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Liste des extraits

La peste, telle une marée montante, submergeait tout sur son passage ; rien ne lui résistait.

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Les médecins italiens, semble-t-il, considèrent que la peste se diffuse par voie aérienne. Qu'on peut l'attraper en regardant les malades, en les touchant ou en respirant leur haleine. Je ne vois pas très bien comment ...

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Ne vous inquiétez pas, mère ! On ne condamnera pas un seigneur sur la foi des dires d'un serf.

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Une mare de sang maculait l'autel. Une véritable inondation pour une gamine aussi petite, se dit Ralph et, sur cette considération gardée par-devers lui, il lança à sa troupe : "C'est bon, les gars. Nous en avons fini ici !"

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Les scrupules sont bons pour les privilégiés. Pour nous qui sommes nés pauvres, notre seul salut est dans la ruse.

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Les Arabes considèrent qu’une œuvre d’art doit toujours avoir un petit défaut quelque part. Pour ne pas concurrencer la perfection divine, ce qui serait un sacrilège.

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Vous êtes jeune, frère Godwyn. Avec le temps, vous apprendrez que les puissants ne montrent jamais de gratitude et acceptent comme un dû celle que nous leur manifestons.

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Elle ne voulait pas des contraintes dont s’accompagnait le mariage : elle ne voulait pas d’un seigneur et maître, elle voulait un amant ; elle ne voulait pas consacrer sa vie à un homme, mais vivre à ses côtés.

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« L’amertume de Merthin la bouleversait et elle fondit en larmes, torturée par le regret.

Il ne se laissa pas attendrir. « Je ne gâcherai pas ma vie à t’aimer plus longtemps. Ou tu quittes le couvent maintenant, ou tu y restes jusqu’à la fin de tes jours. »

Caris eut l’impression d’avoir été poignardée en plein cœur.

Battant le rappel de ses forces, elle le regarda en face. « Je ne t’oublierai pas, Merthin. Je t’aimerai toujours.

— Mais pas assez. »

Elle garda le silence un long moment. Il avait tort. Le problème n’était pas que son amour n’était pas assez ardent, mais que cet amour l’enfermait dans une situation insoluble. Comment le lui expliquer ?

« Tu le crois vraiment ? lui demanda-t-elle.

— Ça me paraît évident, non ? »

Elle acquiesça d’un signe de tête, sachant qu’elle ne le persuaderait pas du contraire. « Je suis au désespoir, dit-elle. De toute ma vie, je n’ai jamais eu à prendre de décision aussi douloureuse.

— Je suis tout aussi désolé. » Sur ces mots, il tourna les talons. 

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La peur les anime, expliqua-t-il. La peur du déshonneur. Plutôt mourir que quitter le champ de bataille sans coup férir ! La honte serait impardonnable. 

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