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Extrait ajouté par Sarahelie 2012-06-06T19:02:56+02:00

Le spectacle d'Edward au soleil était choquant. Je ne parvenais pas à m'y habituer, bien que je l'aie eu sous les yeux tout l'après-midi. Sa peau, blanche en dépit d'une vague rougeur due à sa partie de chasse de la veille, flamboyait littéralement, comme si des millions de minuscules diamants y avaient été incrustés. Il était allongé dans l'herbe, totalement immobile, chemise ouverte sur son torse sculptural enivrant, ses bras nus chatoyants. Ses paupières couleur lavande étaient fermées, même s'il ne dormait pas, naturellement. Il était une statue parfaite, travaillée dans un matériaux inconnu lisse comme le marbre et scintillant comme le cristal. Parfois, ses lèvres bougeaient, si vite qu'on eu dit qu'elles tremblaient. Lorsque je lui posai la question, il me répondit qu'il chantait ; trop bas pour que je l'entendisse.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-05-11T21:39:33+02:00

_Cette nuit pour la première fois, je rêvais d'Edward Cullen.

-Tu as une vitesse et une force incroyable, ta peau est plafadre et à la froideur du marbre, tes yeux changent de couleurs et parfois tu t'exprime comme si tu venais d'une autre époque, tu ne bois pas, tu ne mange rien, tu évite le soleil, quel âge as-tu?

-17 ans

-17 ans depuis combien de temps?

-longtemps

...

Je m'étais rarement demander comment j'allais mourir, mais mourir à la place d'un être cher me semble une fin enviable. Je n'arrive donc pas a regretter les décisions qui m'ont amené face à la mort, elle m'ont aussi amené Edward.

...

Le mort est paisible, simple, c'est plus dur de vivre.

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Extrait ajouté par anonyme 2012-03-11T11:42:28+01:00

J’acquiesçai aussitôt, mais sa plaisanterie ne me dérida pas. L’adrénaline envahit mes veines au fur et à mesure que le danger s’imposait à ma conscience. Il le flaira sans peine, et sa moue devint narquoise.

- Je suis le meilleur prédateur au monde, n’est-ce pas ? Tout en moi t’attire – ma voix, mes traits, mon odeur. Comme si j’avais besoin de ça !

Brusquement, il se remit debout et disparut d’un bond pour réapparaître sous le même arbre qu’auparavant. Il avait fait le tour de la clairière en moins d’une seconde.

- Tu ne pourrais pas m’échapper ! s’esclaffa-t-il avec amertume.

Il arracha au sapin une branche de cinquante centimètres de diamètre – le bruit fut assourdissant, le geste facile – et joua avec pendant un instant avant de la jeter à une vitesse effarante contre le tronc d’un autre arbre énorme, où elle explosa. Puis, il fut de nouveau devant moi, aussi figé qu’un roc.

- Tu ne pourrais pas me résister, murmura-t-il.

Je n’avais pas bronché, effrayée pour de bon. C’était la première fois que je voyais tomber sa façade soigneusement cultivée ; jamais il n’avait été aussi peu humain, ni plus beau. Hébétée, stupéfiée, j’étais un oiseau pris au piège d’un serpent. Ses yeux magnifiques semblaient briller d’une âpre excitation. Ils se ternirent peu à peu, et son visage retrouva le masque de tristesse qui était le sien d’ordinaire.

- N’aie pas peur, chuchota-t-il, ses intonations veloutées volontairement séductrices. Je te promets... Je te jure de ne jamais te faire de mal.

J’eus l’impression qu’il cherchait à s’en convaincre lui-même.

- N’aie pas peur, répéta-t-il en se rapprochant avec une lenteur exagérée.

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Extrait ajouté par Jess3swan 2018-01-27T23:56:35+01:00

-Comment se fait-il que tu sois rentrée aussi tot chez toi?

-Il conduit comme un dingue. J'étais terrifiée.

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Extrait ajouté par Aur31 2016-04-28T10:27:41+02:00

- Je ne t'effraie pas ? plaisanta-t-il.

Je sentis pourtant une réelle curiosité derrière le badinage affiché.

- Pas plus que d'habitude.

Son sourire s'élargit, et ses dents miroitèrent au soleil. Je me rapprochai, osant tracer les contours de son avant-bras du bout de mes doigts, qui tremblaient, ce qu'il n'allait sûrement pas manquer de remarquer.

- Je t'embête ? murmurai-je, car il avait refermé les yeux.

- Non. Tu n'imagines pas les sensations que tu me procures.

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Il pleuvait. Je ne pris pas ça pour un mauvais présage, juste la fatalité.

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Je n'étais pas intéressante. Lui, si. Fascinant... brillant... mystérieux... parfait... beau... et sûrement capable d'élever d'une seule main des fourgons d'une tonne.

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Quand la vie vous a fait don d'un rêve qui a dépassé toutes vos espérances, il serait déraisonnable de pleurer sur sa fin.

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Cette nuit pour la première fois, je rêvais d'Edward Cullen.

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Extrait ajouté par LodiGrs 2015-01-29T13:40:20+01:00

A coté de moi, Cendrillon a des allures de Terminator.

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