moi ? Puis je pris conscience que les vitres teintées de la voiture étaient si sombres qu'elle ne se rendait sans doute pas compte que je m'y trouvais, encore moins que je l'avais surprise en train de me reluquer. Je tâchai de me consoler en concluant que ce n'était sans doute pas moi qu'elle examinait ainsi, mais le véhicule.

Mon véhicule. Je poussai un soupir.

Un nouveau coup d'œil, à gauche cette fois. Un gémissement m'échappa. Deux piétons s'étaient figés sur le trottoir au lieu de traverser la rue. Derrière eux, M. Marshall était pétrifié dans la vitrine de sa petite boutique de souvenirs. Du moins n'avait-il pas le nez collé au carreau. Pas encore.

Le feu passa au vert et, toute à ma hâte de fuir, j'appuyai sur l'accélérateur sans réfléchir, comme je l'aurais fait pour ébranler mon antique camionnette Chevrolet. Le moteur grondant comme une panthère en chasse, la voiture bondit avec une puissance telle que je fus plaquée sur le siège en cuir noir, et que mon estomac s'écrasa contre ma colonne vertébrale.

— Aaahhh ! criai-je en cherchant la pédale de frein.

Je l'effleurai, ce qui n'empêcha pas l'engin de s'arrêter net, avec un soubresaut. Je n'osai inspecter les alentours afin de jauger les réactions des témoins. Si quelqu'un avait eu des doutes quant au conducteur de cette automobile, ce n'était plus le cas à présent. De la pointe de ma chaussure, j'enfonçai l'accélérateur d'un millimètre, et la voiture repartit à toute vitesse.

Je parvins à atteindre mon but : la station-service. Si je n'avais pas été fébrile, je ne me serais même pas donné la peine de descendre en ville. Je me privais de bien des choses, ces derniers mois, des biscuits aux lacets, rien que pour éviter de passer du temps en public.

Me mouvant comme si je courais un marathon, je ne mis que quelques secondes à ouvrir le volet du réservoir puis ce dernier, à glisser ma carte de crédit dans la pompe et le bec verseur dans le réservoir. Naturellement, je ne pouvais rien pour accélérer le débit, et les nombres défilèrent avec paresse, comme pour m'agacer.

La journée avait beau être typique - maussade et humide -, j'avais l'impression qu'un projecteur était braqué sur moi, attirant l'attention sur la bague délicate à ma main gauche. En pareils moments, imprégnée du sentiment que des yeux se vrillaient sur mon dos, il me semblait qu'elle clignotait, tel un néon : « Regardez-moi, regardez-moi ! »

Je savais qu'il était idiot d'être aussi gênée. Hormis celle de mes parents, que m'importait l'opinion des gens à propos de mes fiançailles ? De ma nouvelle auto ? De ma mystérieuse acceptation dans une université de l'Ivy Leaguel ? De la carte de crédit noire et luisante qui, après avoir réintégré ma poche arrière, paraissait brûler comme un fer chauffé à blanc ?

— Qu'ils pensent ce qu'ils veulent, rouspétai-je dans un souffle.

— Mademoiselle ? lança une voix masculine.

Je me retournai et le regrettai aussitôt. Deux hommes se tenaient devant un 4 x 4 tape-à-l'œil sur le toit duquel étaient fixés des kayaks flambant neufs. Ni l'un ni l'autre ne me regardait - ils étaient bien trop intéressés par la voiture. Personnellement, ce genre de passion m'échappait - il est vrai que j'étais déjà fière de savoir repérer les logos distinguant une Toyota d'une Ford ou d'une Chevrolet. Ce véhicule-là était noir, brillant et joli - pour moi, il restait un moyen de locomotion.

— Désolé de vous déranger, mais pourriez-vous me dire quel est ce modèle ? demanda le plus grand.

— Euh... une Mercedes, non ?

— Oui, je sais, acquiesça poliment l'inconnu, cependant que son camarade levait les yeux au ciel. C'est juste que... il s'agit bien d'une S 600 Guard ?

Il s'était exprimé avec respect. Il se serait bien entendu avec Edward Cullen, mon... mon fiancé (cette triste vérité était désormais incontournable, vu que le mariage était prévu pour dans quelques jours).

— Elles ne sont pas encore sorties en Europe, poursuivait le type. Encore moins ici, donc.

Pendant que ses prunelles s'attardaient sur ma voiture - laquelle, à mes yeux, ressemblait à toutes les autres berlines de la même marque -, je réfléchis brièvement aux problèmes que me posaient les mots « fiancé », « mariage », « mari », etc. Des termes auxquels je n'arrivais pas à donner un sens. Non seulement j'avais été élevée dans la crainte des robes blanches meringuées et des bouquets, mais il m'était impossible d'assimiler l'image sérieuse, respectable et terne de mari avec l'idée que je me faisais d'Edward. C'était comme d'embaucher un archange en guise de comptable ; je ne l'imaginais pas dans un rôle aussi commun.

À ma mauvaise habitude, penser à Edward m'entraîna dans un tourbillon vertigineux de fantasmes. L'inconnu fut obligé de se racler la gorge pour attirer mon attention. Il attendait encore ma réponse concernant le modèle de mon véhicule.

— Je n'en ai pas la moindre idée, avouai-je honnêtement.

— Ça ne vous ennuie pas si je me prends en photo à côté ?

Je mis une seconde à comprendre sa requête.

— Vous voulez vraiment être photographié avec ma voiture ?

— Oui. Sinon, personne ne me croira. Ce sera une preuve.

— Hum. D'accord. Pas de souci.

Je m'empressai de terminer le plein et de regagner mon siège afin de me cacher, cependant que l'enthousiaste sortait un énorme appareil de son sac à dos. Son ami et lui prirent la pose tour à tour près du capot, puis à l'arrière.

— Ma camionnette me manque, marmonnai-je pour moi-même.

Ma Chevrolet avait poussé son dernier soupir quelques semaines seulement après l'accord bancal auquel Edward et moi étions parvenus. Ce qui était vraiment très, très bien tombé. Trop bien tombé. Un détail du compromis stipulait en effet que je l'autorisais à remplacer mon pick-up lorsqu'il rendrait l'âme. Edward avait juré qu'il fallait s'y attendre ; ma fourgonnette avait eu une longue vie bien remplie avant de mourir de causes naturelles. Ça, c'était sa version. Naturellement, je n'avais aucun moyen de vérifier ses allégations, non plus que de tenter de ressusciter la Chevrolet, puisque mon mécanicien préféré...

J'étouffai dans l'œuf cette pensée, peu désireuse de la laisser m'entraîner vers des conclusions désagréables. À la place, je tendis l'oreille à ce que les deux hommes se racontaient, dehors, leurs voix atténuées par l'épaisseur de l'habitacle.

— ... sur la vidéo en ligne, ils y allaient au lance-flammes. Ça n'a même pas écaillé la peinture.

— Bien sûr que non. Un tank ne viendrait pas à bout de cette merveille. Mais il n'y a pas de vrai marché pour elle, ici. Elle a surtout été conçue pour les diplomates du Moyen-Orient, les trafiquants d'armes et les seigneurs de la drogue.

— Tu crois qu'elle en est ? demanda le plus petit des deux en baissant le ton.

Je me courbai en deux, les joues rouges.

— Bof, répondit le grand. Peut-être. Je ne vois pas qui aurait besoin de verre antimissile et de deux tonnes de carrosserie blindée par ici. Elle doit sûrement se rendre dans des parages plus dangereux.

Une carrosserie blindée... deux tonnes de carrosserie blindée. Et du verre anti-missile ? Super ! Qu'était-il advenu des bonnes vieilles protections pare-balles ? En tout cas, ce cadeau luxueux avait une signification, maintenant. À condition d'avoir un sens de l'humour dévoyé.

Certes, je m'étais attendue à ce qu'Edward tirât avantage de notre marché, qu'il fit pencher la balance en sa faveur, histoire d'offrir beaucoup plus qu'il ne recevrait. J'avais accepté qu'il remplace ma camionnette en temps voulu, n'ayant pas envisagé que ça se produirait aussi vite. Lorsque j'avais été contrainte d'admettre que la Chevrolet était devenue une nature morte le long du trottoir, j'avais deviné que la voiture qu'il comptait m'acheter me mettrait dans l'embarras. Qu'elle ferait de moi l'objet des regards et des racontars. Et j'avais eu raison. Cependant, même dans mes pires cauchemars, je n'avais pas imaginé qu'il m'en donnerait deux.

La voiture « d'avant » et celle « d'après », m'avait-il expliqué quand j'avais piqué une crise.

1. Groupement des universités américaines les plus prestigieuses. Toutes les notes sont du traducteur.

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Dans le salon, les deux idiots s'étaient tus. J'espérais que Jacob ne tarderait pas à s'en aller. J'eus un sourire mauvais en imaginant son malaise.

_ Comment est-ce arrivé? demanda Edward.

_ J'ai donné un coup de poing à Jacob.

_ Bien. Navré que tu te sois fait mal.

_ Je regrette de ne pas lui avoir fait mal.

_ Je peux t'arranger ça, si tu veux.

_ Je n'en attendais pas moins de toi, merci.

_ Voilà qui ne te ressemble pas . La raison de ce coup?

_ Il m'a embrassée.

_ Pour seule reponse, j'eus droit au rugissement du moteur tandis que la voiture accélérait.

_ Il vaudrait mieux que tu t'en ailles, Jake, lâcha Charlie, dans la pièce voisine.

_ Je préfère rester, si vous n'y voyez pas d'inconvénient.

_ C'est toi qui choisis, marmonna mon père.Il s'agit de ta mort, pas de la mienne.

_ Le clébard est encore dans les parages? finit par reprendre Edward.

_ Oui.

_ Je suis au coin de la rue.

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Extrait ajouté par lesli34 2010-08-23T19:55:09+02:00

J'avais eu plus que mon compte d'expériences mortifières, phénomène auquel on ne s'habitue pas.

Il semblait cependant inévitable que j'affronte de nouveau la mort. A croire que j'étais marquée su sceau de la catastrophe. J'avais beau y avoir échappé à maintes reprises, elle ne cessait de revenir à moi.

Pour autant, cette fois différait beaucoup des précédentes.

Il est possible de fuir celui que l'on craint, de lutter contre celui que l'on hait. Je savais réagir face à ce genre de tueurs-monstres et ennemis.

lorsqu'on aime son assassin, on n'a plus le choix, cependant.

Car comment fuir et lutter si cela signifie blesser l'aimé ? Si la vie est la seule chose à lui donner, comment la lui refuser ?

Quand on l'aime réellement ?

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