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Extrait ajouté par anonyme 2014-01-19T11:44:11+01:00

État d'alerte au " piège à rats "

Intervention de la brigade de déminage

Silver Lake, Californie

Charlie Riggio observa la boîte en carton abandonnée à côté du container à ordures. C'était un emballage de conserves Géant Vert dont dépassait, sur le dessus, ce qui paraissait être un sac de papier marron froissé. Une étiquette collée sur le carton portait la mention " Haricots verts ". Par précaution, Riggio et les deux officiers en uniforme qui l'accompagnaient s'arrêtèrent à l'angle du centre commercial situé là, sur Sunset Boulevard.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-01-19T11:43:38+01:00

Lasse de ruminer, Stakey écrasa sa cigarette et alla prendre une douche. Elle retira son T-shirt et, sans ressentir la moindre émotion, commença à s'inspecter.

Toute la partie droite de son abdomen, depuis la poitrine jusqu'à la hanche, était striée et crevassée par l'impact des seize morceaux de métal qui s'étaient logés en elle. Deux longues cicatrices lui parcouraient les flancs le long de sa côte inférieure. Sa peau, naguère couleur noisette, était désormais blanche comme un linge, car, depuis le drame, Starkey ne s'était plus jamais montrée en maillot de bain.

Mais le pire, c'était son sein droit. Un débris du détecteur, mesurant cinq bons centimètres, l'avait atteinte juste en dessous du mamelon, creusant un profond sillon qui lui barrait la cage thoracique et se terminait dans son dos. La blessure ressemblait au lit d'une rivière qui se serait progressivement asséchée. Dans un premier temps, ses médecins avaient envisagé l'ablation du sein, avant de changer d'avis et tenté de le sauver. Ccrtes.il était toujours là, mais, même après que les tissus s'étaient reformés, il continuait de ressembler à un avocat trop mûr. On avait assuré à Starkey que la chirurgie esthétique pourrait, par la suite, en améliorer l'aspect, mais, après quatre opérations; elle avait décidé que cela suffisait.

Depuis que Sugar avait quitté son lit ce matin-là, elle n'avait jamais eu d'amant.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-01-19T11:43:23+01:00

Il décida de remiser sa couverture de bouseux au placard : il avait envie de jouer au Black. Il adorait les Blancs qui se comportaient en Noirs. Blanc dehors, noir dedans, comme les dragées au chocolat. « Yo, man, cool! » L.A. offrait un décor rêvé pour ce genre de conneries. Ici, tout le monde faisait semblant d'être quelqu'un d'autre

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Extrait ajouté par anonyme 2014-01-19T11:43:09+01:00

- Mais, bon sang, pourquoi vous ne dites rien? Je suis complètement paumée et vous vous contentez de me dévisager!

Il s'approcha de nouveau et la serra contre sa poitrine. Elle se raidit, mais, constatant qu'il s'en tenait là, le laissa faire et se détendit petit à petit. À son tour, elle passa les bras autour de lui. Il poussa un soupir. C'était comme s'ils s'en remettaient l'un à l'autre. Starkey se rendit compte cependant qu'elle n'était pas encore prête pour une intimité plus grande.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-01-19T11:42:50+01:00

Ils convinrent de se retrouver au Barrigan's. Starkey éprouvait un besoin impérieux de le revoir. Depuis la veille au soir, elle se demandait si elle n'était pas en train de tomber amoureuse de lui. N'ayant cependant aucune certitude, elle préférait rester prudente. Certes, les trois années qui venaient de s'écouler avaient laissé un grand vide en elle, un vide qu'elle aspirait aujourd'hui à combler. Mais il ne fallait pas confondre ce désir avec de l'amour, ni prendre le risque de sacrifier une amitié naissante à des chimères.

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Extrait ajouté par Caroline 2013-01-21T12:38:15+01:00

"Charlie Riggio observa la boîte en carton abandonnée à côté du container à ordures. C'était un emballage de conserves Géant Vert dont dépassait, sur le dessus, ce qui paraissait être un sac de papier marron froissé. Une étiquette collée sur le carton portait la mention " Haricots verts ". Par précaution, Riggio et les deux officiers en uniforme qui l'accompagnaient s'arrêtèrent à l'angle du centre commercial situé là, sur Sunset Boulevard" .

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Extrait ajouté par anonyme 2023-05-10T05:28:14+02:00

Lasse de ruminer, Stakey écrasa sa cigarette et alla prendre une douche. Elle retira son T-shirt et, sans ressentir la moindre émotion, commença à s'inspecter.

Toute la partie droite de son abdomen, depuis la poitrine jusqu'à la hanche, était striée et crevassée par l'impact des seize morceaux de métal qui s'étaient logés en elle. Deux longues cicatrices lui parcouraient les flancs le long de sa côte inférieure. Sa peau, naguère couleur noisette, était désormais blanche comme un linge, car, depuis le drame, Starkey ne s'était plus jamais montrée en maillot de bain.

Mais le pire, c'était son sein droit. Un débris du détecteur, mesurant cinq bons centimètres, l'avait atteinte juste en dessous du mamelon, creusant un profond sillon qui lui barrait la cage thoracique et se terminait dans son dos. La blessure ressemblait au lit d'une rivière qui se serait progressivement asséchée. Dans un premier temps, ses médecins avaient envisagé l'ablation du sein, avant de changer d'avis et tenté de le sauver. Ccrtes.il était toujours là, mais, même après que les tissus s'étaient reformés, il continuait de ressembler à un avocat trop mûr. On avait assuré à Starkey que la chirurgie esthétique pourrait, par la suite, en améliorer l'aspect, mais, après quatre opérations; elle avait décidé que cela suffisait.

Depuis que Sugar avait quitté son lit ce matin-là, elle n'avait jamais eu d'amant.

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Extrait ajouté par anonyme 2018-11-04T16:49:46+01:00

A cause de la circulation, Starkey mit en effet presque tout ce temps pour se rendre à Northridge, au fin fond de San Fernando Valley. L'immeuble où habitait Riggio était situé dans une rue très passante, à trois pâtés de maisons du campus de Cal State. C'était un édifice imposant, un monstre de stuc qui avait probablement été reconstruit après le grand tremblement de terre de 1994. Starkey gara sa voiture dans une zone rouge, puis marcha jusqu'aux portes vitrées sécurisées où Angela et elle étaient sortaient de l'immeuble lui tinrent la prote, mais elle leur dit qu'elle attendait quelqu'un. Elle les regarda s'éloigner en direction du campus et sourit. C'était Riggio. Il devait y avoir une piscine, un jacuzzi, et sûrement une salle de jeux avec un billard, des barbecues tous les soirs et plein de jolies filles.

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Extrait ajouté par anonyme 2018-11-03T14:05:01+01:00

La Golden State Freeway partait du nord de la ville et divisait l'Etat en deux à travers la vaste plaine de Central Valley. Pour Starkey, c'était la meilleur autoroute de Californie, sinon la meilleur au monde : interminable, toute droite et plate. On pouvait bloquer la vitesse sur 100, laisser son esprit divaguer et rejoindre San Francisco en cinq heures. Bakersfield était à moins d'une heure et demie de Los Angeles.

Assise toute raide sur le siège passager, bras et jambes croisés, Marzik faisait la gueule comme une adolescente en pleine crise de puberté. Starkey ne savait pas très bien pourquoi elle lui avait demandé de venir. En fait, elle l'avait regretté dès leur départ de Spring Street. Pendant la première demi-heure de trajet, ni l'une ni l'autre ne desserra les dents. Lorsqu'elles eurent franchi Newhall Pass, le point culminant de San Fernando Valley, et dépassé le parc d'attraction de Magic Mountain, Marzik commençai à s'agiter sur son siège. Au bout d'un moment, elle finit par rompre le silence.

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Extrait ajouté par anonyme 2018-11-02T18:22:38+01:00

Irma's Qwick Stop était situé dans une rue étroite à deux voies, en face d'un bar de strip-teaseuses appelé Irma's Club Parisienne. John y avait rendez-vous à vingt heures trente avec un homme qui se faisait appeler Peter Willy, allusion à Willy Peter, un nom employé en argot de l'armée américaine pour qualifier les explosifs phosphoreux. Peter Willy prétendait avoir quatre mines antipersonnel de marque Claymore à vendre. S'il disait vrai, John les lui rachèterait mille dollars pièce afin de récupérer les quelque deux cents grammes de RDX qu'elles contenaient. Cet explosif, indispensable à la fabrication de l'hybride de Modex qu'il utilisait dans ses bombes, était terriblement difficile à trouver. Ca valait bien la peine de se déplacer jusqu'en Lousiane, et ce même si ce Peter Willy était probablement un baratineur.

Comme beaucoup de ses contacts, John l'avait "rencontré" sur Internet. Il prétendait avoir fait une carrière dans les commandos et être un ancien biker. Aujourd'hui, il était censé travailler sur une plate-forme pétrolière de la société Exxon, ce qui lui permettait de bénéficier de deux semaines de congé tous les quinze jours. Pendant son temps libre, il lui arrivait soi-disant de faire le mercenaire en Amérique du Sud. John savait parfaitement que tout cela était du bidon. A partir du pseudonyme que Peter Willy utilisait sur Internet et à l'aide d'un logiciel dit "rôdeur", il avait réussi à remonter jusqu'au compte d'un certain George Parsons domicilié chez Earthlink. Sur sa fiche figurait également le numéro de la carte bleue avec laquelle il payait son abonnement au web. Fort de ces informations, John n'avait au aucun mal à découvrir que George Parsons était en réalité contrôleur aérien à l'aéroport de la Nouvelle-Orléans, qu'il était marié et père de trois filles, n'avait pas de casier judiciaire et n'avait jamais mis les pieds à l'armée. A fortiori, ce n'était ni un dangereux ancien commando ni un mercenaire à temps partiel.

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