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Ne me le prenez pas, je vous en supplie, ne me le prenez pas. On en mourrait tous les deux.

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Extrait ajouté par -Fan- 2014-05-24T21:19:32+02:00

Il dit : "Parce que la guerre dont on parle dans toutes vos paperasses, je ne la reconnais pas, c'est à croire que je n'ai pas fait la même."

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Alors en attendant, elle s'adosse bien droite dans sa trotinette, elle croise les mains sur ses genoux, elle le regarde. Oui elle le regarde, elle le regarde, la vie est longue et peut porter encore beaucoup plus sur son dos. Elle le regarde.

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Ils ont encore quelques moments por s'aimer dans la cabane, elle ne les a pas comptés, elle ne se rapelle plus. Peut-être six ou sept jours.

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"Pour sortir de là, il fallait tout de suite se trouver un bon trou et, comme l'avait conseillé le capitaine Farouvier, la boucler.(...)Or Six-Sous chante "Le temps des cerises", Manech construit un bonhomme de neige, Ange veut se rendre, l'Eskimo descend un biplan à la grenade. Il n'y a que lui, Cet Homme, des cinq le plus fort, le plus calme, qui pouvait s'en sortir."

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Dans l'auto, de retour vers Capbreton, Mathilde voit bien que Sylvain s'inquiète pour elle, qu'il voudrait qu'elle épanche sa peine. Elle n'a pas envie de parler, pas envie de larmoyer, elle a envie de se retrouver seule dans sa chambre. Heureusement, le bruit du moteur ne facilite pas la conversation.

Quand elle est seule dans sa chambre, devant sa table, entourée par les photograpies de son fiancé, elle ouvre le petit paquet de Daniel Esperanza.

La première chose qu'elle regarde, c'est aussi une photo, format carte postale, couleur sépia comme on en fait, qui a été prise dans une tranchée semblable à des dizaines qu'elle a vu dans le miroir ou l'illustration. Il y a sept hommes en tout sur l'image : cinq assis, la tête nue et les bras dans le dos, un debout sous un casque, l'air plutôt fier de lui, et un dernier de profil perdu, à l'avant-plan, qui fume sa pipe.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-12-04T17:52:40+01:00

Il y avait des dizaines et des dizaines de visages, tous alignés du même côté dans les boyaux étroits, et des yeux cernés de boue fixaient au passage les cinq soldats épuisés qui tiraient tout le poids de leur corps en avant pour marcher, pour aller plus loin vers les premières lignes. Sous les casques, dans la lumière du soir par-delà les arbres tronqués, contre les murs de terre perverse, des regards muets dans des cernes de boue qui suivaient un instant, de proche en proche, les cinq soldats aux bras liés avec de la corde.

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Elle en avait dix-sept quand on lui a dit qu'il était perdu. Elle a pleuré beaucoup, parce que le désespoir est femme, mais pas plus qu'il n'en fallait, parce que l'obstination l'est aussi.

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Il était une fois cinq soldats français qui faisaient la guerre, parce que les choses sont ainsi.

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Et elle se dit que si le fil ne la ramène pas à son amant, tant pis, c'est pas grave, elle pourra toujours se pendre avec.

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