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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-20T19:15:21+02:00

J’inspectais les alentours afin de m’assurer que la voie était libre lorsque je remarquai une silhouette blanche et immobile. Edward Cullen s’appuyait contre la porte avant de la Volvo, à trois voitures de là, et me fixait. Aussitôt, je fis marche arrière, manquant, dans ma hâte, d’emboutir une Toyota Corolla rouillée. Heureusement pour elle, j’enfonçai la pédale de frein à temps. C’était exactement le genre de véhicule que ma camionnette aurait réduit en bouillie. Je pris une profonde inspiration et, veillant avec application à ne pas le regarder, je repris ma manœuvre, avec plus de succès ce coup-ci. Raide comme un piquet, je dépassai la Volvo – j’aurais juré qu’Edward riait

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Extrait ajouté par anonyme 2012-03-11T11:42:10+01:00

- C’est le crépuscule, murmura Edward en examinant l’horizon chargé de nuages.

J’eus l’impression que son esprit vagabondait très loin de nous. Je le contemplai qui fixait sans les voir les alentours. Brusquement, il se tourna vers moi.

- C’est le moment de la journée le plus sûr pour nous, dit-il en répondant à l’interrogation qu’il avait lue sur mon visage. Le plus agréable, le plus triste aussi, en quelque sorte... la fin d’un autre jour, le retour de la nuit. L’obscurité est tellement prévisible, tu ne trouves pas ?

Il eut un sourire mélancolique.

- J’aime la nuit, décrétai-je. Sans elle, nous ne verrions pas les étoiles. Bien qu’ici ce ne soit guère facile, tempérai-je.

Il s’esclaffa, et l’atmosphère s’allégea aussitôt.

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Extrait ajouté par angel101076 2011-09-17T15:26:27+02:00

Pour commencer, je devais décider si ce que Jacob avait dit à propos des Cullen était vrai.

La réponse fusa, instinctive - non. Il était bête et morbide d'entretenir des idées aussi ridicules. Mais alors?Il n'y avait pas d'explication rationnelle au fait que j'étais encore vivante. Une nouvelle fois, je listai mentalement mes observations : la vitesse et la puissance incroyables, les yeux passant du noir à l'or pour revenir au noir, l'inhumaine beauté, la peau pâle et glaciale. Et aussi - détails qui s'étaient lentement inscrits dans ma mémoire - cette façon qu'ils avaient de ne jamais manger, la grâce dérangeante avec laquelle ils se déplaçaient.

Et la manière qu'il avait de parler, parfois, ses phrases et ses cadences qui auraient mieux correspondu à un personnage de roman du début du XIXème siècle qu'à un lycéen d'aujourd'hui Il avait séché le cours d'identification de nos groupes sanguins. Il n'avait refusé l'invitation à la mer que lorsqu'il avait appris où nous allions. Il paraissait deviner ce que tout le monde autour de lui pensait... sauf moi. Il m'avait confié être un méchant, un être dangereux...

Se pouvait-il que les Cullen fussent des vampires?

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Extrait ajouté par Gneygney 2012-11-30T13:05:49+01:00

"- Quelles sont donc les bêtises pour lesquelles je devrais présenter des excuses?

- Tu as failli me quitter à jamais.

- Désolée."

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Extrait ajouté par anonyme 2012-03-11T11:41:41+01:00

- Qu’est-ce que tu vas lui dire ? murmura Edward.

- Hé ! Je croyais que tu n’arrivais pas à lire dans mes pensées.

- Ce n’est pas le cas, se défendit-il, étonné par cette attaque. Mais je décrypte les siennes, et je peux t’affirmer qu’elle a l’intention de te cuisiner.

Gémissant, j’ôtai sa veste et la lui rendis pour la remplacer par mon coupe-vent.

- Alors, répéta-t-il, que vas-tu lui dire ?

- Donne-moi donc un coup de main. Qu’attend-elle de moi ?

- Ce ne serait pas du jeu, objecta-t-il en secouant la tête, un sourire malicieux aux lèvres.

- Parce que refuser de partager ce que tu sais, c’est du jeu ?

Il y réfléchit tout en m’accompagnant jusqu’à mon premier cours.

- Elle désire apprendre si nous sortons secrètement ensemble. Et ce que tu ressens pour moi.

Je décidai de jouer les gourdes.

- Zut ! Comment pourrais-je qualifier notre relation ?

Des gens déambulaient autour de nous, probablement curieux, mais j’étais à peine consciente de leur présence.

- Voyons... médita Edward en remettant en place une de mes mèches folles (je frôlai la crise cardiaque). J’imagine que tu pourrais répondre par l’affirmative à sa première question... Si ça ne te dérange pas, naturellement. Ce sera plus facile que toute autre explication.

- Ça ne me dérange pas du tout, chuchotai-je.

- Quant à la deuxième... eh bien, disons que je tâcherai de l’écouter pour en connaître la teneur.

Un coin de sa bouche s’étira pour former ce sourire tordu que j’aimais tant. Le souffle coupé, je ne sus que rétorquer à cette dernière perfidie. Tournant les talons, il me laissa en plan.

- On se voit au déjeuner, lança-t-il en s’en allant.

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Extrait ajouté par b3by-nany 2011-08-10T21:06:02+02:00

Je me suis rarement demandé comment j'allai mourir mais mourir à la place d'un être cher me semble une fin enviable. (Bella)

Cette nuit pour la première fois, je rêvais d'Edward Cullen. (Bella)

Je crois que je n'ais plus la force d'être loin de toi ne se reste qu'un instant. (Edward)

-Tu as une vitesse et une force incroyable, ta peau est plafadre et à la froideur du mabre, tes yeux changent de couleurs et parfois tu t'exprime comme si tu venais d'une autre époque, tu ne bois pas, tu ne mange rien, tu évite le soleil, quel âge as-tu?

-17 ans

-17 ans depuis combien de temps?

-longtemps

(Bella & Edward)

Ma famille et moi sommes différents de nos semblables, nous ne chassons que les animaux, nous avons apprit a contrôler notre soif, mais toi et ton odeur son comme une drogue pour moi, tu es ma dose d'heroïne. (Edward)

-Ecoute Bella, je sais que je n'es pas toujours été de bonne compagnie mais je peux changer sa, ont peu faire des trucs mieux tous les deux

-Comme quoi? Regarder le Baseball sur l'écran plat? Manger au resto tous les soirs steak et crumble ? Non sa c'est toi, c'est pas moi

-Bella arrête, tu...ont vient à peine de se retrouver !

-Je sais mais si je pars pas toute suite, je vais pourrir ici comme maman.

(Charlie & Bella)

Bella tu es toute ma vie à présent. (Edward)

Personne ne rendra les armes ce soir, mais je ne céderais pas, je sais ce que je veux. (Bella)

Il y'a 3 choses dont j'étais absolument certaine, d'abord Edward était un vampire, ensuite une part de lui même et j'ignorais à quel point, avait soif de mon sang et enfin j'étais inconditionnellement et irrévocablement amoureuse de lui. (Bella)

-Tu es Isabella Swan? La nouvelle, salut moi c'est Eric, les yeux et les oreilles du Lycée de Forks, tu as besoin de quelque chose? Compagnon de table, guide ou confident ?

- Euh, je ne sais pas quoi te répondre, je souffre en silence généralement. (Eric & Bella)

-Ils ont été recueillit par le docteur et Madame Cullen, leur famille à débarquer d'Alaska il y'a quelques années

-Et ils sont un peu renfermer

-Oui, ils sont tout le temps ensemble, genre, vraiment ensemble, la blonde c'est Rosalie et le brun atlétic c'est Emmett, ils font qu'un, je ne sais même pas si c'est légal

-Jessica ! Ils n'ont pas de liens parentés

-Oui mais ils vivent ensemble, c'est bizarre, et regarde la petite brune derrière, Alice, elle est super zarbi, elle est avec Jasper, le blond qui a toujours l'air de souffrir. Euh...Le docteur Cullen est un genre de père nourrisier patrimonial

-Il m'adoptera peut-être !

-Et lui ?

-Lui, c'est Edward Cullen, il est carrément à tomber comme tu peux le voir, mais apparament, personne n'est assez bien pour lui. Comme si il était intérréssé !. (Angela, Jessica & Bella)

-Et si je n'étai pas le héro, si en faît, j'étai le méchant

-Je ne peux pas le croire, mais je sais où tu veux en venir, tu dit ça pour éloigner les gens, c'est un masque ! ( Edward & Bella)

J'éprouve le besoin de te proteger où que tu sois. (Edward)

C'est parce que tu crois aux mensonges, c'est un camouflage, je suis le prédateur le plus dangereux du monde, chaques détails de mon apparence est fait pour te séduire, ma voix, mon visage, jusqu'à mon odeur. Comme si j'avais besoin de tout cela, comme si tu pouvais m'échapper, comme si tu pouvais me vaincre, j'ai été crée pour tuer, j'ai déjà tuer beaucoup d'humain, j'ai voulus te tuer, c'est la première fois que l'envie de boire du sang humain m'obsède à se point. (Edward)

Je te haïsais à mesure où tu m'obligeais à te désirer. (Edward)

-Ce n'est pas de toi que j'ai peur, j'ai seulement peur de te perdre, peur que tu disparaisse

-Si tu savais depuis quand je t'attends et voilà que le lion c'était prit de l'agneau

-Que l'agneau est stupide

-Oui, et quel masochiste ce lion. (Edward & Bella)

Je refuse de devenir un monstre, ma famille et moi on se considère comme végétarien parce qu'ont ce nourrit du sang des animaux, mais c'est comme un humain qui se nourrit que de tufu, on garde ses forces mais ont n'est jamais pleinement satisfait. (Edward)

Sa ne me déplaîs pas d'être seule, j'ai comme l'impression que je tiens un peu de mon père. (Bella)

Ecoute-moi, James est un chasseur obsessionel, j'ai lus en lui, sa réaction à éveillé son instinct, j'ai déclenché la partie de chasse la plus éxcitante de toute sa vie, il ne s'arrêtera jamais. (Edward)

Je m'étais rarement demander comment j'allais mourir, mais mourir à la place d'un être cher me semble une fin enviable. Je n'arrive donc pas a regretter les décisions qui m'ont ammené face à la mort, elle m'ont aussi ammené Edward. (Bella)

Le mort est paisible, simple, c'est plus dur de vivre. (Bella)

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Extrait ajouté par ilovethehost 2013-08-24T23:56:16+02:00

Quand la vie vous a fait don d’un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin.

ilovethehost.overblog.com

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Extrait ajouté par Gneygney 2012-11-30T13:10:31+01:00

"Mon corps endolori et les calmants ne me plongeaient pas dans une hébétudes suffisantes pour que je ne réagisse pas à son contact. Le moniteur se mit à biper de manière erratique - Edward n'était plus le seul à pouvoir entendre que mon coeur se tenait mal.

- Voilà qui est sacrément embarrassant bougonnai-je.

Il rigola, et ses yeux s'allumèrent d'une lueur spéculatives.

- Hum, je me demande...

Il se pencha lentement, et la machine s’emballa avant même que ses lèvres ne touchent les miennes. Quand elles le firent, légères comme un papillon, les bips s’arrêtèrent aussitôt. Il recula brusquement, anxieux, puis sembla soulagé lorsque l’appareil recommença à mesurer les battements de mon pouls.

- Je vais devoir me montrer encore plus prudent que d’habitude, sourcilla-t-il.

- Hé ! Je n’ai pas fini de t’embrasser. Je crois que je vais avoir un malaise.

Hilare, il déposa un nouveau baiser sur ma bouche le moniteur perdit toute mesure."

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Extrait ajouté par camilleflore 2012-10-10T12:51:11+02:00

(edward et bella)

-j'aimerai entendre tes théorie.

-j'ai pensai à la kriptonite,au araignée radio-active...

-humm...comme les super héros et si je n'etais pas le héros,si j'étais le méchant...

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Extrait ajouté par france2705 2012-08-12T13:03:57+02:00

La distance qui me séparait des deux hommes postés dans la rue s’amenuisait trop vite. Je suis capable de pousser des hurlements stridents. J’avalai donc une grande goulée d’air, mais ma gorge était si sèche que je doutai de réussir à obtenir le volume sonore souhaité. D’un mouvement leste, je récupérai mon sac dans une main, serrant la bandoulière fermement, prête à l’abandonner ou à m’en servir comme d’une arme si besoin était.

Le plus trapu des types se détacha du trottoir alors que je ralentissais prudemment et descendais sur la chaussée.

— Fichez-moi la paix ! prévins-je d’un ton que je voulais ferme et assuré.

Je ne m’étais pas trompée, hélas – je n’émis qu’un glapissement.

— Sois pas comme ça, chérie ! rétorqua l’autre tandis que ses camarades s’esclaffaient bruyamment.

Jambes écartées, je me préparai à l’affrontement, essayant, malgré ma panique, de me rappeler les maigres notions d’autodéfense que je possédais. Tranchant de la main lancé en l’air en espérant réussir à briser le nez ou à l’enfoncer dans le cerveau ; doigts plongés en crochet dans les orbites pour énucléer l’agresseur ; et, bien sûr, le classique coup de pied judicieusement placé. La petite voix dénuée d’illusions se remit soudain à parler dans ma tête, me signalant que je n’avais sans doute aucune chance face à ce genre de types, et puis quatre d’un coup... Je lui intimai de se taire avant que la terreur ne m’anesthésie complètement. Je n’avais pas l’intention d’être éjectée de la partie sans en avoir mis au moins un au tapis. Je me forçai à déglutir afin de pouvoir pousser un hurlement décent.Tout à coup, des phares surgirent. Le véhicule manqua de renverser le gars trapu, qui dut sauter sur le trottoir. Je me précipitai au milieu de la route – soit cette voiture s’arrêtait, soit elle m’écrasait. Elle m’évita d’un brusque coup de volant avant de stopper en dérapant à moins d’un mètre de moi, portière ouverte.

— Grimpe ! lança une voix furibonde.

De façon stupéfiante, mon angoisse s’évapora aussitôt ; tout aussi stupéfiant fut le sentiment de sécurité qui me submergea, avant même que je fusse monté dans l’auto, juste parce que je l’avais reconnu. Je sautai sur le siège en claquant la portière.

L’habitacle était sombre – le plafonnier ne s’était pas allumé – et, à la lueur du tableau de bord, je distinguais à peine son visage. Dans un crissement de pneus, il fit demi-tour, accéléra trop vite, provoquant une embardée qui obligea mes poursuivants ahuris à s’écarter prestement, et nous filâmes à toute allure en direction du port.

— Attache ta ceinture ! m’ordonna-t-il.

Me rendant compte que j’agrippais mon siège à deux mains, j’obéis ; dans la pénombre, le bruit de la boucle claqua fort. Edward prit un brusque virage à gauche, accéléra encore, grilla plusieurs stops. Pourtant, je n’avais pas peur du tout et je me fichais éperdument de l’endroit où il m’emmenait. Je l’observai, envahie par un soulagement dont l’intensité n’était pas seulement due à sa venue inopinée et à mon sauvetage. Le temps de retrouver ma respiration, j’étudiai ses traits parfaits et m’aperçus qu’il était dans une colère noire.

— Ça va ? croassai-je.

— Non, riposta-t-il, fou de rage.

Je gardai le silence, subjuguée par sa beauté, tandis qu’il regardait droit devant lui. La voiture s’arrêta soudain. Je jetai un coup d’oeil alentour, mais il faisait trop sombre pour que je visse au-delà des silhouettes noires des arbres qui poussaient le long de la route. Nous avions quitté la ville.

— Bella ?

La voix était tendue, contrôlée.

— Oui ?Un couinement de souris. Je me grattai discrètement la gorge.

— Tu n’as rien ?

Sa fureur rentrée était palpable.

— Non.

— Distrais-moi, s’il te plaît.

— Pardon ?

Il poussa un bref soupir, ferma les yeux et se pinça l’arête du nez.

— Parle-moi, dis n’importe quoi, même des bêtises, jusqu’à ce que je me calme.

Je me creusai la tête.

— Demain avant les cours, j’écrase Tyler Crowley.

Le coin de sa bouche frémit.

— Pourquoi ?

— Il raconte à tout le monde que je serai sa cavalière au bal de fin d’année. Soit il est marteau, soit il continue à essayer de se racheter pour avoir failli me tuer quand... bref, tu es au courant. Visiblement, il croit que le bal est le bon moyen pour ça. Du coup, j’ai pensé que si je mettais sa vie en danger nous serions à égalité, et qu’il cesserait de s’excuser. Je n’ai pas besoin d’ennemis, et Lauren se calmera peut-être s’il me fiche la paix. Sauf que je vais sans doute devoir bousiller sa Sentra. Et s’il n’a plus de voiture, il ne pourra accompagner personne au bal de fin d’année, et...

Il interrompit mon bavardage absurde.

— J’en ai entendu parler, admit-il, l’air un peu plus calme.

— Quoi ! Bon sang, si j’arrive à le paralyser de la tête aux pieds, il n’ira pas au bal non plus.

J’envisageais déjà des solutions plus drastiques. Edward ouvrit enfin les yeux.

— Ça va mieux ? m’enquis-je.

— Ce n’est pas terrible.

Il n’ajouta rien. Calé contre l’appui-tête, il fixa le plafond, le visage figé.

— Qu’est-ce qu’il y a ? chuchotai-je.

— Parfois, j’ai du mal à contrôler mes humeurs, Bella. (Lui aussi murmurait.

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