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Liste des extraits

❝ Chacune de ces oeuvres relatait une histoire, un enseignement, chacune étaient une voix qui criait, chuchotait, chantait un instant ou une émotion, un cri lancé dans l’infini du temps pour signaler une présence au monde. Ceux-là, je les comprenais, car ils voyaient le monde en formes et en couleurs. ❞

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❝ — Vous ne savez pas écrire, mais vous avez appris à chasser et à survivre. Pourquoi ? demande-t-il.

Je m’arrêtai, une main posée sur l’encadrement de la porte.

— C’est ce qui arrive quand on est responsable d’autrui, n’est-ce pas ? répondis-je. On fait ce qui doit être fait. ❞

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Je me déplaçai lentement pour déchiffrer toutes ces traces. Le combat avait dû être acharné. Le verre brisé et les empreintes venaient aussi bien de l'avant que de l'arrière du palais, comme s'il avait été encerclé. Les intrus avaient été contraints de forcer l'entrée et ils avaient fait voler en éclats les portes donnant sur le jardin.

Pas de cadavres, me répétais-je. Et relativement peu de sang. Ils devaient donc être vivants. Tamlin devait l'être...

Car s'il était mort...

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Même si le mal se répend dans la Cour du Printemps et même s’il doit me détruire, je reviendrai. Il écarta mes che-veux de mon visage, mais je repoussai sa main.–Je suppose que tout sera plus facile si je m’en vais, repris-je en détournant les yeux. Ça vous retirera une épine du pied.–Une épine? répéta-t-il, perplexe.–Je voulais dire que ça fera une difficulté en moins, et cette difficulté, c’est moi, expliquai-je. Je suis difficile, agaçante, toute en épines...Il se pencha vers moi et m’embrassa avec douceur.–Non, tu ne partiras pas pour toujours, dit-il enfin, les lèvres contre les miennes.Je savais que c’était un mensonge, mais je passai les bras autour de son cou et l’embrassai. Il m’attira sur ses genoux et me serra contre lui tandis que ses lèvres pressaient les miennes. Chaque millimètre de mon corps s’affola sous son baiser.Je poussai Tamlin sur le lit, m’assis à califourchon sur lui, le bloquant sous mon corps comme si cela pouvait me retenir ici et arrêter la course du temps.Ses mains sur mes hanches me brûlaient à travers la soie légère de ma chemise de nuit. Mes cheveux tom-bèrent comme un rideau sur nos visages. Je ne pouvais l’embrasser assez vite, ni avec assez de passion, sous la vague de désir qui me submergeait. Il gronda doucement, me renversa avec adresse, s’étendit sur moi et embrassa mon cou.L’univers se réduisit à la sensation de ses lèvres sur ma peau. Je me cambrai quand il embrassa l’endroit qu’il avait mordu lors de Calanmai et plongeai les doigts dans ses cheveux en savourant leur douceur soyeuse. Ses mains descendirent le long de mes hanches et s’arrêtèrent à 317 la limite de ma chemise de nuit. Elle était retroussée au-dessus de ma taille, mais je m’en moquais. Je l’enlaçai de mes jambes nues et mes pieds caressèrent les muscles durs de ses mollets.Il murmura mon nom, les lèvres contre ma poitrine, tandis que l’une de ses mains descendait le long de ma gorge, puis il m’embrassa.Son baiser fut plus long cette fois-ci, et plus doux. Son autre main glissa sous ma chemise, descendit au-dessous de ma taille et je retins mon souffle.Il hésita et sa main s’immobilisa, mais je mordis sa lèvre, comme pour l’autoriser silencieusement à continuer. De l’une de ses longues griffes, il déchira la soie et la dentelle de ma chemise, qui se retrouva en lambeaux. Sa griffe se rétracta et son baiser se fit plus pressant pen-dant que ses doigts se glissaient entre mes cuisses. Je me pressai contre sa main et chuchotai son nom, les lèvres contre sa peau.Il s’immobilisa de nouveau, retira sa main, mais je le saisis et l’attirai sur moi. Je le voulais sans plus attendre, je voulais que les barrières de nos vêtements tombent.–Ne t’arrête pas.–Je..., commença-t-il, oppressé, et il frémit. Si je continue, je ne pourrai plus me retenir.Je m’assis et il me regarda, le souffle court. Je soutins son regard et sentis ma respiration devenir plus régulière. J’ôtai ma chemise de nuit et la jetai à terre. Maintenant nue devant lui, je l’observai tandis que son regard des-cendait vers mes seins, mon ventre et entre mes cuisses. Une lueur de désir brilla dans ses yeux. Je repliai une jambe et la fit glisser sur le côté. Il poussa un grondement bas et, lentement, avec une intensité de prédateur, leva les yeux vers les miens.318Toute la force de son pouvoir se concentrait sur moi et je sentais l’orage qui couvait en lui, capable de m’empor-ter sans même déployer toute sa puissance. Mais je savais que je pouvais me fier à lui autant qu’à moi-même pour dompter cette force terrifiante.–Donne-toi complètement à moi, soufflai-je.Je déchirai ses vêtements pour les jeter à terre, puis le griffai, laissant mes marques sur son dos et ses bras. Ses griffes étaient sorties, mais d’une douceur infinie sur mes hanches. Je gémis son nom quand il me pénétra d’un mouvement lent et puissant qui me donna la sensation de voler en éclats autour de lui.Le temps n’existait plus et nous ne formions plus qu’un seul être, déchaîné et brûlant. Quand je me laissai empor-ter par le plaisir, il poussa un rugissement et se laissa aller en même temps que moi.Je m’étais endormie dans ses bras, et à mon réveil quelques heures plus tard, nous avions refait l’amour en prenant tout notre temps. Épuisés, haletants et en sueur, nous restâmes allongés et silencieux un long moment. Je respirais son odeur, un parfum de terre à la fraîcheur piquante. Je n’avais jamais réussi à le rendre sur la toile, à peindre la sensation et le goût de son corps, malgré mes nombreuses tentatives et toutes les couleurs que j’avais essayées.Tamlin dessinait nonchalamment des cercles sur mon ventre.–Nous devrions dormir maintenant, murmura-t-il. Tu feras un long voyage demain.–Demain?Sa bouche ne formait plus qu’une ligne serrée.–À l’aube, précisa-t-il.319

–Mais c’est...Il s’assit à son tour d’un mouvement fluide.–Je t’en prie, Feyre.Je me souvins qu’il s’était prosterné devant Rhysand pour moi. Il se glissa vers le bord du lit.–Où vas-tu? demandai-je.–Si je reste, tu ne pourras pas dormir, répondit-il en me regardant par-dessus son épaule.–Reste. Je te promets de ne plus laisser mes mains s’égarer, ajoutai-je, ce qui n’était qu’un mensonge grossier.À son léger sourire, je compris qu’il le savait aussi bien que moi, mais il se recoucha et me prit dans ses bras. Je passai un bras autour de sa taille et posai la tête dans le creux de son épaule.Il caressait lentement mes cheveux. Je ne voulais pas dormir, car je ne voulais pas perdre une minute avec lui, mais l’épuisement me terrassait. Je ne percevais plus que le contact de ses doigts sur mes cheveux et le bruit de sa respiration.J’allais partir. Maintenant que ce palais n’était plus seu-lement un refuge, que la consigne du suriel était devenue une bénédiction et que Tamlin était désormais bien plus qu’un protecteur, je devais partir. Des années s’écouleraient avant que je revoie cette demeure, avant que je respire à nouveau les parfums de cette roseraie et que je contemple ces yeux tachetés d’or. Mais ma maison était ici.Alors que je sombrais enfin dans le sommeil, je crus l’entendre parler, la bouche tout contre mon oreille.–Je t’aime, chuchota-t-il, et il embrassa mon front. Je t’aime avec tes épines et tout le reste.Quand je me réveillai, il était parti et j’étais certaine que tout cela n’avait été qu’un rêve.

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Je me sentais aussi légère que du duvet de pissenlit et il était comme le vent qui m’emportait à travers le monde.

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-Pourquoi me racontez-vous cela ?

-Parce que je suis las et seul, et que vous êtes l’unique personne à laquelle je puisse parler sans danger, répondit-il avec un rire étouffé. Quelle situation absurde : un Grand Seigneur de Prythian et une...

-Si vous n’êtes capable que de m’insulter, vous pouvez sortir.

-Mais je suis tellement doué pour ça... fit-il avec l’un de ses sourires sarcastiques.

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Je venais de mettre le doigt sur la souffrance intolérable qui m'aurait brisée si j'y avais pensé trop longtemps.

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– À côté de vos difficultés aux frontières et du mal qui mine votre magie, mes jérémiades sont ridicules, ajoutai-je au bout d’un moment, car Tamlin gardait le silence.

– Si cela vous fait souffrir, cela n’a rien de ridicule, dit-il avec une douceur qui m’apaisa.

– Pourquoi ? demandai-je sans détour, et je lançai la rose dans les buissons.

Il saisit mes mains. Ses doigts calleux, vigoureux et solides portèrent doucement ma main blessée à sa bouche et embrassèrent ma paume comme en réponse à ma question.

Je sentis la douceur de ses lèvres et la tiédeur de son souffle sur ma peau, et quand il porta mon autre main à sa bouche pour l’embrasser à son tour, mes genoux fléchirent. Il l’embrassait avec une ferveur qui allumait mon sang et me laissait brûlante de désir.

Quand il releva la tête, mon sang brillait sur sa bouche. Je regardai mes mains qu’il tenait encore et vis que les écorchures avaient disparu. Je contemplai ensuite son visage, son masque d’or, son hâle doré et « le rouge de ses lèvres tachées de sang.

– Ne regrettez jamais ce qui vous rend heureuse, murmura-t-il.

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The sky was an eddy of molten amethyst, sapphire, and ruby, all bleeding into a final pool of onyx.

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In our world where we’d forgotten the names of our gods, a promise was law ; a promise was currency ; a promise was your bond.

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