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Ceci est l’histoire de Kay Bartholdi, un roman par lettres comme au XVIIIè siècle.
Un inconnu écrit à Kay, libraire à Fécamp, pour lui commander des livres.
Au fil des lettres, le ton devient moins officiel, plus inquisiteur, plus tendre aussi. Kay et Jonathan parlent de leurs lectures, certes, mais entament un vrai dialogue amoureux.
Ils se font des scènes, des confidences, s’engagent dans une relation que Kay, hantée par le souvenir d’une déchirure ancienne, s’efforce de repousser.
Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es et comment tu aimes... semble dire ce nouveau roman de Katherine Pancol.
" Ils ne me demandent rien. Je ne leur donne rien. Un amour commence à exister quand chacun offre à l'autre le fond de ses pensées, les secrets les plus verrouillés. Sinon, ce n'est pas de l'amour, c'est de l'échange de peaux, de désir immédiat, et l'on se retrouve, détroussé, comme après le passage d'un cambrioleur. "
Héroïne libraire, correspondance assidue et références litteraires mêlées...et bien non !!
Je n'ai tout simplement pas aimé les personnages.
Je n'ai pas apprécié leurs gargarisations pleine de flonflon concernant leur savoir respectif...et le côté "moi aussi j'ai plein de connaissances et je vais vous en remontrer vous allez voir" !
Plus qu'un partage ça en devient un étalage pur et simple...d'où le "grinçage" de dents.
J'ai halluciné face à leur côté "drama-queen" malgré leur âge adulte et leur éducation policée. (Non mais c'est quoi ces provocations et querelles bêtiotes ? Redescendez un peu merci. Et puis le longuet "ma vie cette tragédie, dont je vous fais tout un teaser mais ne veut pas parler". Oo )
"Jonathan" (lol) est fat et suffisant, Kay à fleur de peau et remontée comme une pendule...pour rien trop souvent (aigrie trop tôt !).
En fait tout du long j'ai oscillé entre plusieurs sentiments, dont en tête : énervement et ennui, qui donnent "barbant" !!
La révélation finale n'en est pas une.
Une déception donc.
J'aurais préfère de loin lire les "Mémoires d'un hôtelier amusé" du propriétaire de l'Hôtel le Pigeonnier, cela semblait bien plus réjouissant !
c'est le premier roman de cet autrice que je découvre. Moi qui ne suis pas une grande fan des romans épistolaires, je peux dire que la j'ai pris une claque. Les mots sont tous choisis avec soin et on découvre le secret qui lie les protagonistes à la fin !
Encore un petit roman vite dégusté. C'est que la fin de l'année approche et qu'il faut mettre le paquet pour arriver à terminer mes défis. C'est grâce à Pancrace qui m'aide dans cette tâche et qui m'a dégoté Un homme à distance que j'ai pu apprécier mon premier Pancol.
A vrai dire, j'y suis allée à reculons. Durant des années, les pavés de Katherine Pancol ont trôné sur ma pile mais suite aux critiques négatives d'amis ayant les mêmes goûts littéraires que moi, je m'en suis séparée sans les avoir lus.
Je n'avais pas d'excuses pour celui-ci, tout petit ouvrage de moins de deux cents pages.
La première partie m'a donné un arrière-goût de déjà-vu. Je me suis retrouvé projetée aux côtés d'Emma et Leo dans Quand souffle le vent du nord de Glattauer.
Qui des deux auteurs a commencé ? Je n'en sais rien et ce n'est pas important.
Dès la moitié du livre, heureusement, l'ambiance a changé. Les côtes normandes et bretonnes, décor de ces échanges épistolaires entre le mystérieux Américain et la libraire de Fécamp, ont imprimé en moi un souffle océan bienfaisant. J'en ai alors appris un peu plus sur Kay et ses réactions épidermiques et j'ai découvert qui se cache sous le masque assuré voire presque hautain de Jonathan.
La fin - même si elle est prévisible - m'a apporté son lot de surprises et d'explications et m'a permis de refermer ce livre sur un sentiment positif.
Cette lecture ne laissera pas de traces indélébiles en moi mais je suis enchantée d'avoir enfin pu rencontrer la plume de cette auteure à succès.
Une lecture pas extraordinaire, mais pas dénuée d'intérêt non plus.
Cet échange de lettres commençait plutôt bien, nous plongeant dans la passion commune pour la lecture de nos deux protagonistes. Certaines descriptions qu'ils font de leurs ouvrages "phares" donnent même quelques envie de nouvelles lectures.
Cependant, le ton employé au fil des lettres tourne vite au tranchant, sec, et nos deux personnages en deviennent alors rapidement antipathiques.
Pour ma part, j'ai trouvé Kay très régulièrement agaçante, à s'énerver pour un rien ; alors certes son histoire n'est pas toute rose, mais ça ne justifie pas ses emportements au moindre terme qui ne lui plaît pas. D'autant que bien que Jonathan présente lui aussi des côtés énervants, ce n'est généralement pas le cas dans les moments où Kay s'énerve.
Du coup on laisse vite de côté ce qui avait titillé notre intérêt au début du roman pour passer à des échanges moins intéressants, virant "règlements de comptes" pendant un assez long moment.
Avant enfin d'en apprendre un peu plus sur la vie personnelle de nos deux héros, leur passé tumultueux et les événements qui les ont amenés jusqu'au moment de cet échange. Cette partie "révélations" est ainsi importante au récit et présente de l'intérêt, mais n'arrive pas à en devenir captivante comme elle aurait pu l'être, car elle s'enchaîne très vite, en à peine quelques lettres.
Pour moi qui ai un peu de mal avec le genre épistolaire, ce récit ne s'en sort pas trop mal, il a réussi à éveiller mon intérêt ; néanmoins pas jusqu'au bout, ce n'est du coup pas un roman qui me laissera de gros souvenirs.
Bon...je ne vais pas être tendre avec cet ouvrage...Je l'ai acheté en pensant qu'il s'agissait d'une comédie tendre et romantique, idéale pour clore mes vacances. Mais il s'agit en vérité d'un roman indigeste, prétentieux et irréaliste (à mon sens. Je partage ici mon avis. Bien sûr chacun est libre d'en avoir un différent).
Pour commencer, les personnages manquent totalement de crédibilité. Leur façon de s'exprimer, de se parler mutuellement, de se chercher...c'est digne d'un autre temps. À aucun moment leur histoire d'amour ne m'a émue parce que je n'arrivais pas du tout à y croire. Le personnage de Jonathan est insupportable et condescendant quant à Kay...mais quel cliché ! J'en ai assez que les auteur(e)s donnent toujours des libraires une image de rat de bibliothèque qui ne vivent que pour leurs livres, sont allergiques à toute forme de technologie et nuls en relations humaines...Je suis libraire moi-même et je ne me reconnais pas du tout dans ce portrait. Ne pourrait-on pas évoluer un peu et cesser de voir les professionnels du livre comme des grands timides rêveurs plus à l'aise avec les pages qu'avec les gens ? Ça changerait un peu...
En outre, je trouve qu'on donne toujours d'eux une image prétentieuse. Encore une fois ne sont cités dans cet ouvrage que des classiques ou des grands romans. Mais la littérature, ce n'est pas que ça. Pourquoi juger le personnage de Nathalie parce qu'elle ne lit que des polars ? Pourquoi ne pas conseiller à l'enfant qui n'aime pas lire un bon roman pour la jeunesse qui marche à tous les coups plutôt qu'encore et toujours un "vieux machin" ? Que les choses soient claires, j'adore les classiques mais j'aime aussi la littérature contemporaine sous toutes ses formes et elle passe trop souvent à la trappe. J'ai l'impression que ça ne ferait pas bien, pas chic de citer mettons Philippe Besson, Anna Gavlda ou Suzanne Collins pour la jeunesse alors que ce sont de très bons écrivains eux aussi, auteurs de livres addictifs. Il faut arrêter dans les romans de "bouder" les livres dits grand public. En tant que libraire, j'aime voir des gens qui lisent, point. Chacun choisit le roman qui lui plaît et qu'importe qu'il ait été primé ou non, encensé par la critique, étudié à l'école où qu'il soit au contraire passé à la trappe. Bref, j'ai trouvé nos deux héros assez condescendants. La façon dont Kay parle de Nathalie est limite offensante.
Et puis cette révélation à la fin. Le secret de Jonathan qui vole en éclat et qui finit d'enfoncer le clou ! C'était tellement gros...Je n'ai vraiment ressenti aucune émotion à ce moment-là, pourtant logiquement le plus fort de l'oeuvre.
C'est dommage, j'aimais beaucoup le principe d'une romance épistolaire. Mais pour moi l'auteure à voulu faire trop romantique, trop bouleversant, trop pompeux, trop...Et au final bah moi ça ne me fait rien.
Assez difficile à décrire sans spoiler, je ne m'y risquerai donc pas. Je dirais juste que c'est le livre de Katherine Pancol que j'ai le moins aimé même si je ne regrette pas de l'avoir lu pour autant. C'était bien écrit et intéressant dans l'idée, mais j'ai trouvé que ça manquait de vraisemblance.
Mon premier livre de Katherine Pancol...j'aime beaucoup le principe d'échange de lettres et de proposition de littérature, mais je ai pas été transcendée..une belle histoire qui se lit vite et sur laquelle je ne reviendrais pas
Bof, bof, bof. on est très très loin de la qualité des auteurs cités au gré des pages. Les personnages sont caricaturaux, l'histoire peu crédible et l'atmosphère inutilement pesante. Marre aussi des clichés méchants riches/gentils pauvres. Je préfère la Katherine Pancol des sagas sympas comme Les yeux jaunes des crocodiles...
Résumé
Ceci est l’histoire de Kay Bartholdi, un roman par lettres comme au XVIIIè siècle.
Un inconnu écrit à Kay, libraire à Fécamp, pour lui commander des livres.
Au fil des lettres, le ton devient moins officiel, plus inquisiteur, plus tendre aussi. Kay et Jonathan parlent de leurs lectures, certes, mais entament un vrai dialogue amoureux.
Ils se font des scènes, des confidences, s’engagent dans une relation que Kay, hantée par le souvenir d’une déchirure ancienne, s’efforce de repousser.
Dis-moi ce que tu lis, je te dirai qui tu es et comment tu aimes... semble dire ce nouveau roman de Katherine Pancol.
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