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"Ils vinrent en grande pompe, avec une espèce de beauté."

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Extrait ajouté par Sookie1999 2013-01-05T17:10:34+01:00

(le bras de fer)

(...)

-Charlie reviendra demain , lui expliquait-je.

-Génial ! Lâcha Emmett.

Rosalie joignit ses rires aux siens , cette fois.

-Ce que tu es bête , Emmett, grogna Edward.

Il tendit les bras pour s'emparer de Renesmee.Devant mon hésitation , il m'adressa un clin d'oeil complice.Je cédai.

-Comment ça ? brailla Emmett.

-Crois-tu malin d'asticoter le vampire le plus fort de la maison ?

-Oh,je t en prie !

-Te souviens-tu , Bella , poursuivit Edward, il y a quelques mois , je t ai demande de me rendre un service quand tu serais immortelle ?

Cela me rappelait effectivement quelque chose.Je ravivai ma mémoire humaine et ses conversations floues.Au bout d un moment , cela me revint.

-Oh! lâchai-je .

Alice partit d un long rire carillonnant .Jacob passa la tête par la porte de la cuisine , la bouche pleine.

-Quoi ? Grommela Emmett.

-Tu crois ? Demandai-je a Edward.

-Fais-moi confiance.

-Alors,Emmett, dis-je après avoir pris une grande aspiration . Que dirais-tu d un pari ?

Il se leva aussitôt.

-Super ! Vas-y.

J hésitais . Il était tellement impressionnant.

-Tu as les foies ? Se moqua-t-il.

Je carrai les épaules.

-Toi et moi . Un défi . Je te prends au bras de fer . La table de la salle a manger. Tout de suite.

Le sourire d Emmett s élargit .

-Hum, intervint Alice, je cros qu'Esme aime beaucoup cette table , Bella . C est une antiquité .

Sa mère la remercia d un hochement de tête.

-Aucun souci, lança Emmett. Par ici, jeune arrogante.

Je le suivis dans le garage, les autres derrière nous. Près de la rivière , un bloc de granit s était détache d un éboulement . C'est la qu Emmett se dirigeait. Bien qu un peu arrondieet irrégulier, le rocher ferait l affaire. Mon adversaire y plaça son coude et m invita a le rejoindre. La nervosité s empara une fois de plus de moi quand je vis ses énormes biceps, mais je réussis a garder une expression sereine. Edward m avait garanti que je serais plus forte qu aucun d entre eux pendant un certain temps. Il avait paru très sur de lui, je me sentais effectivement puissante. Assez, cependant? Je n avais que 2 jours, ce qui devrait entrer en ligne de compte. A moins que je ne souffre de quelque anormalité. Je n étais peut-être pas aussi forte que les autres nouveaux-nes. Voila pourquoi il m était si facile de conserver la maitrise de moi. A mon tour, je plaçais mon coude sur la pierre en m efforçant d adopter une attitude décontractée.

-Bien,Emmett. Si je gagne, tu n as plus le droit de commenter ma vie sexuelle devant personne, y compris Rosalie. Plus d allusions,plus d insinuations. Rien.

-d accord, bougeonna-t-il. Si c est moi qui gagne, je te promet que ça sera encore pire.

Entendant que je cessais de respirer, il eut un sourire diabolique . Il ne bluffait pas.

-Alors, soeurette, on recule? Me provoqua-t-il. Tu n as pas grand-chose de féroce en toi, hein? Je te parie que ce cottage n a pas une égratignure. Edward t a-t-il dit combien de maisons Rosalie et moi avions détruites?

Grinçant des dents, je saisis sa main.

- Un, deux...

-Trois, grommela-t-il, en appuyant.

Il ne se passa rien.

Oh, je sentis la pression qu'il exerçait sur moi! Mon esprit paraissait doue pour toutes ces sortes de calculs, et je devinai que, s'il n'avait rencontre aucune résistance , son bras se serait abattu sans mal sur le rocher. Mon plaisir en augmenta d'autant , et je me demandai vaguement si une bétonnière roulant a 60 KM a l'heure sur une pente raide dégagerait une puissance égale. 80 KM a l'heure? 100? Plus, sans doute. Les efforts d'Emmett ne suffirent pas a m'ebranler. La pression de sa main contre la mienne n était pas déplaisante. Elle était même agréable, bizarrement. Je m'étais montrée tellement prudente depuis mon réveille, je m'étais tellement obligee a ne rien casser. Utiliser mes muscle m'offrait une sorte de soulagement. Permettre a la force de s'écouler plutôt que la restreindre.

Mon adversaire grogna. Son front était plisse, son corp tétanise, tout entier concentre sur l'obstacle que ma main immobile constituait. Je le laissai transpire -- pour ainsi dire -- pendant un moment tout en jouissant de la sensation que me procurais ma résistance. Au bout de quelque seconde, je me lassai, cependant. Je pliai le coude. Emmett perdit 2 cm de terrain.

J'eclatai de rire. Lui gronda, féroce, la mâchoire serrée.

-N'oublie pas que tu devra te taire, lui rappelai-je.

Sur ce, j'aplatis sa main sur la pierre. Un craquement assourdissant résonna dans les arbres. Le rocher frissonna, un morceau se détacha et roula au sol. Il tomba sur le pied d'Emmett, ce qui me fit ricaner. J'entendis les rires étouffes de Jacob et d'Edward. Emmett jeta le fragemment casse au-de la de la rivière. Le caillou fendit en 2 un jeune érable avant de s'écraser a la base d'un énorme épicéa qui ce fracassa sur un troisième arbre.

-Revanche! Exigea le géant. Demain.

-Ma force ne s'effacera pas aussi vite, lui retoquai-je. Donne lui plutôt 1 mois.

-Demain, répéta-t-il en grondant.

-Comme tu voudra, grand frère!

(...)

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Extrait ajouté par aureliedu38 2012-12-25T22:24:31+01:00

**Citations de Jacob**

-> Partie II

"La vie est nulle et ensuite on meurt.

Tu parles ! Je n'aurais pas cette chance.."

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Extrait ajouté par Mimi2413 2012-12-24T11:57:25+01:00

- Je pourrais m'habituer à ça, annonçai-je.

- Ne me dis pas que tu as surmonté ta répugnance à danser ?

- Ce n'est pas si mal, à la réflexion. Avec toi. Mais je pensais plutôt à ça (et je me collai à lui davantage), au fait de ne jamais avoir à te laisser partir.

- Jamais, me promit-il en se penchant pour m'embrasser.

Ce fut un baiser intense, lent mais prenant peu à peu de l'ampleur... et j'avais complètement oublié où je me trouvais, lorsque Alice m'appela.

- Bella ? C'est l'heure !

Une bouffée d'irritation me traversa. Édouard ignora sa sœur. Ses lèvres contre les miennes étaient dures, plus avides qu'auparavant.

Mon cœur s'affola, mes paumes se couvrirent de sueur.

- Vous voulez donc rater votre avion ? gronda Alice, tout à côté de moi, maintenant. Je suis persuadée que votre lune de miel sera charmante, quand vous attendrez le vol suivant, à l'aéroport.

Édouard détourna la tête, juste le temps de demander à sa sœur de s'en aller, avant de replonger vers ma bouche.

- Bella, insista Alice, tu tiens absolument à prendre l'avion dans cette tenue ?

Je ne lui prêtai pas attention car, en cet instant, plus rien ne comptait hormis mon amoureux. Alice passa aux menaces.

- Je jure que je lui révèle où tu l'emmènes si tu ne m'aides pas, Édouard

Il se figea avant de relever la tête et de toiser sa sœur préférée.

- Comment un être aussi petit arrive-t-il à se montrer aussi agaçant ?

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Extrait ajouté par Lemma99 2012-12-04T21:31:20+01:00

- Toi et moi. Un défi. Je te prends au bras de fer. La table de la salle à manger. Tout de suite.

Le sourire d'Emmett s'élargit.

- Hum, intervint Alice, je crois qu'Esmé aime beaucoup cette table, Bella. C'est une antiquité.

Sa mère la remercia d'un hochement de tête.

- Aucun souci, lança Emmett. Par ici, jeune arrogante.

[...]

- Bien, Emmett. Si je gagne, tu n'as plus le droit de commenter ma vie sexuelle devant personne, y compris Rosalie. Plus d'allusions, plus d'insinuations. Rien.

- D'accord, bougonna-t-il. Si c'est moi qui gagne, je te promet que ça sera encore pire.

Entendant que je cessais de respirer, il eut un sourire diabolique. Il ne bluffait pas.

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Extrait ajouté par -Swan- 2012-07-28T18:32:32+02:00

INDEX DES VAMPIRES

Par ordre alphabétique de clan

*vampires doués d'un tallent surnaturel quantifiable

- couples (le plus âgé en premier )

°° décédé avant le début du présent roman

CLAN DES AMAZONES

Kachiri

Senna

Zafrina*

CLAN DE DENALI

Eleazar*-Carmen

Irina-Laurent°°

Kate*

Sasha°°

Tanya

Vasilii°°

CLAN EGYPTIEN

Amun-Kebi

Benjamin*-Tia

CLAN IRLANDAIS

Maggie*

Siobhan*-Liam

CLAN D'OLYMPIC

Carlisle-Esmé

Edward*-Bella*

Jasper*-Alice*

Renesmée*

Rosalie-Emmett

CLAN ROUMAIN

Stefan

Vladimir

CLAN DES VOLTURI

Aro*-Sulpicia

Caïus-Athenodora

Marcus*-Didyme*°°

GARDE DES VOLTURI (LISTE PARTIELLE)

Alec*

Chelsea*_Afto*

Corin*

Démétri*

Félix

Heidi*

Jane*

Renata*

Santiago

NOMADES AMERICAINS (LISTE PARTIELLE)

Garrett

James*°°-Victoria*°°

Mary

Peter-Charlotte

Rendall

NOMADES EUROPEENS (LISTE PARTIELLE)

Alistair*

Charles*-Makenna

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Extrait ajouté par -Swan- 2012-07-28T16:30:46+02:00

- Te prendre pour cible m'est impossible

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-20T19:17:48+02:00

Les posters avez-vous vu ce garçon ? n’étaient pas l’idée de Billy, le père de Jacob, mais du mien, Charlie, qui les avait imprimés et affichés partout dans Forks. Partout dans la région, d’ailleurs : Port Angeles, Sequim, Hoquiam, Aberdeen, toutes les villes de la péninsule d’Olympic. Il avait veillé à ce que le moindre commissariat de l’État de Washington accroche ces photos sur ses murs. Son propre bureau comportait un panneau en liège entièrement dédié à la recherche de Jacob. Il était quasiment vide, à la plus grande déception de Charlie ; à son plus grand agacement aussi

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Extrait ajouté par missi972 2011-09-27T03:17:07+02:00

« Personne ne te regarde. Personne ne t'observe. Personne ne t'épie », me rassurai-je.

Comme j'étais incapable de mentir de façon convaincante, y compris à moi-même, je me sentis obligée de vérifier, néanmoins.

En attendant que l'un des trois uniques feux de Forks passe au vert, je jetai un coup d'oeil sur ma droite - à l'intérieur de son monospace, Mme Weber avait le buste tourné dans ma direction. Son regard me transperça, et je tressaillis. Pourquoi me fixait-elle ainsi ? N'était-il pas impoli de toiser ainsi les gens ? Ou cette règle ne s'appliquait-elle plus à moi ? Puis je pris conscience que les vitres teintées de la voiture étaient si sombres qu'elle ne se rendait sans doute pas compte que je m'y trouvais, encore moins que je l'avais surprise en train de me reluquer. Je tâchai de me consoler en concluant que ce n'était sans doute pas moi qu'elle examinait ainsi, mais le véhicule.

Mon véhicule. Je poussai un soupir.

Un nouveau coup d'oeil, à gauche cette fois. Un gémissement m'échappa. Deux piétons s'étaient figés sur le trottoir au lieu de traverser la rue. Derrière eux, M. Marshall était pétrifié dans la vitrine de sa petite boutique de souvenirs. Du moins n'avait-il pas le nez collé au carreau. Pas encore.

Le feu passa au vert et, toute à ma hâte de fuir, j'appuyai sur l'accélérateur sans réfléchir, comme je l'aurais fait pour ébranler mon antique camionnette Chevrolet. Le moteur grondant comme une panthère en chasse, la voiture bondit avec une puissance telle que je fus plaquée sur le siège en cuir noir, et que mon estomac s'écrasa contre ma colonne vertébrale.

— Aaahhh ! criai-je en cherchant la pédale de frein.

Je l'effleurai, ce qui n'empêcha pas l'engin de s'arrêter net, avec un soubresaut. Je n'osai inspecter les alentours afin de jauger les réactions des témoins. Si quelqu'un avait eu des doutes quant au conducteur de cette automobile, ce n'était plus le cas à présent. De la pointe de ma chaussure, j'enfonçai l'accélérateur d'un millimètre, et la voiture repartit à toute vitesse.

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Extrait ajouté par aglm 2017-04-29T21:44:04+02:00

L'enfance n'est pas l'époque qui va jusqu'à un certain âge

(et, à cet âge certain,

L'enfant abandonne ses occupations infantiles.

L'enfance est le royaume où personne ne meurt.

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