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Extrait ajouté par fadabook 2017-01-29T21:51:36+01:00

" Peut être ignore-t-il qu'il vous aime, mais, croyez moi, il ne vous laissera pas partir. Je le connais. Si vous franchissez cette porte, il la franchira sur vos talons."

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Extrait ajouté par Laully 2022-02-04T09:45:23+01:00

Chaque acte, chaque pensée utilise l'énergie électrique. Cette énergie est détectable. Certains de nous sont sensibles aux piqûres de guêpe, d'autres à l'énergie, et ce à des degrés variables. La plupart des gens possèdent des pouvoirs extrasensoriels et les appellent prémonition, instinct, pressentiment...

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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-05-20T21:44:30+02:00

Dan frappa un coup discret et ouvrit la porte sans attendre la réponse.

— La pizza est là.

Comme toujours, elle réagit à sa présence. Il était si grand, si viril... Pour la première fois, elle se mit à penser qu'une relation avec lui était possible, qu'Arno Gleen perdait de son emprise sur elle. Gleen était un malade, un sadique. Dan était un pur macho aux arêtes vives, trop entier pour que la vie à ses côtés fût de bout en bout idyllique, mais une femme se sentirait toujours en sécurité avec lui.

Les yeux de Dan s’étrécirent.

— Ça va ?

Il la rejoignit en deux enjambées et, passant le bras autour de sa taille, l'attira contre lui.

Elle acquiesça distraitement et glissa la main derrière sa nuque.

Sans hésiter, il s'empara de ses lèvres avec une voracité qui la confondit. Lui tenant le menton, il insinua la langue au plus profond de sa bouche et sollicita ouvertement la sienne. Marlie chancela, à la fois effrayée et tentée, et il l'étreignit avec force. Aucun homme ne l'avait jamais désirée avec une telle violence.

Elle passa les bras autour de son cou, se frottant à lui, voulant se fondre en lui. Il la brutalisait avec ses baisers, et elle en voulait plus.

Il posa la main sur son sein, et la respiration de Marlie se bloqua. Du pouce, il se mit à tracer des cercles sur le mamelon. Au début, cela la titilla, comme une légère piqûre d'épingle, puis la sensation s'intensifia, et son corps tout entier palpita de désir. Elle gémit, affolée de le sentir échapper à son contrôle.

Dan leva la tête. Son souffle était rapide et son cœur cognait contre celui de Marlie.

— Lit ou pizza ? demanda-t-il, d'une voix si gutturale qu'elle le comprit à peine. Si c'est pizza, vous feriez mieux de le dire tout de suite.

Elle voulait dire « lit », elle le voulait tant ! Elle voulait oublier et s'abandonner au plaisir des sens.

— Pizza, répondit-elle.

Elle ferma les yeux, écœurée par sa lâcheté.

Dan s'arc-bouta et prit une profonde inspiration.

— Va pour la pizza ! (Il la relâcha et lui adressa un pâle sourire qui illumina ses traits rudes.) Je suppose que je vais trop vite en besogne à votre goût, mon trésor. Navré. C'est seulement que je dégaine plus vite que mon ombre en ce qui vous concerne, et je ne parle pas d'une arme à feu.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-05-20T21:19:36+02:00

Les yeux de Dan brillaient d'obstination. Elle avait l'impression d'avoir un taureau dans sa cuisine et de ne pouvoir le faire bouger.

— Vous mentez, dit-il posément. Vous éprouvez la même chose que moi. Je vous attire, et cela vous fiche une trouille du diable, à cause de Gleen.

Le visage de Marlie se ferma.

— Je ne souhaite pas parler de Gleen.

— O.K., mais écoutez-moi. Ce salaud est mort. Il ne pourra plus jamais vous faire de mal. Ce serait dommage de tourner le dos aux plaisirs de la vie.

— Et vous êtes précisément l'homme à même de me montrer ce que je perds, c'est bien ça ? demanda-t-elle avec un lourd sarcasme.

— Affirmatif, mon chou.

Elle croisa les bras et s'adossa au placard.

— J'ai toujours eu horreur qu'on m'appelle « mon chou ».

— O.K. Je vous donnerai le nom qu'il vous plaira.

— Vous ne me donnerez aucun nom du tout. Pouvez-vous vous mettre ça dans votre crâne épais, inspecteur ? Il ne peut y avoir quoi que ce soit entre nous, point final.

Il sourit, et Marlie sentit son cœur s'emballer à la vue de la métamorphose qui s'opérait sur ses traits rudes. Il était transfiguré.

— C'est déjà fait. Connaissez-vous quelqu'un qui vous fiche en rogne autant que moi ?

— Pas de but en blanc.

— Vous voyez ? Pareil pour moi. Depuis que je vous ai vue lundi matin, j'ai été d'une humeur de dogue, furieux contre vous d'être une suspecte, furieux contre moi d'être attiré par vous malgré tout.

— Peut-être nous détestons-nous comme chien et chat.

— Je ne crois pas. (Il jeta un coup d'œil sur son pantalon.) Il y a là une preuve du contraire.

Marlie s'interdit de céder à l'impulsion de porter son regard à l'endroit en question. Après la scène de la veille, elle ne doutait pas de ce qu'elle allait voir. A son corps défendant, elle aimait l'expression de légère stupéfaction de Dan devant la réaction de son corps, et il lui fallut faire appel à toute la force de sa volonté pour ne pas le lui laisser deviner. Elle aurait déjà suffisamment de mal à le décourager ; inutile de lui montrer à quel point elle aurait souhaité que les choses se passent différemment entre eux. Elle avait toujours rêvé de nouer une relation normale avec un homme, ses dons psychiques, puis Gleen l'en avaient empêchée.

— Cela ne marchera pas, dit-elle.

Il regarda de nouveau son entrejambe.

— Vous croyez ? répondit-il, le ton sceptique. On dirait pourtant que ça marche du tonnerre pour moi !

Médusée, Marlie éclata de rire et porta aussitôt la main à sa bouche. Il lui sourit de nouveau, et son cœur fit des acrobaties, bien qu'elle s'efforçât de garder son sang-froid. Dan était beaucoup plus dangereux qu'elle ne l'avait craint — il arrivait à la faire rire.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-05-20T21:17:40+02:00

Elle s'adossa, soudain très lasse, et s'aperçut qu'à un moment donné de la conversation Dan avait passé le bras derrière elle. Elle se remit en avant d'une secousse ; il la ramena de force en arrière.

— Pas de panique, chuchota-t-il. Vous tenez toujours une de mes mains, et l'autre est derrière vous. Tout va bien.

Elle le fusilla du regard.

— Je ne tiens pas votre main ! C'est vous qui tenez la mienne.

— Détail secondaire. Je vais vous embrasser, Marlie...

— Je vais encore vous mordre.

Il haussa les épaules.

— J'ai toujours eu plus de cran que de raison.

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Extrait ajouté par AMETHYST 2017-05-20T21:05:48+02:00

Dan était également en conflit avec sa prudence masculine. A sa connaissance, aucun homme n'acceptait de gaieté de cœur de bouleverser son existence pour une femme, et il ne faisait pas exception à la règle. Il aimait sa vie ; il n'avait pas envie de perdre sa liberté, de rendre compte de son temps à qui que ce fût, de n'être pas maître de ses décisions. Et depuis qu'il connaissait Marlie, il avait l'impression d'être pris au piège. Il avait été attiré par des tas de femmes dans le passé, mais jamais de cette façon-là. C'était une fièvre, un besoin torturant qui ne le laissait jamais en repos. Cela ne faisait que quatre jours qu'il l'avait vue dans le bureau de Bonness et, depuis, elle ne lui était plus sortie de l'esprit. Plus il glanait de détails sur elle, plus il était amoureux. Le hic, c'était qu'elle n'allait certainement pas lui faciliter les choses. Il allait devoir la conquérir de haute lutte.

Elle avait délibérément fui toute relation sentimentale depuis que Gleen avait failli la détruire. Dan aurait souhaité se mettre un peu en retrait, afin de lui donner le temps d'apprendre à lui faire confiance, mais il avait toujours détesté attendre. Il allait la faire sienne, bon sang, et vite ! Il comprenait qu'elle redoutât le sexe ; il lui montrerait que cela pouvait aussi être agréable. Et lui qui n'avait jamais été en proie aux affres de la jalousie se sentait prêt à pourfendre tout homme qui la fixerait un peu trop longuement et se perdrait dans ses yeux insondables. Il voulait avoir le droit de l'attirer possessivement contre lui et de foudroyer du regard le premier salopard qui tenterait de lui faire des avances.

Trammell allait jubiler. Dan n'avait jamais eu de problème à séparer sa vie amoureuse de sa vie professionnelle. Car son boulot avait toujours primé. Et voilà qu'il se retrouvait obsédé par une femme qui représentait son meilleur atout pour débusquer un tueur

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Extrait ajouté par Kamije 2013-08-10T13:16:47+02:00

Ainsi, vous êtes restée dans votre voiture jusqu'à ce que la vision s'achève, puis vous êtes tranquillement rentrée vous coucher. Si vous êtes si persuadée d'être médium,pourquoi avoir attendu plus de quarante-huit heures avant de prévenir la police? Nous aurions peut-être pu épingler le gars si vous vous étiez manifestée plus tôt.

Marlie blêmit, blessée par le ton sarcastique. Il n'était pas question qu'elle évoque ce qui s'était passé six ans auparavant, qu'elle explique pourquoi certains détails l'avaient embrouillée au point de ne plus savoir s'il s'agissait d'un flash-back ou si ses dons étaient revenus.

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Extrait ajouté par Alexiia 2013-06-02T23:31:02+02:00

Il était vingt-trois heures trente quand Marlie Keen sortit du cinéma avec la foule du vendredi soir. Détendue par la comédie qu'elle venait de voir, elle se dirigea d'un pas vif vers sa voiture et mit le cap sur son domicile.

Elle roulait sur la voie express quand, tout à coup, une pensée la frappa : elle se sentait bien, et ce pour la première fois depuis six ans.

Après réflexion, elle constata, étonnée, que ce sentiment de bien-être remontait en fait à plusieurs mois. Prise par la routine de l'existence qu'elle s'était bâtie à Orlando, elle ne s'en était pas rendu compte. Pendant de longues années, elle avait vécu en automate, puis le temps avait lentement accompli son œuvre. Elle avait guéri, tel un amputé qui, acceptant enfin la perte d'un de ses membres, apprend à s'en passer et, peu à peu, à aimer de nouveau la vie. La perte qu'elle avait subie était plus mentale que physique et, à l'inverse d'un amputé, elle avait prié des nuits durant pour ne jamais récupérer cette partie d'elle-même. Puis, un beau jour, elle avait cessé de redouter le retour de ses dons et avait simplement continué de vivre.

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