Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 376
Membres
1 011 797

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T17:52:40+01:00

Et elle se dit que si le fil ne la ramène pas à son amant, tant pis, c'est pas grave, elle pourra toujours se pendre avec.

Afficher en entier

J'ai craché par terre avant de m'apercevoir que j'étais devant le cimetière. Beaucoup de nos soldats avaient été enterrés là en automne, sous les croix de bois brut que fabriquait une compagnie voisine. J'ai pensé : "Ce n'est rien, ils ne t'en veulent pas, tu as craché sur la guerre."

Afficher en entier

Quand Mathilde et Manech ont fait l’Amour pour la première fois, il s’est endormi la main posé sur son sein. Et chaque fois que sa blessure le lance, Manech sent le cœur de Mathilde battre dans sa paume. Et chaque pulsation la rapproche de lui.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T17:52:40+01:00

Elle en avait dix-sept quand on lui a dit qu'il était perdu. Elle a pleuré beaucoup, parce que le désespoir est femme, mais pas plus qu'il n'en fallait, parce que l'obstination l'est aussi.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T17:52:40+01:00

En vraie femme, elle s'est parée du mieux qu'elle a pu, en blanc pour faire fraîche, un peu de rouge aux lèvres pour la circonstance, les sourcils faits, les dents éclatantes, mais surtout pas de noir pour allonger les cils, elle sait ce que ça donne quand on craque.

[...] Quand Juliette Desrochelles et Sylvain se retirent, Mathilde est à vingt pas de lui. Il a les cheveux noirs, tout bouclés. Il lui paraît plus grand qu'elle ne s'en souvenait. Il est devant une toile, sous un appentis. Elle a bien fait de ne pas se mettre du noir sur les cils.

Afficher en entier

A cette lettre, Mathilde répond qu'elle n'est plus une enfant, c'est tout.

Afficher en entier

Et pourtant, Kléber m'a dit, plus tard, ce que je devais croire : qu'on prend ce qui vient, au moment où ça vient, qu'on ne lutte ni contre la guerre, ni contre la vie, ni contre la mort, on fait semblant, que le seul maître du monde, c'est le temps.

Afficher en entier

Ton visage est tout éclairé je te vois. Je suis heureux, je reviens. J'ai envie de crier ma joie sur la route, je reviens. J'ai envie de t'embrasser comme tu aimes, je reviens. [...] je vais courir de toutes mes forces, attends moi. [...] je t'embrasse tout doux, tout doux comme tu aimes, et tes beaux yeux, je les vois, et ta bouche dans la lumière, et tu me souris.

Manech.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T17:52:40+01:00

Il était une fois cinq soldats français qui faisaient la guerre, parce que les choses sont ainsi.

Afficher en entier
Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T17:52:40+01:00

Au soir, dans son lit, Mathilde rêve que son petit pêcheur la promène sur le chemin du lac dans la forêt et dans les rues de Cap-Breton, et les dames sur leur porte disent : "Qu'ils sont beaux, tous les deux, regardez cette amitié infectible!"

Quand elle saura, par Maman, qu'infectible n'existe pas, elle sera très déçue, elle fera dire aux dames : "Regardez cette amitié infectieuse", et, plus tard "Cet amour infecté."

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode