Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 944
Membres
1 008 913

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

_ Bella ? appela Edward, dont la voix se rapprocha, veux-tu que je te montre une nouvelle fois?

C'était inutile. Je me rappelais chaque geste à la perfection, naturellement. de plus, je ne souhaitais pas donner à Emmett une raison de trouver mon éducation encore plus amusante qu'elle ne l'était déjà. Sauter par dessus la rivière était physique ; cela devais également être instinctif. Respirant un bon coup, je me ruai en avant.

Afficher en entier
Extrait ajouté par stella67 2010-12-12T00:52:25+01:00

- Les oreillers semblent avoir survécu.

- Malheureusement, je ne peux pas dire la même chose de la...euh...chemise de nuit.

Du menton, il désigna le pied du lit, où des lambeaux de dentelle noire jonchaient les draps de soie.

- Dommage, je l'aimais bien.

- Moi aussi.

- Où sont les autres blessés ?

- Il faudra que j'achète une nouvelle tête de lit à Esmé, confessa-t-il en jetant un coup d'œil derrière lui.

Suivant son regard, je fus choquée de découvrir que de vastes morceaux de bois avaient été arrachés au côté gauche du meuble.

- Hum ! Et moi qui n'ai rien entendu !

- Tu es extraordinairement distraite quand ton attention est accaparée.

- J'étais un peu absorbée, admis-je en devenant écarlate.

Il caressa ma joue et soupira.

- Cela va vraiment me manquer.

Afficher en entier
Extrait ajouté par missi972 2011-09-27T03:17:07+02:00

— Si, mais... eh bien, j'ai une raison de rester humaine que je n'avais pas avant.

— Laquelle ?

— Devine.

Sur ce je me redressai pour l'embrasser. Il me rendit mon baiser, mais pas d'une façon qui me donna à penser que j'étais en train de gagner. C'était plutôt comme s'il prenait soin de ne pas me vexer ; il se contrôlait d'une manière totale et agaçante. Tendrement, il rompit notre étreinte et me colla contre lui.

— Tu es tellement humaine, Bella, rit-il. Dominée par tes hormones.

— C'est tout l'intérêt, justement. J'aime cet aspect-là de mon humanité. Je n'ai pas envie d'y renoncer tout de suite. Je ne veux pas attendre des années, pendant lesquelles je serai un vampire nouveau-né avide de sang, pour la retrouver.

Je ne pus retenir un bâillement, et il sourit.

— Tu es fatiguée. Dors, mon amour.

Il se mit à fredonner la berceuse qu'il avait composée pour moi.

— Je me demande pourquoi je suis aussi éreintée, marmonnai-je. J'espère qu'il ne s'agit pas d'une de tes entourloupes.

Afficher en entier
Extrait ajouté par stella67 2010-12-12T00:52:25+01:00

- Désolée, soufflai-je, soulagée. Je ne voulais pas...je ne sais pas exactement ce qui m'a pris, cette nuit.

- En tout cas, tu ne m'as toujours pas détaillé ton rêve.

- D'accord, mais je t'ai montré sur quoi il portait, ripostai-je avec un rire nerveux.

- Oh ! Intéressant.

- C'était un très beau rêve, marmonnai-je. Suis-je pardonnée ? demandai-je ensuite, parce qu'il ne commentait pas.

- J'y réfléchis.

Afficher en entier
Extrait ajouté par dabao 2010-11-15T13:49:57+01:00

- Pourquoi m'infliges-tu cela ? se fâcha-t-il, tout à coup. Comme si ce n'était pas assez difficile avec ces fanfreluches! (Il attrapa une poignée de dentelle noire qui froufroutait sur sa cuisse et, un instant, je crus qu'il allait la déchirer, puis sa poigne se détendit). Aucune importance. De toute façon, je refuse de marchander avec toi.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Sookie1999 2013-01-05T23:27:17+01:00

(Jacob et Renesmee )

(...)

-Sa suffit surement pour aujourd'hui, lança Jacob, dont la voix montait dans les aigus, sous l'effet de l'angoisse. Bella se débrouille très bien, mais inutile de tenter le sort.

Je le toisai avec irritation. Près de moi, Jasper se trémoussait, mal a l aise. Nous étions tellement serres les uns contre les autres que le moindre mouvement prenais des proportion démesurées.

-C est quoi, ton problème, Jacob? Aboyai-je.

Je tirai légèrement sur l'enfant, et il se rapprocha. Au point que Renesmee nous touchait l'un et l'autre.

-Ce n'est pas parce que je suis en mesure de comprendre que je ne suis pas prêt a te jeter dehors, Jacob! Siffla Edward. Bella s'en tire remarquablement bien. Ne lui gâche pas son plaisir.

-Et je l'aiiderai a te mettre a la porte, clebard! Fulmina Rosalie. Je te dois un bon coup dans le ventre, je te rappell.

Bon, visiblement ces deux-la ne c'etaient pas rabiboche. Leur antagonisme paraissait avoir empire, même.

Je scrutai l'expression presque furieuse de Jacob.

Ses yeux étaient vrilles sur Renesmee. Vu le cohue, il était en contact avec au moins 6 vampires a la fois, ce qui semblait ne pas le derande le moins du monde. Était-il vraiment prêt a endurer tout cela rien que pour me protéger de moi-même? Que s'était-il passer durant ma transformation -- en une creature qu'il détestait --, pour qu'il se radoussice autant envers ce qui en était a l'origine? Je continuais a m'interroger tout en l'observant contempler ma fille. On aurait dit qu'il ... qu'il était un aveugle découvrant le soleil pour la premiere fois de son existence.

-NON! Hoquetai-je.

Jasper montra les dents, et Eward noua ces bras autour de ma poitrine avec la force d'un boa constricteur. Jacob me reprit Renesmee, et je le laissai faire. En effet, je sentais venir la crise que tous avaint guettée, redouttee.

-Rose? Grondai-je d'une voix lente et précise. Emmene Renesmee.

Rosalie tendit les bras et Jacob lui donna aussitôt l'enfant. Tout 2 s'ecarterent de moi.

-Edward? Je ne veux pas te blesser. Lâche-moi, s'il te plait.

Il hésitât.

-Va te mettre devant Renesmee, suggérais-je.

Il tergiversa, puis obtempéra. Bondissant en position d'attaque, je fis 2 pas vers Jacob.

-Tu n as pas ose! Grognai-je.

Il recula, paumes en l'air, tenant de ma raisonner.

-tu sais bien que je n'ai aucun contrôle la dessus.

-Espèce de FICHU CABOT ! Comment as-tu pu? MON BEBE!

Il sortit, et je le suivis sur le perron.

-Je n'y suis pour rien, Bella!

-Je viens a peine de la mettre au monde et tu te crois déjà en droit d'avoir des visées sur elle, sous prétexte de je ne sais quelle imbécillité de loup? Elle est a MOI!

-Je partagerais, cria-t-il d'une voix suppliante, sans cesser de s,eloigner a travers la pelouse.

-Par ici la monnaie, entendissent-je Emmett dire a quelqu'un.

Une partie de mon cerveau se demanda qui avait eu l'idioties de parier contre, vu la tournure que prenait les événements. Mais cela ne m'occupas pas longtemps, tant j'étais furieuse.

-Comment a tu eu le culot de t'imprégner de mon bebe? Tu as perdu l'esprit?

-C'était involontaire, plaida-t-il en s'enfoncant dans la foret.

Soudain, il ne fut plus seul. 2 énormes loup avaient surgi, le flanquant de chaque cote. Leah montra les crocs. Un grondement effrayant monta de ma gorge, en signe de réponse. Si le bruit me perturba, il ne m'empêcha pas de continuer a avancer.

-S'il te plait, Bella, écoute-moI une seconde! Je t'en prie. Recule, Leah!

Cette derniere n'obeit pas.

-Et pourquoi t'écouterais-je? Braillai-je.

Dans mon crâne, la fureur obscurcissait tout le reste.

-Parce que tu es celle qui m'a dit cela. As-tu oublie? Tu m'as dit que nos vies étaient entremêlées. Que nous formions une seul famille. Que c'était censé se passer comme ça. Eh bien, voila ... Nous y sommes. C'est ce que tu désirais.

Je le fusillai du regard. Je me rappelai vaguement ces mots. Hélas, mon cervaux neuf et rapide précédait de 2 pas ces âneries.

-Tu espère intégrer ma famille comme GENDRE? Hurlai-je.

Ma voix monta de 2 octaves, ce qui ne l'empêcha pas de sonner comme une musique. Emmett éclata de rire.

-Retiens-la, Edward, murmura Esme. Elle sera malheureuse,si elle lui faitdu mal.

Toutefois, je ne devinai aucun mouvement derrière moi.

-Non, brailla Jacob pendant ce temps-la. Comment peux-tu penser une chose pareille? Elle n'est qu'un bebe, bon Dieu.

-JUSTEMENT!

-Tu sais bien que je ne l'envisage pas ainsi. Pense-tu qu'Edward l'aurait laisse en vie aussi longtemps, sinon? Tout ce que je veux, c'est qu'elle soit heureuse, en bonne santé. Est-ce si mal? Si différent de ce que toi, tu souhaite?

Lui aussi était en colère,a présent. Incapable de trouver les bonnes paroles, je grognai.

-N'est-elle pas extraordinaire? Entendissent-je Edward chuchoter.

-Elle ne lui a pas encore saute a la gorge, rencherit Carliste, admiratif.

-D'accord, tu gagne celui-la, grommela Emmett.

-Tu as intérêt a ne pas t'approcher d'elle, lançai-je a Jacob.

-C'est impossible.

-Je te conseille d'ESSAYER! Et TOUT DE SUITE!

-Je ne peux pas. Te souviens tu a quel point tu voulais que je sois présent a ton cote? A quel point il nous étaient difficiles de nous sépares l'un de l'autre? Cela n'est plus, pour toi, n'est ce pas ?

Je fulminai, soupçonneuse quant au message qu'il s'efforçait de faire passer.

-C'etait elle, continua-t-il. Des le début. C'est a cause d'elle que nous devions être ensemble.

Je me souvins, et compris. Une minuscule par de moi fut soulagée d'avoir une explication a cette démence. Sauf que la perte de ce fardeau fit que renforcer ma rage. S'attendais-t-il que cela me suffise? Que cette clarification infime me rende pour autant la situation tolérable?

-Cours tant que tu peux! Menaçait-je.

-Allons,Bella! Nessie m'aime bien elle, aussi.

Je me figeais.je cessai de respirer. Derrière moi, l'absence de réaction me signifia une soudaine anxiété générale.

-Comment l'as-tu appelée?

Jacob s'eloigna encore, l'air penaud.

-Ben... le prénom que tu lui as donne est complique, alors...

-Tu as surnomme ma fille comme le MONSTRE DU LOCH NESS, écumais-je.

Sitôt après,je me jetai a sa gorge.

(...)

Afficher en entier
Extrait ajouté par dabao 2010-11-15T13:49:57+01:00

- Ex-es-excuse-moi, bégayai-je.

Il me ramena contre lui et me serra fort contre son torse marmoréen.

- Je ne peux pas, Bella. je ne peux pas !

Ce gémissement était celui d'une véritable souffrance.

- Je t'n supplie, Edward.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Anne-118 2011-04-10T17:19:03+02:00

- Ha ! s'était esclaffé Charlie (et j'avais sursauté). Ha ! Ha ! Ha !

Je l'avais contemplé avec incrédulité, tandis qu'il était secoué par le rire. Me tournant vers mon amoureux, j'avais constaté qu'il serrait les lèvres, comme si lui aussi tâchait de lutter contre l'hilarité.

- Très bien, s'était étranglé mon père, amrie-toi si ça te chante. Mais...

Il s'était interrompu, en proie à une nouvelle salve de joie.

- Mais quoi ?

- C'est toi qui te charges d'avertir ta mère ! Ne compte pas sur moi pour en toucher un mot à Renée.

Sur ce, il s'était tordu de rire.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Schima 2011-01-11T17:12:43+01:00

mes tremblements s'accentuèrent. je m'accroupis, prêt à bondir sur la vampirette blonde afin de réduire en pièces et à coups de dents la chose meurtrière qu'elle berçait. Rosalie émit de nouveaux roucoulements, posa le biberon métallique et souleva le monstre pour lui caresser le visage de son nez.

parfait. elle m'offrait littéralement ma proie. je me penchai en avant, sentant la chaleur me transformer cependant que l'attraction vers le petit assassin augmentait. jamis elle n'avait été aussi puissante, au point qu'elle m'évoqua un ordre lancé par un Alpha. comme si elle risquait de m'écraser si je ne lui obéissais pas.

mais cette fois, je souhaitais lui obéir.

l'assassin miniature me regarda par-dessus l'épaule de Rosalie. ses prunelles étaient plus concentrées que celles de n'importe quel autre nouveau-né. des yeux marron chaleureux, couleur chocolat au lait, comme ceux de Bella.

mes frissons s'arrêtèrent net. la chaleur m'envahit, encore plus forte, mais elle avait changé de qualité - elle ne brûlait plus.

elle rougeoyait.

tout ce qui me constituait se délita pendant que je fixais le visage de porcelaine du bébé mi-vampire, mi-humain. tous les fils qui me retenaient à la vie furent vivement tranchés. tout ce qui participait de celui que j'étais - mon amour pour la mort à l'étage, mon amour pour mon père, ma loyauté envers ma nouvelle meute, mon amour pour mes frères, la haine de mes ennemis, de mon foyer, de moi-même - fut coupé en un instant comme des ficelles de ballons - clic, clic, clic -, qui s'envolèrent dans le ciel.

moi, je ne m'envolai pas. je restai attaché là où je me trouvais.

pas par une ficelle, par un million de ficelles. pas par des ficelles, par des câbles d'acier. un million de câbles d'acier qui liaient à une seule chose - au centre même du monde.

il m'apparut alors que l'univers tournait autour de ce point unique. moi qui n'avais encore jamais pris conscience de la symétrie des choses, je la découvris clairement.

la gravité terrestre ne me retenait plus à l'endroit où j'étais. à la place, c'était cette petitte fille dans les bras de Rosalie.

Renesmée.

du premier étage nous parvint un nouveau son. le seul susceptible de me toucher en cet instant infini.

Un battement frénétique et précipité...

un coeur en mutation.

Afficher en entier
Extrait ajouté par stella67 2010-12-12T00:52:25+01:00

J'eus un petit rire surpris quand je compris qu'elle ne se terminerait jamais.

- Tu partages la plaisanterie avec moi ?

Édouard m'entrainait vers la porte.

- Elle n'est pas terrible. Je me disais seulement qu'aujourd'hui était le premier et le dernier jour de l'éternité. J'ai un peu de mal à appréhender de concept. En dépit de mon nouveau cerveau.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode