Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 513
Membres
1 006 827

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par Jelieaulit 2018-09-28T01:57:22+02:00

— Poussin, cela fait deux mois que ça tourne dans ma tête. Tu ne crois pas que j’ai suffisamment réfléchi ? À vrai dire, je ne comptais pas vous l’avouer aujourd’hui. Je désirais simplement tâter le terrain, voir comment vous jugiez les homos pour mieux me préparer.

— Le problème, reprend Jodie, c’est que ce n’est pas d’un inconnu qu’on discute. Tu es notre père et tu nous balances d’un coup que t’es homo et que tu veux divorcer pour t’envoyer en l’air avec un mec.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Chrichrilecture 2018-09-21T06:47:31+02:00

Les jambes coupées, je tombe à genoux. La crainte m’envahit, je ne sais pas pourquoi, mais ce que va me révéler cette lettre me fait frémir d’avance. Je respire à petits coups, près d’hyperventiler ; à deux doigts de tourner de l’œil. Merde ! Je suis un mec, je n’ai peur ni de rien ni de personne. Je déglutis difficilement, la gorge serrée par l’émotion. J’arrache plus que j’enlève ce qui est collé à l’envers du tiroir. À présent, je tremble, autant d'angoisse que d’anticipation. J’aimerais remonter le temps, ne rien avoir découvert.

Afficher en entier
Extrait ajouté par Folize 2018-06-02T15:19:19+02:00

Bordel ! Comment en suis-je arrivé là ? songé-je, tout en aspirant la langue d’Adrien dans un baiser sulfureux. Mes mains sur son fessier le bloquant contre ma hampe qui pulse de désir. Mon esprit déconnecté, planant totalement sous l’afflux de sensations.

Comment ai-je pu rater cette foutue marche ? Cela ne m’est jamais arrivé. J’y suis presque né dans cette foutue baraque et elle me joue un tour pareil.

C’est dans les bras d’Adrien que j’ai atterri. Nos visages si près, faisant jaillir l'étincelle de notre désir. Nous nous sommes jetés l’un sur l’autre comme des affamés. Sans qu’aucune raison ne vienne effleurer notre conscience. Je n’ai pas assez de mes deux mains pour le caresser, pinçant son téton, ce qui fait réagir aussitôt sa verge qui enfle encore le long de ma cuisse, il me mordille l’oreille, un gémissement s’échappe malgré moi et je resserre mon étreinte autour de lui, prêt à le basculer au sol.

C’est le bruit d’une portière de voiture plus bas dans la rue qui me sort de la transe dans lequel notre baiser m’a précipité. Et surtout l’imminence de décharger dans mon boxer comme un adolescent qui me ramène à moi.

Le souffle court, je plonge mes yeux dans ceux complètement égarés d’Adrien. Lui non plus ne comprend pas. Il a même un peu de mal à reprendre pied apparemment. C’est un miracle que l’on n’ait pas baisé sur le palier comme c’était parti.

- Je… Je suis désolé ! balbutié-je.

Merde ! Non ! Je ne suis pas du tout désolé. Je n’ai qu’une envie. Replonger sur ses lèvres gonflées par ce baiser d’enfer que l’on vient d’échanger. Je ne résiste pas. Lorsque je le sens entrouvrir les lèvres, ma langue se glisse à l'intérieur de cette bouche douce, chaude et accueillante. Un gémissement résonne comme un coup de tonnerre dans le couloir. D’Adrien ? De moi ? Bordel, c’est tellement bon ! Son regard chaviré avoue la même chose. Le besoin, l’envie et quelque chose de plus subtil qui ne se dévoile pas tout à fait.

De la culpabilité.

J’ai un geste de recul, mais ses bras enroulés autour de mon torse, ses mains plaquées sur mon fessier qu’il malaxe avec frénésie, me retiennent, puis me relâchent presque à regret.

- C’est moi, je ne sais pas ce qu’il m’a pris ! dit-il en baissant les paupières.

Je ne peux pas lui laisser la responsabilité de ce qui vient d’arriver. Nous étions deux. Nous sommes deux. Ce que je ressens et ce qui apparemment le terrasse à cet instant ne sont pas quelque chose dont on doit avoir honte. C’est l’étincelle de la vie que j’ai senti à nouveau courir dans mes veines. Un besoin si absolu qu’il me fait douter de ma volonté.

Il reprend tandis que je cogite :

- Je vais partir, chercher un appartement ailleurs. Je… Je ne peux pas rester.

La panique qui déferle en moi à ces mots me fait comprendre que si je le laisse partir, je le regretterai. Je ne le verrai plus, ou tout au moins, cela cassera quelque chose qui peut se révéler important pour moi, pour nous deux. Une certitude s’impose comme une chape dans mon esprit.

- Non, je t’en prie !

- Pourquoi ?

- Laisse-nous le temps.

Afficher en entier
Extrait ajouté par AnteikuUta 2018-05-21T14:37:20+02:00

« Toute la journée, la conversation de la veille tourne en boucle dans mon esprit. Et si Cyril se trompait ? Si c’était effectivement lui qui intéressait Adrien ? Après tout, rien de ce qu’il m’a laissé entendre ne suggère que c’est moi qui l’attire. Ç’aurait pu être pour savoir si Cyril était libre. Un malaise que je ne comprends pas enveloppe cette idée.

Que suis-je en train de faire ? Je refuse de penser à Adrien. C’est ridicule et ce n’est surtout pas le moment. Sauf que voilà, cette envie me tenaille depuis que nos mains se sont touchées et que nos regards se sont croisés. Il y a cette alchimie entre nous, un sentiment qui me prend aux entrailles et qui s’éparpille tels des tentacules dans tout mon corps.

Seulement, je ne suis pas certain que les penchants de Adrien l’amènent vers moi.

Peut-être va-t-il changer de comportement à son égard à présent qu’il sait que Cyril et moi ne sommes pas ensemble ?

Putain !!! »

Afficher en entier
Extrait ajouté par AnteikuUta 2018-05-21T14:37:07+02:00

« L’individu me fait face à présent. Il sait que je suis troublé, il le voit sur mon visage, dans mes poings crispés sur les clés de ma bagnole qui me rentrent dans la peau. La douleur me ramène au présent.

Il s’inquiète.

— Vous êtes blessé ?

— N -non… ça va, rien de grave.

— Xax, c’est Adrien, mon patron, je t’ai parlé de lui.

Il me tend la main. Je n’opère pas un geste, encore sous le choc de la ressemblance. Sa voix m’interpelle. La sienne a un léger accent étranger, alors que celle de Charles était chargée de l’accent chantant de ceux de Marseille.

Au dépit que je discerne dans ses yeux marron si singuliers, je comprends qu’il est déçu. Je réalise qu’il a toujours la main tendue et que je la refuse. Je m’empresse de la prendre dans la mienne. La décharge d’électricité qui nous traverse nous fait sursauter.

Cyril s’esclaffe :

— On peut dire que le courant est passé entre vous.

Il jette un œil vers Xax, puis vers moi qui tiens toujours la main de ce dernier. Disons plutôt que je m’y cramponne comme si ma vie en dépendait. Xax baisse son regard sur nos paumes réunies, je pique un fard d’anthologie, le lâchant brusquement. »

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode