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« - J'avais oublié que l'esprit humain est aussi facile à briser qu'une coquille d'œuf, déclara Rhysand.

Il passa un doigt le long de ma gorge et je frémis, les yeux brûlants.

- Regarde comme elle est exquise, regarde les efforts qu'elle fait pour ne pas hurler de terreur, dit-il. Je serais bref, c'est promis.

Si j'avais gardé un semblant de contrôle sur mon corps, j'aurais peut-être vomi.

- Elle a les plus délicieuses pensées à ton égard, Tamlin, reprit-il. Elle s'est demandée ce qu'elle ressentirait au contact de tes doigts sur ses cuisses ... et entre elles, gloussa-t-il.

Alors même qu'il énoncait mes pensées les plus intimes et que je brûlais de honte et de rage, je tremblais sous l'emprise exercée sur mon esprit.

- Je suis curieux de savoir pourquoi elle s'est demandée si cela lui plairait que tu mordes sa poitrine comme tu l'as fait avec son cou. »

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Il me souriait toujours, d’un large sourire. Isaac ne m’avais jamais souri ainsi. Je n’avais jamais eu le souffle coupé à sa vue, ni rien éprouvé de comparable.

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Nous restâmes immobiles et silencieux au sommet de la colline jusqu’à ce que le soleil couchant teinte d’or le palais, les collines, tout le paysage, et que Lucien nous appelle pour le dîner.

Alors je me dégageai et embrassai doucement Tamlin. Demain… il y aurait un lendemain, et l’éternité pour affronter ce que j’avais fait et ce que j’avais détruit en moi Sousla Montagne. Mais pour l’instant… pour ce soir-là seulement…

– Rentrons, dis-je à Tamlin en prenant sa main

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" Je n'avais pas pris le temps de regarder autour de moi la veille, mais à présent, dans ce couloir désert où personne ne pouvait me voir... un fouillis de couleurs et de matières sur un fond sombre et sinistre me retient et je m'arrêtai, fascinée, devant le tableau.

Je n'avais encore jamais rien vu de semblable.

Ce n'est qu'une nature morte, objecta une partie de moi-même. C'était en effet un vase vert contenant une brassée de fleurs, corolles et feuilles de toutes formes et de toutes tailles, roses, tulipes, volubilis, verges d'or, cheveux de Vénus, pivoines...

Je songeais à l'habilité qu'il avait fallu pour leur donner une telle apparence de vie, et même plus qu'une simple apparence... Les fleurs semblaient vibrer de toute leur luminosité, comme si elles défiaient les ombres qui les cernaient. Et le talent de l'artiste qui avait rendu les jeux de lumière sur le verre et sa réfraction dans l'eau, comme si le vase irradiait cette lumière."

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J observais ses mains couvertes de cicatrices et d engelures.

Avez-vous déjà rencontré une autre espèce d immortel ? demandai-je.

Son regard se ferma. Je ne crois pas que vous aimeriez connaître la réponse à cette question si vous voulez garder votre petit déjeuner, fit-elle.

Je me sentais déjà nauséeuse nauséeuse et fébrile. Quelles créatures peuvent être plus dangereuses que les martax ? interrogeai-je.

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– Vous autres humains êtes si misérablement lâches que si vous aviez su qui était Andras, vous vous seriez probablement pissé dessus en attendant de périr sous sa dent, lança-t-il.

Insupportable arrogance d’immortel… Lucien poussa un soupir en m’examinant de la tête aux pieds.

– Vous arrive-t-il de perdre cet air sérieux et sinistre ? demanda-t-il.

– Vous arrive-t-il de ne pas vous conduire comme un sale petit crétin ? Ripostai-je.

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❝ Assez beau, réservé, avec une voix douce, il cachait sous cette apparence avenante un caractère farouche à l’origine de notre attirance mutuelle, car nous nous savions tous les deux condamnés à une existence misérable. ❞

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❝ Il m’avait proposé de m’en acheter un, mais j’avais refusé, car cela m’aurait paru trop intime, comme un rappel constant de ce que nous étions et n’étions pas l’un pour l’autre. ❞

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I glanced at Tamlin, biting my lip. I’d practically floated into my bedroom that morning. But Tamlin’s gaze now roved my face as if searching for any tinge of regret, of fear. Ridiculous.

“You bit my neck on Fire Night,” I said under my breath. “If I can face you after that, a few kisses are nothing.”

He braced his forearms on the table as he leaned closer to me. “Nothing?” His eyes flicked to my lips. Lucien shifted in his seat, muttering to the Cauldron to spare him, but I ignored him.

“Nothing,” I repeated a bit distantly, watching Tamlin’s mouth move, so keenly aware of every movement he made, resenting the table between us. I could almost feel the warmth of his breath.

“Are you sure?” he murmured, intent and hungry enough that I was glad I was sitting. He could have had me right there, on top of that table. I wanted his broad hands running over my bare skin, wanted his teeth scraping against my neck, wanted his mouth all over me.

“I’m trying to eat,” Lucien said.

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“You look … refreshed,” Lucien observed with a glance at Tamlin. I shrugged. “Sleep well?”

“Like a babe.” I smiled at him and took another bite of food, and felt Lucien’s eyes travel inexorably to my neck.

“What is that bruise?” Lucien demanded.

I pointed with my fork to Tamlin. “Ask him. He did it.”

Lucien looked from Tamlin to me and then back again. “Why does Feyre have a bruise on her neck from you?” he asked with no small amount of amusement.

“I bit her,” Tamlin said, not pausing as he cut his steak. “We ran into each other in the hall after the Rite.”

I straightened in my chair.

“She seems to have a death wish,” he went on, cutting his meat. The claws stayed retracted but pushed against the skin above his knuckles. My throat closed up. Oh, he was mad—furious at my foolishness for leaving my room—but somehow managed to keep his anger on a tight, tight leash. “So, if Feyre can’t be bothered to listen to orders, then I can’t be held accountable for the consequences.”

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