PÈRE UBU. Comment, je veux tout changer, moi. D'abord je veux garder pour moi la moitié des impôts.
FINANCIERS. Pas gêné.
PÈRE UBU. Messieurs, nous établirons un impôts de dix pour cent sur la propriété, un autre sur le commerce et l'industrie, et un troisième sur les mariages et un quatrième sur les décès, de quinze francs chacun.
PÈRE UBU. Comment, je veux tout changer, moi. D'abord je veux garder pour moi la moitié des impôts.
FINANCIERS. Pas gêné.
PÈRE UBU. Messieurs, nous établirons un impôts de dix pour cent sur la propriété, un autre sur le commerce et l'industrie, et un troisième sur les mariages et un quatrième sur les décès, de quinze francs chacun.
PREMIER FINANCIER. Mais c'est idiot, Père Ubu.
DEUXIÈME FINANCIER. C'est absurde.
TROISIÈME FINANCIER. Ça n'a ni queue ni tête.
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