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Extrait ajouté par Samaritain 2014-01-05T12:46:18+01:00

Les ordres. D’un geste machinal, Daoiz tire de sous sa veste la feuille que lui a donnée le colonel Navarro Falcón avant qu’il ne quitte l’état-major de l’Artillerie, la déplie et la relit encore une fois :

Ne prendre à aucun moment d’initiative personnelle sans ordres supérieurs écrits, ni fraterniser avec le peuple, ni montrer la moindre hostilité contre les forces françaises.

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Extrait ajouté par Samaritain 2014-01-05T12:45:53+01:00

Tandis que le capitaine Marbot avance avec ses hommes entre la place Doña María de Aragón et celle de Santo Domingo, des Madrilènes armés d’escopettes, de mousquets et de fusils de chasse tentent de revenir au Palais royal ou de descendre vers celui-ci depuis la Puerta del Sol ; mais ils trouvent la voie occupée par les canons et les grenadiers du colonel Friederichs, qui établit des postes avancés dans les rues voisines. De sorte que ces groupes sont mitraillés sans pitié dès qu’ils apparaissent par l’Almudena et la rue San Gil, pris en enfilade par les canons de l’armée impériale. C’est ainsi que meurt Francisco Sánchez Rodríguez, âgé de cinquante-deux ans et employé de maître Alpedrete, marchand de voitures : il est atteint de plein fouet par une salve française au moment où il passe le coin de la rue du Factor en compagnie des soldats des Volontaires d’Aragón Manuel Agrela et Manuel López Esteban – tous deux tombent aussi, gravement blessés, et décéderont au bout de quelques jours – et du facteur José García Somano, qui échappe à la décharge mais trouvera la mort une demi-heure plus tard, frappé par une balle sur la place San Martín. Du haut des fenêtres du Palais, où hallebardiers et gardes se sont approvisionnés en munitions et ont fermé les portes, résolus à en défendre l’enceinte au cas où les Français tenteraient d’y pénétrer, le capitaine des Gardes wallonnes Alejandro Coupigny voit, impuissant, les habitants se faire repousser et courir devant la charge des cavaliers polonais venus du palais Grimaldi, qui les massacrent à coups de sabres.

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Extrait ajouté par 21la 2012-06-17T22:12:54+02:00

«A partir de trois heures de l'après-midi, le crépitement continu de la fusillade, les cris des suppliciés et les vociférations des bourreaux glacent le sang des Madrilènes. Leur ville devient un vaste champ de morts où les cadavres vont s'amonceler à mesure que décline le jour.»

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Extrait ajouté par 21la 2012-06-17T22:10:08+02:00

J’ai pour ennemi une nation de douze millions d’âmes enragées jusqu’à l’indicible. Tout ce qui s’est fait ici le 2 mai est odieux. Non, Sire. Vous êtes dans l’erreur. Votre gloire se perdra en Espagne.

Lettre de Joseph Bonaparte

à son frère l’Empereur

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Extrait ajouté par 21la 2012-06-17T21:42:16+02:00

« Si les nobles et les gens cultivés, qu'ils soient opposés aux Français ou partisans de leur présence, se rejoignent tous pour mépriser la colère et l'ignorance du peuple, l'Église, elle aussi, s'efforce, depuis la guerre avec la Convention, de continuer à nager entre deux eaux, combinant la méfiance des idées révolutionnaires avec sa traditionnelle habileté ­ ces journées en sont la preuve ­ pour rester du côté du pouvoir constitué quel qu'il soit. »

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Extrait ajouté par 21la 2012-06-17T21:40:31+02:00

« A la porte de Tolède, sous les jambes des chevaux et les sabres des cuirassiers français, la populace des bas quartiers de Madrid combat furieusement, avec la férocité d'individus qui n'ont rien à perdre, la haine insensée de ceux qui n'ont envie que de vengeance et de sang. »

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Extrait ajouté par 21la 2012-06-17T21:38:53+02:00

« Le premier à tomber, d'une balle dans le ventre, est le plâtrier Nicolas del Olmo Garcia, âgé de cinquante-quatre ans. »

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-02-17T14:18:49+01:00

Lorsque Blas Molina Soriano, serrurier de son métier, arrive sur l’esplanade du Palais, il ne reste qu’une berline sur les trois qui attendaient devant la porte du Prince. Les autres s’éloignent dans la rue Tesoro.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-02-17T14:18:40+01:00

— Cochons de gabachos, dit une voix près de Velarde. Le capitaine se tourne vers l’homme qui est à côté de lui. C’est un cordonnier, tablier autour de la taille, qui finit de démonter les planches qui protègent la porte de son échoppe, dans l’entrée de l’immeuble qui fait le coin

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-02-17T14:18:32+01:00

Daoiz n’avait que trop raison, et les conséquences de cette indiscrétion n’avaient pas tardé à venir : changements d’affectation pour les artilleurs, mouvements tactiques des troupes impériales, et un détachement de Français à l’intérieur du parc d’artillerie.

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