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De quoi j'ai l'air ? Du magicien d'Oz ? Te faut-il un cerveau ? Te faut-il un coeur ? Tiens, prends les miens, prends tout ce que j'ai..

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Extrait ajouté par anonyme 2014-08-01T19:08:34+02:00

J'avais eut plus que mon compte d'expériences mortifères, phénomène auquel on ne s'habitue pas.

Il semblait cependant inévitable que j'affronte de nouveau la mort. A croire que j'étais marquée du sceau de la catastrophe. J'avais beau y avoir échappé à maintes reprises, elle ne cessait de revenir a moi.

Pour autant, cette fois différait beaucoup des précédentes.

Il est possible de fuir celui que l'on craint, de lutter contre celui que l'on hait. Je savait réagir face a ce genre de tueurs-monstres et ennemis.

Lorsqu'on aime son assassin, on n'a plus le choix, cependant.Car comment fuir et lutter si cela signifie blesser l'aimé ? Si la vie est la seule chose à lui donner, comment la lui refuser ?

Quand on l'aime réellement ?

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Extrait ajouté par Liselotte 2014-04-28T11:54:21+02:00

"Pensait-elle ce que je pense qu'elle pensait ? chuchotai-je.

- Oui, répondit-il, amusé par mes circonvolutions."

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ATTENTION, DERNIER PASSAGE DU LIVRE !!

"Edward et moi gagnâmes lentement notre propre chambre.

- Une nuit de célébration, chuchota-t-il en soulevant mon menton pour m'embrasser.

- Attends !

Je m'écartai. Il me lança un coup d’œil surpris. Je ne le fuyais jamais, d'habitude. C'était une première.

- J'ai envie d'essayer quelque chose, dis-je, amusée par son ahurissement.

Fermant les paupières, je plaquai mes paumes sur ses joues. Lorsque Zafrina avait tenté de m'apprendre cela, je ne m'étais pas très bien débrouillée. Je connaissais mieux mon bouclier, cependant. J'en comprenais la part qui refusait de se séparer de moi, l'instinct de préservation qui animait ce phénomène. L'exercice ne fut pas aussi simple que de protéger les autres en même temps que moi, et je sentis l'élastique résister. Le sortir de moi exigea toute ma concentration.

- Bella ! souffla Edward, choqué.

Je devinai alors que j'avais réussi. Je me concentrai encore plus, ranimant de vieux souvenirs, spécifiques, que j'avais préservés pour ce moment-là, les laissant envahir mon esprit, le sien aussi, avec un peu de chance. Certaines images n'étaient pas très claires -humaines, vues par le filtre de prunelles faiblardes ou perçues par une ouïe décevante : la première fois que j'avais aperçu son visage... ce que j'avais ressenti quand il m'avait serré contre lui, dans la clairière... le son de sa voix dans l'obscurité de ma conscience vacillante, à l'heure où il m'avait sauvée de James... ses traits, quand il avait patienté sous un dais de fleurs, à deux doigts de m'épouser... les moindres formidables instants passés sur l'île... ses mains glacées caressant notre bébé par-dessus ma peau...

Il y eut aussi les souvenirs tout frais : sont expression quand j'avais rouvert les yeux, à ma renaissance... ce premier baiser échangé... cette première nuit...

Soudain, il plaqua ses lèvres sur les miennes, me ramenant à la réalité. Je perdis la maîtrise du bouclier, et l'élastique revint en claquant dans ma tête, me protégeant et obscurcissant mes idées.

- Flûtes ! Je l'ai perdu.

- Mais je t'ai enfin entendue ! souffla-t-il, aux anges. Comment ? Comment t'y es-tu prise ?

- Une idée de Zafrina. Nous nous sommes entrainées quelquefois.

Hébété, il secoua la tête.

- Maintenant, tu sais, lançai-je sur un ton léger. Personne n'a jamais aimé personne comme je t'aime.

- Tu as presque raison, sourit-il. Je ne connais qu'une exception.

- Menteur !

Il se remit à m'embrasser, s'interrompit brusquement.

- Tu saurais recommencer ?

- C'est difficile.

Il attendit, plein d'espoir.

- Je ne tiens pas du tout si l'on me distrait, l'avertis-je.

- Je serai sage, promit-il.

Je fis une moue dubitative. Réitérant mes gestes, je repoussai derechef le bouclier, reprenant le fil de mes souvenirs là où il s'était interrompu, celui clair comme le cristal de notre première nuit de ma nouvelle vie... m'attardant sur les détails.

Une fois encore, un baiser interrompit mes efforts, et je ris.

- Au diable ! gronda-t-il en embrassant le bas de mon visage.

- Nous avons largement le temps de travailler dessus, lui rappelai-je.

- L'éternité, toute l'éternité, rien que l'éternité ! renchérit-il.

- Exactement.

Alors, nous plongeâmes avec enthousiasme dans ce pan, ténu mais parfait, de notre éternité."

PAGE 759-760.

CHAPITRE : Tout est bien qui finit bien.

TWILIGHT TOME 3 : Révélation

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Extrait ajouté par Saph 2013-10-29T11:54:59+01:00

« L'histoire de mon existence, en quelque sorte. Je n'avais jamais eu la force de gérer les choses qui échappaient à mon contrôle, celle d'attaquer ou de fuir mes ennemis. Celle d'éviter la douleur. Faible humaine, je n'avais toujours su que continuer. Endurer. Survivre. Cela avait suffi, jusqu'à maintenant. Il faudrait que cela suffise aujourd'hui également. J'allais résister en attendant qu'on me vienne en aide. Edward ferait son possible. Il ne renoncerait pas. Moi non plus. »

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Extrait ajouté par Saph 2013-10-29T11:54:34+01:00

Qu'est-ce qu'elle était bizarre, nom d'un chien! Elle était mariée! Avec celui qu'elle aimait, qui plus est! Ajoutez à cela qu'elle était enceinte jusqu'aux yeux. Alors, pourquoi fallait-il qu'elle soit aussi ravie de me retrouver? A croire que j'avais embelli sa fichue journée rien qu'en franchissant le seuil. Si seulement elle avait manifesté de l'indifférence! Mieux, même, si elle avait rejeté ma présence. Il m'aurait été beaucoup plus facile de m'éloigner, du coup.

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Les deux derniers survivants roumains, obsédés par leur rancune et leur amertume contre ceux qui, mille cinq cents ans auparavant, s’étaient emparés de leur empire, prenaient tout à la légère, apparemment. S’ils refusèrent de toucher Renesmée, ils ne firent preuve d’aucune agressivité à son encontre. Mystérieusement, notre alliance avec les loups-garous parut les ravir. Ils assistèrent à mes entraînements avec Zafrina et Kate destinés à développer mon don. Ils observèrent la façon dont Edward répondait à des questions tues. Ils regardèrent Benjamin déclencher des geysers dans la rivière ou transformer en bourrasques l’air paisible. Tout cela fit rougeoyer leurs prunelles, dans l’espoir féroce que les Volturi avaient enfin trouvé à qui parler.

Si nous n’espérions pas tous les mêmes choses, nous espérions.

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— Moi aussi, je ferai tout ce qu’il faut pour protéger cette petite, intervint Carmen.

Puis, comme si elle était incapable de résister, elle tendit les bras vers Renesmée.

— Tu viens avec moi, bebé linda[7] ?

Ma fille s’empressa d’accéder à sa demande, très heureuse d’avoir une nouvelle amie. Carmen la serra contre elle et se mit à roucouler en espagnol.

Tout se passait comme avec Charlie et, avant cela, avec tous les Cullen. Renesmée était irrésistible. Qu’avait elle en elle qui attirait les gens, qui les amenait même à promettre de sacrifier leurs vies pour la défendre ?

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— Je ne me rendrai pas sans me battre, grommela Emmett. Alice nous a indiqué la voie à suivre. Occupons-nous-en.

Les autres hochèrent la tête avec détermination, et je compris qu’ils misaient sur ces maigres chances. Ils ne céderaient pas au désespoir en attendant la mort. Oui, nous allions tous lutter. Avions-nous un autre choix ? Apparemment, nous impliquerions des étrangers dans cette résistance, puisque Alice en avait décidé ainsi avant de nous quitter. Il eût été fou de ne pas nous ranger à son avis. Les loups se rangeraient à nos côtés également, pour Renesmée.

Nous nous battrions, ils se battraient, et nous mourrions tous.

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— Et s’ils ne m’aiment pas ? chuchota-t-elle.

— Évidemment qu’ils vont t’aimer ! lança aussitôt Jacob.

Je le fis taire d’un regard.

— Ils ne te comprennent pas parce qu’ils n’ont jamais rencontré quelqu’un comme toi, expliquai-je, ne voulant pas promettre à ma fille ce qui pouvait ne pas se produire. Toute la difficulté sera de les amener à te comprendre, justement.

Elle poussa un soupir et, dans ma tête, défilèrent rapidement nos portraits à tous, vampires, humains, loups-garous. Elle, n’appartenait à aucune de ces catégories.

— Tu es spéciale, ça n’est pas une mauvaise chose.

Elle secoua le menton pour marquer son désaccord. Elle pensa à nos visages tendus et lâcha :

— C’est ma faute.

— Non ! répondîmes-nous à l’unisson.

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