Date de sortie
Ultimes paroles
- France : 2000-12-30 - Poche (Français)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Ultimes paroles
Résumé
'Cette arthrite n'est pas une blague. (.. .) Mes réflexes sont bousillés.J'arrive pas à me rouler un joint.' Vers la fin de sa vie, W. S. Burroughs, handicapé par l'arthrite, ne peut plus taper à la machine. Ses proches ont alors l'idée de lui donner des livres blancs : de novembre 1996 à fin juillet 1997, quelques jours avant sa mort, il y consignera son journal intime. New York, Mexico, Paris : W. Burroughs interroge une vie de calme et d'écriture, convoquant entre autres, Shakespeare, Conrad et Yeats, Allen Ginsberg, Timothi Leary, Brion Gysin et ses chats bien-aimés dans un ultime effort pour décrypter et guérir le monde menacé par le mal, la bêtise, la conspiration internationale du mensonge, les extra-terrestres et les mille-pattes cauchemardesques qui vous rongent la moelle. L'écriture s'affirme comme son arme et sa mission, la morphine comme le chemin qui l'aura mené à sa propre vérité. Mais avec l'élégance d'un dandy provocateur, Burroughs brouille les pistes : faut-il croire l'homme qui écrit 'Je ne suis pas vraiment contre le meurtre... trop de gens ne sont que de perpétuels emmerdeurs' ?
Afficher en entier