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« — Et aujourd’hui, tu dois tranquillement rentrer à la maison avec moi.

— Non, rétorqua Ty d’un ton sérieux.

Il s’arrêta et se retourna pour fixer Zane avant de continuer :

— … je ne dois pas rentrer à la maison avec toi.

Perplexe, Zane haussa un sourcil et pencha la tête.

— Je ne comprends pas.

— Il ne s’agit pas d’une obligation, je crève d’envie de rentrer à la maison avec toi. Même si c’est juste pour me coller le cul sur le canapé et regarder cette émission débile qui te plaît tellement, je m’en fous. Ce que je fais n’a aucune importance, ce qui me plaît, c’est d’être avec toi.

Zane était conscient de sourire comme un imbécile heureux. Aujourd’hui encore, Ty le surprenait parfois en se montrant romantique ou sentimental. »

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« La dernière fois que j’ai vu mon frère, il était… plus mon frère. Cassé. Alcoolique et déchiré et sans espoir. Personne ne pouvait l’atteindre. Ses yeux étaient morts et je savais que lui le serait aussi, bientôt. Mais il est là ».

Ty sourit, mais il secoua sa tête. « Qu’est-ce qui te fait croire que j’en suis responsable ? »

« Je n’ai jamais vu Zane aussi heureux qu’il l’est en ce moment. Même quand il était avec Becky. Tu es bon avec lui, et tu es bon pour lui. Et peu importe ce que Mère ou qui que ce soit d’autre a à dire à ce sujet, ou ce que Mark dit à propos de ton passé, je veux que tu saches que je te remercie du fond de mon cœur pour donner à mon frère une raison de vivre à nouveau. »

Ty avala sa salive, surpris de sentir sa gorge se serrer. « Et bien. Il a fait la même chose pour moi. »

Annie sourit. « Tu n’es pas tout à fait le dur-à-cuir que tu veux que tout le monde croit. »

(Trad. perso)

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— Parle-moi, raconte-moi quelque chose – n’importe quoi.

— D’accord. Voilà une demande qui n’est pas bizarre du tout, se moqua Zane.

— S’il te plaît ! insista Ty.

Zane poussa un soupir résigné.

— La ville la plus proche est Dripping Springs, elle se trouve à environ vingt minutes de route. Par ici, les ranchs sont en général très étendus, capables de vivre en autarcie. Le Carter & Garrett a plus de deux mille hectares, c’est l’exploitation la plus importante de la région. Nous élevons essentiellement des chevaux, mais nous avons aussi du bétail : bovins, moutons, et même des lamas et des émeus.

Ty s’exclama :

— Tu as retrouvé ton accent !

Zane se tourna, les sourcils levés.

— Quoi ?

— C’est… incroyablement sexy !

— Quoi ?

— Continue à parler.

— Non, ça suffit ! protesta Zane en riant.

Ty sourit, incapable de le quitter des yeux.

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— Franchement, Ty, comment peuxtu aimer les chats et détester tous les autres animaux ?

Ty parut étonné.

— Pourquoi dis-tu ça ? Je ne déteste pas les autres animaux !

— Non ? Seulement les chevaux. Et les chiens. Et les tamias…

— Les tamias sont d’horribles bestioles, Zane ! Vicieux, avec des petits yeux malveillants.

— Les papillons de nuit ?

— Ils ont une bizarre façon de voler… on ne sait jamais où ils vont atterrir.

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- Je t’aime, déclara tout à coup Ty, d’une voix presque chantante.

Cette fois, Zane se mit à rire.

- Tu es ivre.

- C’est vrai, mais je t’aimais déjà avant d’avoir bu.

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Tout à coup, le lit tressauta au niveau de leurs pieds.

— Oh, bon Dieu ! chuchota Zane.

Ty le fit taire d’un geste et retint son souffle pour rester le plus immobile possible. Ils venaient de se faire prendre au dépourvu, sans couverture pour protéger leur nudité exposée. Ils étaient sans défense. Ty releva la jambe pour que son genou protège le bas-ventre de son amant, mais ce fut le seul mouvement qu’il osa faire.

Et le lit fut à nouveau secoué.

Smith et Wesson étaient réveillés.

Les deux gros matous orange à la fourrure épaisse étaient sous la garde – en principe « temporaire » – de Ty, mais, au grand chagrin de Zane, il y avait déjà plusieurs mois qu’ils s’incrustaient et occupaient les lieux. Exceptionnellement gros et irascibles, les félins semblaient ressentir une certaine affection pour Ty, mais pas pour lui, loin de là. À dire vrai, Zane était quasiment certain qu’ils en voulaient à sa vie. Diaboliques, les chats évitaient de l’agresser en présence de témoins, mais même Ty reconnaissait qu’ils crachaient toujours sur Zane et se jetaient de préférence sur lui. Le matin en particulier, à l’heure du petit déjeuner, les bêtes n’hésitaient pas à mordre le bout de son nez ou à planter leurs petites dents pointues dans d’autres endroits sensibles de sa personne.

Or, Ty tenait beaucoup à ce que Zane garde ses bijoux de famille au complet et en bon état de marche, d’où son genou en guise de protection.

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Ty glissa sur la banquette et, quand Zane fit le tour de la table, lui passa un bras possessif autour de la taille. C’était sans nul doute pour garder son équilibre en quittant le bar. Au fil des mois, Ty devenait plus à l’aise, il lui arrivait même d’être démonstratif en public. Chaque fois, Zane en éprouvait une vague de chaleur qui l’enflammait jusqu’aux orteils et des frissons de nervosité. Ty avait toujours été le plus prudent d’eux deux et pourtant, il devenait de plus en plus insouciant, au fur et à mesure que le temps passait. Et s’ils rencontraient quelqu’un qui les connaissait ? Et si l’on découvrait la vérité à leur sujet ? Au travail, tout le monde savait qu’ils vivaient ensemble, mais personne n’envisageait autre chose qu’un partage du loyer. Un jour ou l’autre, ils seraient immanquablement démasqués. Les vraies questions, celles qui hantaient Zane, seraient alors : et, alors, quelle importance ? Qu’est-ce que ça changerait ?

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Puis Barnum longea la clôture, les yeux fixés sur l’endroit où Ty essayait de se fondre dans le paysage. La proie humaine recula en voyant avancer le prédateur.

— Bon Dieu ! grogna Ty. Mais qu’est-ce que je fous là ?

Le tigre pressa son corps massif contre la clôture, qui, sous son poids, vibra avec un bruit métallique. Il frotta son mufle contre les maillons, fixant Ty comme pour l’inciter à venir le caresser. Et il ronronnait – non, il râlait !

— Agent spécial Grady ! s’exclama Tish. Vous avez vraiment un don avec les animaux ! Regardez, il vous fait des mamours !

— Ouais, c’est ça, grommela Ty entre ses dents. On m’a déjà fait le coup une fois !

Incapable de résister à un challenge, il posa la main à plat sur le grillage, tous ses muscles durcis comme s’il devait faire un effort titanesque. Ses doigts tremblaient. Le tigre frotta son mufle contre la paume offerte, puis tourna la tête et fit passer son oreille à travers les maillons de la clôture, réclamant une caresse. Pendant un moment, Ty fixa le tigre, sans bouger, mais il finit par céder. Il insinua ses doigts à travers le grillage pour gratter l’oreille abîmée de Barnum. Le tigre ferma les yeux, béat de satisfaction, râlant de plus belle au rythme de sa respiration.

Enchantée, Tish frappa dans ses mains.

— Je ne l’ai jamais vu réagir de cette façon ! En temps normal, c’est Bailey le plus sociable des deux. Barnum est beaucoup plus réservé.

— Vraiment ?

Zane avait les yeux fixés sur son partenaire.

— Oui, c’est très étonnant ! Agent spécial Grady, vous devriez revenir un de ces jours passer un moment avec lui. Je trouve important que nos animaux soient le plus souvent possible en contact avec le public.

— Je ne suis pas certain que Barnum ait bien choisi son nouveau copain, marmonna Zane.

Il souriait tendrement en regardant son amant. À présent, Ty grattait le tigre sous le menton, le visage détendu. Il s’écarta enfin, à regret, quand le groupe décida de continuer sa tournée. Dans son enclos, Barnum les suivit aussi longtemps qu’il le put, les yeux braqués sur Ty, émettant des sons plaintifs comme s’il tentait de communiquer. Une fois bloqué, le tigre se dressa de toute sa taille sur les pattes arrière et mordit la clôture, en les regardant s’éloigner.

Ty se retourna. Zane n’eut pas de mal à déchiffrer son regard. Il sut que Ty reviendrait bientôt pour une autre visite.

Celui-ci agitait d’ailleurs la main en direction du félin.

— À bientôt !

Le tigre répondit par un doux grondement et retomba à quatre pattes, puis s’assit, les yeux toujours fixés sur eux.

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Ty écoutait la radio de la police :

— Suspect à pied, les agents le poursuivent. Individu armé et dangereux.

Il traversa en catastrophe les trois voies de circulation, escalada une Mini Cooper, sauta par-dessus un cycliste et se jeta sur le suspect, le heurtant de plein fouet. Mais alors, il glissa, lâcha sa proie et tomba lourdement sur le trottoir où il fit un roulé-boulé. Il s’arrêta contre l’étal d’un vendeur de hot-dog – et tout le contenu du chariot se renversa sur lui avant qu’il puisse se redresser.

Jurant comme un charretier, Ty essuya la sauce qui lui maculait le bras et se rassit. Une chance, pensa-t-il, qu’il n’ait pas été arrosé d’eau bouillante ! Ça n’empêchait pas qu’il venait de gâcher son beau dimanche entre amis.

Il pouvait sprinter, courir sur de longues distances, grimper un putain de parkour d’exercice, mais il n’était pas bâti pour parcourir toute la ville derrière un suspect moitié gazelle moitié ectoplasme vert gluant – comme dans SOS Fantômes.

— Je l’ai perdu, haleta Alston dans son écouteur. C’est quoi, ce mec, un cyborg ou quoi ?

Ty, qui tentait de reprendre son souffle, regarda autour de lui. Ses coéquipiers et lui savouraient leur déjeuner sur la terrasse d’un café, à la fin d’une semaine difficile. Ils discutaient pour savoir s’ils devaient commander une autre bouteille de vin ou se rendre quelque rues plus loin, dans un bar sympathique, afin de poursuivre leur dimanche en bons petits païens, quand un inconnu avait ouvert son trench-coat devant eux, révélant ainsi qu’il ne portait en dessous qu’un affreux – mais gigantesque – tigre tatoué sur la poitrine. Les mamelons représentaient les yeux du félin, le nombril, le nez. Préférant ne rien voir de plus, Ty avait tourné la tête en s’étouffant d’indignation, crachant sur Alston l’eau qu’il avait dans la bouche. Lassiter s’était redressé si brusquement qu’il avait renversé sur les genoux de Perrimore une assiette de pâtes fumantes. Quant à Clancy, elle riait si fort qu’elle avait failli tomber de sa chaise. Elle avait vite trouvé la situation beaucoup moins drôle, car l’homme lui avait sauté dessus pour l’embrasser, avant de s’enfuir … en la délestant de son arme de service !

— Il est peut-être aérodynamique parce qu’il est à poil, marmonna Lassiter.

Il paraissait aussi essoufflé qu’Alston.

— Non, mais, franchement, ce trench-coat devrait le ralentir ! pantela Perrimore.

Il était construit comme une montagne, ce qui était un bon point pour fracasser une porte verrouillée, mais nuisait à son endurance.

— J’ai récupéré le manteau, annonça Ty avec un rire.

Lui était à peine essoufflé, mais il courait tous les jours depuis des années. Son problème, c’était que le chariot de hot-dog avait mieux résisté que lui au choc frontal.

— Je vois le suspect ! cria Clancy.

Ty grimaça, car la voix perçante avait failli lui perforer un tympan. Il régla le volume de son oreillette Bluetooth.

— Clancy ! appela Alston. Attends-moi !

Sa partenaire l’avait distancé, comme d’habitude – cette fille était une vraie furie – et le malheureux devait tenter, aussi essoufflé soit-il, de la rattraper. Ty galopa jusqu’au bout de la rue et regarda des deux côtés.

— Où diable êtes-vous ?

— Je vais acheter un tapis d’entraînement ! J’ai besoin de peaufiner mon endurance ! déclara Perrimore.

— Je pense … être devant chez toi, Ty, répondit Lassiter.

— Sûrement pas ! ricana Ty. Tu ne peux pas être déjà aussi loin. On n’est pas dans Lassie, chien fidèle.

— Toutes ces foutues baraques se ressemblent !

— Tu es parti dans le mauvais sens, andouille !

— Suspect en vue. Lombard Ouest ! Il se dirige vers le centre-ville ! cria Clancy.

— Avec un connard pareil, il nous faut peut-être des renforts, haleta Alston, qui courait toujours. La bête court toujours.

— Si tu nous fais une vanne du genre « je vois sa queue », je te massacre ! grommela Ty.

— Pour l’amour de Dieu, est-ce que quelqu’un pourrait prendre le relais ? Je n’en peux plus. J’arrête, je suis mort.

Alston était au bout du rouleau.

Ty se planta au milieu de Pratt Street, pour héler un taxi. Quand l’un d’eux s’arrêta, Ty s’approcha de la fenêtre du chauffeur, sortit son badge de sa poche et le lui présenta.

— Vous êtes capable de me faire un virage sur les chapeaux de roues ?

Quelques secondes plus tard, ils dévalaient les rues encombrées qui reliaient Inner Harbor, le port maritime de Baltimore, au quartier des affaires du centre-ville, et zigzaguaient entre les voitures stationnées, les piétons et les vendeurs ambulants. Sur le trottoir, Ty aperçut brièvement Clancy, repérable à ses cheveux roux et à sa longue foulée de sprinteuse.

Le nudiste tatoué courait quelques mètres devant, l’arme fédérale serrée dans la main, un sourire aux lèvres. Il ignorait encore ce qui lui arriverait dès qu’elle lui mettrait la main dessus.

Elle ne le rattrapait pas, mais elle ne se laissait pas distancer. Elle finirait donc par l’avoir. En plus, elle courait en talons !

En tapant son oreillette Bluetooth, Ty tenta de la joindre, mais en vain. Soit son téléphone était mort soit l’appel général avait pris fin.

— Dépassez le mec à poil, demanda-t-il au chauffeur en saisissant la poignée de sa portière.

Le taxi fit un demi-tour, quasiment sur deux roues, et pila une seconde après dans un crissement de pneus qui secoua toute la carcasse métallique.

L’exhibitionniste venait de traverser la rue. Il bondit sur le capot du taxi et tenta de glisser de l’autre côté. Il avait sans doute vu cette manoeuvre dans un navet quelconque, parce qu’aucune personne saine d’esprit n’aurait tenté un coup pareil. Quand il s’écrasa sur le taxi, le chauffeur poussa un cri horrifié et empoigna son volant à deux mains pour le secouer.

— Il a foutu ses couilles sur mon capot !

La peau nue crissa sur le métal. L’homme ne réussit pas à passer de l’autre côté, sa nudité le bloquant contre le pare-brise comme un gros insecte écrasé – nu et transpirant.

Ty sortit de la voiture et bloqua les bras de l’homme. Clancy le rejoignait déjà. Elle désarmait l’exhibitionniste et lui passa les menottes.

Une foule s’était assemblée autour d’eux, quolibets et ricanements fusaient, assortis de doigts pointés, applaudissements et encouragements.

Pour ne pas rigoler, Ty dut se détourner de leur prisonnier pendant qu’il cherchait à annoncer l’arrestation. Malheureusement, son téléphone, noyé de moutarde et de cornichons, refusa de fonctionner. Alston arrivait, une main pressée sur le flanc, grimaçant de douleur. Il passa l’appel, puis appela Perrimore et réclama une voiture.

Ensuite, Alston examina Ty des pieds à la tête.

— Qu’est-ce que tu as foutu ?

Ty baissa les yeux sur son tee-shirt gris où était écrit : « la seule loi qui compte, c’est la gravité », éclaboussé de ketchup, moutarde, sauce pimentée et autres condiments.

— Tu sens délicieusement bon ! ajouta Alston en ricanant.

— Va te faire foutre, Scott !

— Non, sans blague, tu es à croquer ! J’adore les hot-dogs, surtout pimentés. Et je te signale que mon déjeuner a été fâcheusement interrompu.

Ty ne put s’empêcher de glousser.

— Hot dog ? Super surnom, on devrait le garder ! déclara Clancy.

Ty se tourna vers elle, menaçant. Elle prit une photo de lui avec son téléphone.

— Franchement ? s’écria-t-il, écoeuré.

— C’est pour Garrett !

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— Appelle-moi quand tu veux. J’ai passé la journée au bureau, à faire de la paperasserie. J’ai tenté de m’entailler le doigt, en me disant que si c’était suffisamment profond, j’obtiendrais peut-être un arrêt maladie.

Zane sourit.

— Mac n’aurait jamais marché, il t’aurait dit de sucer ton doigt et de la boucler.

— Je sais. C’est bien pour ça que j’ai aussi cherché – en vain – à me prendre les pieds sur le tapis de l’entrée. La seule fois où je suis tombé, j’ai réagi d’instinct en faisant un roulé-boulé et je me suis redressé trop vite.

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