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Dans son égoïsme atroce, l'amour qui souffre n'a pas plus de pitié pour qui souffre comme lui que les pestiférés n'ont de pitié les uns pour les autres.
"Le bon Dieu ! où est-il le bon Dieu ? Ah ! je le méprisais déjà comme une idée fausse, mais, s'il pouvait exister - à présent je le haïrais comme un bourreau ! ... "
L’amour naît d’une seule chose, mais il se compose de toutes. Il ressemble à ces cheveux si fins qui, lorsqu’on les prend un à un, sont impalpables et incolores, et, lorsqu’on les réunit, font une chevelure brillante, compacte et si solide, que c’était par là qu’autrefois on liait les captives au char des vainqueurs.