Ajouter un extrait
Liste des extraits
J'avais peur qu'il ne disparut dans une brisque explosion de fumée et de me réveiller par la même occasion. Il semblait attendre que je parle.
-Quel revirement, réussis-je enfin à murmurer.
-Disons que...
Il s'interrompit, puis reprit d'une seule traite :
-J'ai décidé, puisque je suis voué aux Enfers, de me damner avec application.
Je ne répondis pas, espérant des paroles plus explicites. Les secondes s'écoulèrent.
-Tu sais, finis-je par lâcher, je n'ai pas la moindre idée de ce que tu entends par là.
Afficher en entier-Qui sont ces gens? Demandais-je à ma voisine, dont le nom m'échappait toujours.
Au moment où elle se redressait pour voir de qui je parlais, bien qu'elle l'eut surement deviné rien qu'à mon ton, il leva brusquement la tête (...) c'était comme si mon interlocutrice l'avait hélé et qu'il avait réagi instinctivement (...)
(PARALLÈLE AVEC MIDNIGHT SUN)
Edward.
Je réagis automatiquement à l'appel de mon prénom, bien qu'il n'ait pas été prononcé, juste pensé.
Afficher en entier-Bella?
Sa voix n'aurait pas dû m'être aussi familière.
Afficher en entierI was confused by the mystery Edward presented. And more than a little obsessed by Edward himself. Stupid, stupid, stupid. I wasn’t as eager to escape Forks as I should be, as any normal, sane person would be.
Afficher en entier-En chemin, je réflechissais...
-A la meilleure façon d'éviter les arbres, j'espère.
-Petite sotte. Courrir est une deuxième nature chez moi. Je n'ai pas besoin d'y penser.
-Frimeur, répétai-je.
-Non, enchaîna-t-il en souriant, je réfléchissais à un truc que jai envie d'essayer.
Sur ce, il reprit mon visage entre ses mains en coupe. J'arrêtai de respirer. Il hésita-pas d'une façon normale, pas d'une façon humaine, pas comme un homme pourrait tergiverser avant d'embrasser une femme, afin de jauger sa réaction, de voir comment elle va le prendre. Ou pour prolonger l'instant, ce moment parfait d'anticipation, parfois meilleur que le baiser lui-même. Edward, lui, hésita pour se tester, pour vérifier que s'était sans danger, qu'il contrôlait sa soif. Puis ses lèvres de marbre froid se posèrent tout doucement sur les miennes.
Ce à quoi ni lui ni moi n'étions prêts, ce fut ma réaction.
Mon sang bouillonna sous ma peau, incendia ma bouche. Mon souffle devint heurté et erratique. Mes doigts aggripèrent ses cheveux, collant sa tête contre la mienne. Mes lèvres s'ouvrirent, et j'inhalai à fond son odeur capiteuse. Aussitôt, il se pétrifia. Ses mains, douces mais fermes, me repoussèrent.
Rouvrant les yeux, je vis qu'il était sur ses gardes.
Afficher en entier-En chemin, je réflechissais...
-A la meilleure façon d'éviter les arbres, j'espère.
-Petite sotte. Courrir est une deuxième nature chez moi. Je n'ai pas besoin d'y penser.
-Frimeur, répétai-je.
-Non, enchaîna-t-il en souriant, je réfléchissais à un truc que jai envie d'essayer.
Sur ce, il reprit mon visage entre ses mains en coupe. J'arrêtai de respirer. Il hésita-pas d'une façon normale, pas d'une façon humaine, pas comme un homme pourrait tergiverser avant d'embrasser une femme, afin de jauger sa réaction, de voir comment elle va le prendre. Ou pour prolonger l'instant, ce moment parfait d'anticipation, parfois meilleur que le baiser lui-même. Edward, lui, hésita pour se tester, pour vérifier que s'était sans danger, qu'il contrôlait sa soif. Puis ses lèvres de marbre froid se posèrent tout doucement sur les miennes.
Ce à quoi ni lui ni moi n'étions prêts, ce fut ma réaction.
Mon sang bouillonna sous ma peau, incendia ma bouche. Mon souffle devint heurté et erratique. Mes doigts aggripèrent ses cheveux, collant sa tête contre la mienne. Mes lèvres s'ouvrirent, et j'inhalai à fond son odeur capiteuse. Aussitôt, il se pétrifia. Ses mains, douces mais fermes, me repoussèrent.
Rouvrant les yeux, je vis qu'il était sur ses gardes.
Afficher en entier-En chemin, je réflechissais...
-A la meilleure façon d'éviter les arbres, j'espère.
-Petite sotte. Courrir est une deuxième nature chez moi. Je n'ai pas besoin d'y penser.
-Frimeur, répétai-je.
-Non, enchaîna-t-il en souriant, je réfléchissais à un truc que jai envie d'essayer.
Sur ce, il reprit mon visage entre ses mains en coupe. J'arrêtai de respirer. Il hésita-pas d'une façon normale, pas d'une façon humaine, pas comme un homme pourrait tergiverser avant d'embrasser une femme, afin de jauger sa réaction, de voir comment elle va le prendre. Ou pour prolonger l'instant, ce moment parfait d'anticipation, parfois meilleur que le baiser lui-même. Edward, lui, hésita pour se tester, pour vérifier que s'était sans danger, qu'il contrôlait sa soif. Puis ses lèvres de marbre froid se posèrent tout doucement sur les miennes.
Ce à quoi ni lui ni moi n'étions prêts, ce fut ma réaction.
Mon sang bouillonna sous ma peau, incendia ma bouche. Mon souffle devint heurté et erratique. Mes doigts aggripèrent ses cheveux, collant sa tête contre la mienne. Mes lèvres s'ouvrirent, et j'inhalai à fond son odeur capiteuse. Aussitôt, il se pétrifia. Ses mains, douces mais fermes, me repoussèrent.
Rouvrant les yeux, je vis qu'il était sur ses gardes.
Afficher en entier_Qu'y a-t-il ?
_Newton me tape sur le système.
_Ne me dis pas que tu nous as espionnés ! Me récriai-je, horrifiée.
Ma bonne humeur s'était volatilisée, soudain.
_Comment va ta tête ? me demanda-t-il innocemment.
_Je te déteste !
Sur ce, je filai vers le parking, hésitant encore à renter par mes propres moyens. Il me rattrapa sans mal.
_C'est ta faute, se défendit-il. C'est toi qui as mentionné que je ne t'avais jamais vue en sport. ça a éveillé ma curiosité.
Afficher en entier_Allez-y, conclut M.Banner.
_Les dames d'abord ? me proposa Edward.
Son sourire était si beau que je le dévisageai comme une idiote.
_à moins que tu préfères que je commence.
Le sourire se fana. Visiblement, il s'interrogeait sur mes capacités mentales.
Afficher en entier-Tu crois sérieusement être plus attachée à moi que moi à toi ? murmura-t-il en se rapprochant encore de moi, l'or sombre de ses pupilles me transperçant le cœur.
Je dus me rappeler de respirer et détourner le regard avant de perdre pied.
-Tu recommences, marmonnai-je.
-Quoi ? s'étonna-t-il.
-A m'éblouir.
-Oh. Désolé.
-Bon tu répond à ma question ?
-Oui.
-Oui tu répond à ma question ou oui tu estimes tenir plus à moi que l'inverse ? s’énerva-t-il.
-Oui, je suis plus attirée par toi que tu ne l'es par moi.
Je gardais les yeux baissés sur le plastique laminé imitation bois d la table et m'entêtais à ne pas rompre le silence la première tout en résistant à la tentation de vérifier ta réaction.
-Tu as tort, finit-il par dire doucement.
Je levais la tête pour plonger dans la tendresse qui avait envahi ses prunelles.
Afficher en entier