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Un milliardaire pour patron



Description ajoutée par Underworld 2018-09-10T23:25:26+02:00

Résumé

Pour la première fois, Emily est amoureuse. Follement amoureuse. Hélas, l'homme de son coeur n'est autre que son patron, Sebastian Armstrong, un milliardaire qui ne s'intéressera jamais à elle puisqu'il semble n'apprécier que la compagnie de top models toutes plus éblouissantes les unes que les autres... Pour ne pas souffrir davantage, Emily décide donc de démissionner de son poste de gouvernante. Mais, à sa grande surprise, Sebastian lui propose alors de l'épouser...

* * *

Description en VO :

A RUTHLESS BEDDING, A PROMISED WEDDING ...

Australian billionaire Sebastian Armstrong thinks he knows his housekeeper well. Emily's prim, proper and dedicated to her job. Outside she's a plain Jane, but inside she's a passionate woman desperate to break out --- and to forget that she's fallen in love with her handsome boss.

When Emily quits, Sebastian refuses to let her go. Instead he devises a ruthless plan designed to keep Emily by his side, at his bidding and in his bed!

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Classement en biblio - 28 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Underworld 2020-10-19T04:26:49+02:00

** Extrait offert par Miranda Lee **

1.

Aéroport de Sydney. Un vendredi de mars. 20 heures.

— Au revoir, monsieur Armstrong, et merci d’avoir voyagé sur nos lignes, susurra l’hôtesse à Sebastian comme il sortait de l’avion par l’issue des premières classes.

Avec un bref signe de tête, Sebastian s’engouffra d’un bon pas dans la passerelle, pressé de rejoindre la station de taxis. Heureusement, il n’avait emporté qu’un sac de cabine et n’avait pas de bagages à récupérer.

Dehors, la chaleur était saisissante, comparée à l’atmosphère climatisée de l’aérogare, et Sebastian se réjouit de trouver presque aussitôt un taxi. Il pensa appeler Emily pour l’informer de son arrivée prématurée, mais il en abandonna vite l’idée. Il n’avait pas besoin qu’elle lui prépare à dîner… Et puis, il n’était pas d’humeur à bavarder.

Sebastian n’avait qu’une envie, se retrouver chez lui.

* * *

D’une main tremblante, Emily sortit sa lettre de démission de l’imprimante de l’ordinateur et la relut.

Elle consistait en quelques phrases simples. Pourtant, il lui avait fallu plus d’une heure pour la rédiger.

La jeune femme en avait terminé à présent. Sa décision était prise.

« Et c’est la bonne décision. La seule possible », se dit-elle tout haut en posant l’enveloppe contre le pot à crayons.

Car comment continuer à travailler comme gouvernante pour Sebastian, maintenant qu’elle se savait amoureuse de lui ?

Quand il rentrerait, le lendemain matin, elle lui remettrait sa démission et, le lundi suivant, à la première heure, elle appellerait l’agence de placement pour l’informer qu’elle acceptait l’emploi qu’on lui avait proposé dans l’après-midi.

En vérité, Emily avait été surprise de décrocher un tel poste après un unique entretien : assistante de direction dans un tout nouveau Palais des Congrès, au cœur du prestigieux port Darling de Sydney. Aussi, quand l’agence l’avait appelée vers 17 heures, avait-elle demandé qu’on lui accorde le week-end pour réfléchir.

Mais il ne lui avait pas fallu si longtemps. Au bout d’une ou deux heures d’introspection, durant lesquelles elle s’était efforcée d’écouter sa raison plutôt que les penchants extravagants de son cœur, sa décision était prise.

Bien sûr, le fait que Sebastian soit absent l’avait aidée. Mais, maintenant, elle appréhendait quelque peu le retour de son employeur.

Car il ne serait pas content d’apprendre son départ. Pas content du tout.

Elle savait que Sebastian l’aimait bien. Il n’en faisait pas mystère, et c’était justement ce qui rendait la situation si difficile à Emily. Son cœur se serra au souvenir de toutes les soirées qu’ils avaient passées ensemble. Maintes fois, en effet, il l’avait invitée à partager sa table ou à boire un verre avec lui. Manifestement, il appréciait sa compagnie.

« Mais pas autant que tu apprécies la sienne, lui rappela avec à propos une petite voix intérieure. Ce qu’il aime le plus en toi, ma chère, c’est l’efficacité avec laquelle tu tiens sa maison ! »

Sebastian était un patron exigeant. Ses employés devaient faire ce qu’il voulait, quand il le voulait et comme il le voulait. Lorsque sa secrétaire particulière, qu’il tenait en haute estime, lui avait présenté sa démission, un an plus tôt, Sebastian avait tout fait pour la retenir. Il lui avait proposé une augmentation, de meilleures conditions de travail et même un changement de titre.

En vain. Elle était quand même partie, le rendant d’une humeur exécrable pendant des jours et des jours.

Emily frémit en imaginant la réaction qu’il aurait lorsqu’elle-même lui présenterait sa démission.

Sans doute se verrait-elle proposer une augmentation de salaire.

Toutefois, cela ne changerait rien à sa décision.

Quant à améliorer les conditions de travail, c’était impossible, se dit Emily en promenant un regard dans sa chambre superbement meublée. A lui seul, le bureau de bois de rose où elle était assise était une pure merveille, et elle dormait dans un lit d’acajou à baldaquin ayant appartenu à une princesse espagnole. Le reste de son petit appartement de fonction était à l’avenant, décoré de meubles anciens, tous plus charmants les uns que les autres, avec çà et là des touches discrètes et raffinées qui auraient séduit la plus exigeante des femmes. Autre avantage qu’appréciait Emily, son logement se situait au-dessus des garages, dans un bâtiment distinct de la maison, ce qui lui garantissait une totale indépendance.

Un soupir souleva sa poitrine. Elle regretterait ce cadre de vie, assurément.

Mais pas assez pour que cet argument la décide à rester.

Quant à lui offrir un titre différent…

Il n’y avait guère d’autres façons de qualifier une gouvernante.

Fée du logis, peut-être ? se dit-elle avec ironie.

Le son joyeux d’un carillon dans le salon voisin la tira de ses rêveries. 20 heures. Il était temps d’aller vérifier portes et fenêtres dans la maison, une tâche dont elle s’acquittait toujours à cette heure-là en l’absence de Sebastian. Elle ne pouvait passer la soirée l’esprit tranquille qu’après s’être assurée que tout allait bien.

S’étant saisie de son trousseau de clés sur le bureau, elle poussa la porte de l’appartement et s’étonna qu’il fasse encore aussi chaud dehors, malgré la nuit tombée. Manifestement, le rafraîchissement annoncé par la météo n’était pas encore d’actualité.

Emily resta un moment sur le pas de la porte pour contempler la maison de Sebastian. Dire que c’était peut-être la dernière fois qu’elle avait ce spectacle sous les yeux…

Et quel spectacle ! La maison était vraiment superbe. En fait, il s’agissait plutôt d’un manoir. Tout en pierre de taille, il se dressait sur un vaste terrain en surplomb de la rivière Parramatta, dans la péninsule de Hunters Hill. Sa construction datait de 1880. Quand Sebastian l’avait achetée, quelques années plus tôt, la bâtisse était un peu délabrée. Il l’avait entièrement restaurée, meublée et décorée avec goût de ravissantes antiquités et agrémentée d’une véranda, ainsi que d’une piscine chauffée.

A l’étage, il y avait quatre grandes chambres et trois salles de bains, dont une réservée à la chambre principale. Au rez-de-chaussée, toutes les pièces disposaient d’une porte-fenêtre ouvrant sur une galerie agréablement ombragée. Dans l’entrée, à gauche, une salle de réception majestueuse communiquait avec la salle à manger, qui donnait elle-même sous la véranda, un espace très lumineux meublé avec plus de simplicité. A droite, dans l’entrée, on trouvait d’abord une salle de billard, puis, à la suite, le bureau de Sebastian, qui faisait également office de bibliothèque, et enfin la cuisine et la buanderie.

A l’arrière de la maison, en plein soleil, une large terrasse dallée offrait un cadre idéal pour la piscine. Le bassin était abrité des regards sur un côté par une rangée de cyprès, qui servait aussi de brise-vent. A l’opposé, un peu en retrait de la maison, se dressaient les garages avec, au-dessus, le logement d’Emily, auquel on accédait par un escalier extérieur accolé au bâtiment. C’est là que s’était arrêtée quelques instants la jeune femme, sur un petit palier en haut des marches.

Au-delà de la piscine, les pelouses du jardin descendaient en pente douce vers la rivière jusqu’à un appontement et un hangar à bateaux. Le lit du fleuve s’élargissait à cet endroit. Au loin, juste en face de la propriété de Sebastian, l’arche du pont de Gladesville dessinait une magnifique toile de fond à ce qui constituait déjà, en soi, un panorama admirable. A cette heure, le pont et la ville au-delà scintillaient de mille feux, créant une atmosphère des plus romantiques.

Emily était tombée sous le charme du lieu dès le premier jour.

Il lui avait fallu plus longtemps pour tomber amoureuse de Sebastian, songea-t-elle tout en commençant à descendre l’escalier. D’ailleurs, elle n’avait pris conscience de ce penchant pour son patron que lorsqu’il lui avait annoncé, un mois plus tôt, que lui et sa petite amie avaient rompu. Celle-ci, top model célèbre, le quittait pour épouser un comte italien rencontré lors d’un défilé de mode à Milan.

La joie que lui avait procuré cette nouvelle avait sonné le glas de sa tranquillité… Emily avait soudain âprement regretté d’avoir dû, sinon s’enlaidir, du moins ne pas se mettre en valeur pour pouvoir décrocher le poste de gouvernante de Sebastian Armstrong. A l’époque, il lui fallait absolument un emploi, et on l’avait prévenue : le célibataire le plus convoité de toute l’Australie, magnat de la téléphonie mobile, n’engagerait pas une jolie blonde de trente-trois ans au physique aguichant.

Cela faisait plusieurs semaines que Sebastian recherchait la gouvernante idéale, et les multiples candidates qui s’étaient présentées n’avaient pas retenu sa faveur. Beaucoup trop sexy et sophistiquées à son goût.

Emily s’était donc vieillie de deux ans. Elle avait reteint ses cheveux dans leur châtain naturel, mis des lunettes et dissimulé ses formes dans des vêtements de coupe large. La ruse avait payé ! C’était elle qu’on avait retenue.

Elle avait réussi à se débarrasser des lunettes au bout de quelques semaines, sous prétexte de suivre le conseil de Sebastian, qui l’encourageait à corriger sa myopie par un traitement au laser. Mais elle avait gardé ses cheveux dans leur teinte châtain, sagement coiffés en arrière, et continué d’arborer des tenues discrètes et sans éclat.

Jusqu’à cette semaine.

Impossible, en effet, d’espérer trouver un emploi dans le monde de l’entreprise avec un tel look. Aussi s’était-elle acheté, pour l’entretien d’embauche, un petit ensemble blanc près du corps, agrémenté d’un caraco de soie noir. Et, grâce à un savant Brushing chez le coiffeur, ses cheveux mi-longs avaient recouvré tout leur charme.

Sebastian aurait eu peine à la reconnaître.

Peut-être que, si elle…

— Mais non, se dit Emily à haute voix en suivant l’allée qui longeait la piscine en direction de la maison. Il ne te regardera jamais autrement que comme sa gouvernante, quoi que tu fasses. Inutile de prendre cette peine.

La jeune femme éloigna vaillamment Sebastian de son esprit… jusqu’à ce qu’elle arrive dans sa chambre à l’étage. Difficile de ne pas penser à la vie amoureuse de son patron dans ce cadre où flottait encore le parfum de celle qu’il était parti rejoindre.

Depuis qu’Emily travaillait pour Sebastian, il n’avait eu qu’une femme dans sa vie : Lana Campbell. A vingt-huit ans, au sommet de sa carrière de mannequin, Lana était très sollicitée pour les défilés de mode, surtout en Italie. C’était une vraie rousse aux formes pleines et sculpturales, que les Italiens, peu amateurs de mannequins filiformes, s’arrachaient. Sans être belle à proprement parler, Lana possédait un charme certain, avec ses grands yeux verts en amande et sa bouche sensuelle. En plus, elle était dotée d’une extrême intelligence, d’un esprit vif qui virait facilement au sarcasme si elle ne vous aimait pas.

Or, pour quelque mystérieuse raison, elle n’aimait pas Emily. Mais elle était assez futée pour ne pas le montrer en présence de Sebastian.

Et Lana avait du caractère. Durant les semaines précédant la rupture, Emily l’avait souvent entendue exprimer très bruyamment ses griefs à Sebastian.

Il ne l’aimait pas, lui avait-elle notamment reproché un jour. Sinon il l’épouserait ou, du moins, accepterait qu’elle vienne vivre avec lui.

Il n’y était pas disposé. De même qu’il détestait ses coups d’éclat.

Sebastian n’était pas homme à élever la voix. Il avait d’autres façons d’exprimer son mécontentement. Quand Lana lui faisait une scène, il la fixait d’un œil glacial, puis tournait les talons, ce qui avait le don de la faire sortir de ses gonds.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par Catherine-113 2020-08-24T03:13:07+02:00
Lu aussi

Cela démarrait bien, des personnages plus âgés que dans les romances habituelles. Mais un côté très mièvre s'est mis en place rapidement.

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Commentaire ajouté par Arendelle 2017-01-13T11:00:49+01:00
Bronze

La petite employée de maison irrésistiblement attirée par son milliardaire et sexy patron. Le personnage féminin a quand même toujours cette tendance à finir "guimauve" dès que l'homme sexy et ténébreux la frôle. Mais elle a quand même son petit caractère.

Somme toute, une histoire rondement menée.

Petit plus à mon sens : un petit paragraphe final, après retrouvailles et promesses qui clôt bien l'histoire en expliquant succinctement le "et après".

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Dates de sortie

Un milliardaire pour patron

  • France : 2009-01-01 - Poche (Français)
  • France : 2020-04-01 (Français)

Activité récente

Becky39 l'ajoute dans sa biblio or
2019-06-07T02:07:09+02:00
Drahlan l'ajoute dans sa biblio or
2016-12-31T10:05:07+01:00

Titres alternatifs

  • The Ruthless Marriage Proposal - Anglais
  • Proposta impiedosa - Portugais
  • 冷酷な求婚 - Japonais
  • Overweldigend voorstel - Néerlandais
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