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The Notorious Greeks, Tome 2 : Un si délicieux chantage



Description ajoutée par Underworld 2017-03-13T20:19:24+01:00

Résumé

Des hommes puissants prêts à tout pour obtenir ce qu’ils désirent…

Delilah peine encore à croire au scandaleux chantage que lui impose l’odieux Bastien Zikos : si elle veut éviter qu’il ne vende son entreprise familiale à un promoteur immobilier, elle devra devenir sa maîtresse… Comment ose-t-il ? Cet homme n’a-t-il donc aucune limite ? Révoltée à l’idée d’être traitée comme une vulgaire marchandise, Delilah n’a qu’un souhait : refuser ce marché abject. Mais comment le pourrait-elle alors que l’avenir de sa famille est en jeu, et que le charme de cet homme d’affaires intraitable la trouble au plus haut point, malgré ce qu’elle tente de lui faire croire ?

* * *

Description en VO :

"I always get what I want…and I want you."

Making billions and bedding beautiful women couldn't make Bastien Zikos forget the lustrous dark hair, haunting eyes and outrageous defiance of Delilah Moore.

So Bastien has gone to great lengths to ensure that the one—and only—woman to have ever turned him down returns to him. If Delilah wants to save her father's ailing business, she must agree to Bastien's commands: be his mistress, wear his diamonds and wait for him in his bed!

But what will this exacting tycoon do when he discovers that his sassy mistress is a virgin?

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Classement en biblio - 17 lecteurs

extrait

** Extrait offert par Lynne Graham **

1.

— C’est fini, Reba, déclara Bastien d’un ton sans appel.

La superbe blonde à laquelle il s’adressait lui lança un regard de reproche peiné.

— Mais nous étions pourtant bien ensemble !

— Je ne t’ai jamais menti sur la nature de cette relation, répondit-il sans même chercher à masquer son impatience. Pour moi, il s’agissait de sexe, uniquement de sexe. Maintenant, il est temps de tourner la page.

Reba esquissa une grimace, comme si elle s’efforçait de retenir ses larmes. Bastien ne s’y trompait pas : la seule chose susceptible de la faire pleurer aurait été d’omettre de lui verser la compensation financière qui accompagnait la rupture. Cette fille n’avait rien d’une romantique. Lui non plus d’ailleurs. Avec les femmes, il préférait adopter une attitude froide et distante ; c’était le seul moyen de ne pas avoir d’ennuis par la suite. Sa mère, une comédienne-née, avait été la première à lui apprendre, par son exemple pathétique, à mépriser les personnes considérées, à tort, comme appartenant au sexe faible.

— Tu en as déjà assez de moi ? gémit Reba. J’aurais dû m’y attendre. On m’avait prévenue que tu te lassais très vite.

Bastien refréna à grand-peine l’agacement qui montait en lui. De quoi se plaignait-elle ? Ses talents au lit lui avaient déjà rapporté une petite fortune en bijoux, car il avait toujours tenu à couvrir de cadeaux ses maîtresses. La gratuité n’apportait rien de bon, même lorsqu’il s’agissait de la vie privée.

— Mon comptable te contactera dans les prochains jours, dit-il sèchement.

— Il y a quelqu’un d’autre, c’est ça ?

— Cela ne te regarde pas.

Il jeta un coup d’œil glacial à la jeune femme, avant de tourner les talons et de rejoindre son chauffeur qui l’attendait en bas de l’immeuble pour le conduire à l’aéroport. Un sourire étira ses traits tendus. Quelqu’un d’autre ? Peut-être… ou peut-être pas.

Tout dépendrait de la suite des événements.

* * *

Son directeur financier était déjà assis, ceinture bouclée, dans la luxueuse cabine du jet privé de Bastien lorsque celui-ci y pénétra.

— Puis-je te demander quel attrait irrésistible et secret tu trouves à cette ville morne du nord et à cette entreprise de composants électroniques tout aussi terne que tu viens d’acquérir ? demanda Richard.

— Tu peux toujours poser la question, mais je ne te promets pas d’y répondre, rétorqua Bastien.

Il s’installa et ouvrit son ordinateur portable, sur l’écran duquel s’affichèrent les dernières cotations boursières.

— Qu’y a-t-il de si spécial chez Moore Components qui m’aurait échappé ? insista le quadragénaire guetté par l’embonpoint. Un brevet ? Une invention révolutionnaire ?

Bastien gratifia Richard d’un regard moqueur.

— Les terrains de l’usine valent des millions de livres sterling, et la proximité du centre-ville ne manquera pas d’exciter les promoteurs immobiliers.

— Cela fait des années que tu ne t’intéresses plus à ce genre de transactions, lui objecta son collaborateur, tandis que les assistants et l’équipe de sécurité prenaient place à l’arrière de la cabine.

Il avait raison. Bastien s’était spécialisé dans le rachat d’entreprises en difficulté. Il les remettait sur pied et les revendait ensuite, en réalisant au passage un bénéfice colossal. Certains le taxaient de requin du capitalisme, mais il s’en moquait éperdument. Il n’avait aucun état d’âme à licencier du personnel pour améliorer les bilans. Dans le monde sans pitié des affaires, il n’y avait pas de place pour l’altruisme ou l’échec. Une seule chose comptait : la rentabilité. Les fortunes se faisaient et se défaisaient parfois du jour au lendemain, conformément à la sacro-sainte loi du plus fort.

Une loi qui convenait parfaitement à Bastien. Il n’avait pas son pareil pour flairer les opportunités, les saisir et engranger des millions qui venaient grossir un patrimoine déjà considérable. Doué d’une volonté de fer et d’une énergie à l’avenant, il s’était hissé à la force du poignet, sans l’aide de quiconque — et surtout pas celle de sa famille —, dans les plus hautes sphères du business international, et il avait la ferme intention de se maintenir au sommet. Tant pis pour les dommages collatéraux que ses décisions provoquaient à l’occasion.

En l’occurrence, les préoccupations de Bastien n’étaient néanmoins pas d’ordre purement professionnel. Son esprit avait dérivé vers un sujet, beaucoup plus personnel celui-là, qui portait le doux nom de Delilah Moore.

La seule femme qui ait repoussé ses avances.

Cette expérience inédite pour un don Juan de son acabit l’avait frustré au plus haut point ; depuis, la jeune femme occupait souvent ses pensées. Toutefois, l’heure de la revanche allait sans doute sonner sous peu. Il ne s’agissait pas uniquement de soigner un ego blessé, mais de réparer ce qu’il considérait comme une erreur. Car, il en avait la certitude, Delilah n’était pas restée insensible à son charme. Il l’avait remarqué au trouble fugace qu’avaient exprimé en sa présence ses magnifiques yeux bleus et à la tension de son corps frêle, qu’il mourait d’envie de serrer nu dans ses bras.

Il se sentait prêt à pardonner beaucoup à la belle Anglaise, mais certainement pas son entêtement à le rejeter. Elle n’avait pas hésité à lui lancer à la figure sa réputation de coureur de jupons, comme s’il s’agissait d’une injure suprême, avec un dédain qui l’avait rabaissé au rang de vulgaire dragueur.

Bien que deux ans se soient écoulés depuis leur entrevue houleuse, il n’avait oublié ni l’insulte ni l’assurance avec laquelle la fille du patron de Moore Components l’avait éconduit.

A présent, elle allait sans nul doute adopter un profil plus bas…

* * *

Inquiète, Lilah observait son père, prostré dans un fauteuil.

— Comment va-t-il ? demanda-t-elle à sa belle-mère.

— Il n’arrive pas à remonter la pente, répondit Vickie, tout en continuant de laver la vaisselle du petit déjeuner. Il est complètement déprimé. Cette entreprise, comme tu le sais, c’était son bébé. Il a travaillé dur pour la développer et aujourd’hui, il se reproche son manque de perspicacité. Mais comment aurait-il pu prévoir une faillite aussi rapide ? Et puis se retrouver au chômage à son âge l’angoisse au plus haut point. Surtout avec deux enfants en bas âge.

— La chance finira tôt ou tard par nous sourire de nouveau, affirma Lilah, avec plus de conviction qu’elle n’en éprouvait en réalité.

Elle se pencha pour ramasser le jouet que sa demi-sœur Clara, une adorable petite fille de deux ans, avait laissé tomber.

Lilah partait du principe que si la vie vous jouait un sale tour, il ne fallait pas baisser les bras, mais au contraire réagir et se concentrer sur la moindre raison de rester optimiste, aussi infime soit-elle. Son père avait peut-être perdu son usine et sa maison, mais la famille n’avait jamais été aussi soudée, et ils étaient tous en bonne santé, du moins physique.

Ce revers de fortune avait permis à Lilah de se rapprocher de sa belle-mère, une jolie blonde de trente-cinq ans aux formes pulpeuses, qu’elle avait pris, au début, pour l’une de ces croqueuses de diamants qui plaisaient tant à Robert Moore. Maintenant que lui, Vickie et leurs enfants vivaient sous son toit, elle pouvait mesurer son erreur. Sa belle-mère affrontait la situation avec un courage qui forçait l’admiration, et malgré les vingt ans de différence entre celle-ci et son père, le couple s’aimait sincèrement. Ils étaient mariés depuis quatre ans et Vickie avait donné à naissance à Ben, qui venait de fêter ses trois ans, puis à Clara.

La maison que louait Lilah se composait de deux chambres, d’un séjour de taille modeste et d’une cuisine encore plus exiguë. Ils y vivaient vraiment à l’étroit, mais jusqu’à présent, la cohabitation se passait plutôt bien. De toute façon, tant que son père n’aurait pas obtenu un logement de la mairie ou retrouvé du travail, il n’y avait pas d’autre choix que de s’en accommoder. L’imposante demeure que possédaient son père et Vickie avait été vendue, ainsi que tous leurs biens de valeur, afin d’assainir la situation financière de Moore Components. En vain.

— Je croise les doigts pour que Bastien Zikos fasse appel à ton père. Après tout, personne ne connaît mieux l’entreprise que lui, et je suis convaincue qu’il y a forcément un poste où ses compétences seraient utiles.

Lilah s’abstint de lui opposer qu’à son avis, le Grec préférerait à coup sûr se passer des services du fondateur de son nouveau joujou. D’autant que Zikos avait déjà proposé de racheter l’entreprise deux ans plus tôt.

Papa aurait dû sauter sur l’occasion, songea-t-elle avec une pointe d’amertume. A l’époque, les affaires marchaient bien et, malgré la générosité de l’offre du milliardaire, Robert n’avait pu se résoudre à vendre. L’échec était d’autant plus cuisant que Bastien Zikos avait prédit cette débâcle en constatant que le chiffre d’affaires de l’entreprise dépendait pour plus de la moitié d’un seul et même client.

— Nous verrons bien, se contenta-t-elle de répondre à Vickie.

Elle se pencha pour caresser son jeune teckel qui réclamait son attention. Depuis que sa famille s’était installée chez elle, Lilah avait un peu négligé Skippy. Il y avait un bon moment qu’elle ne l’avait pas emmené faire une longue balade, leurs promenades se limitant actuellement au tour du pâté de maisons.

Elle dut néanmoins écourter la séance de câlins car le temps pressait. Elle faisait partie des rares salariés encore employés chez Moore Components. Les administrateurs judiciaires avaient congédié la majeure partie du personnel, ne conservant que l’équipe des ressources humaines afin que les dossiers de licenciement soient bouclés dans les délais impartis. Sa mission se terminait dans deux jours ; ensuite, Lilah se retrouverait à son tour au chômage.

Elle enfila son imperméable et sortit en compagnie de Ben, qu’elle déposa comme tous les jours à la maternelle sur le chemin de l’usine.

* * *

En ce début de printemps soufflait un vent frais qui rabattait ses boucles brunes sur son visage. Heureusement qu’elle n’avait pas consacré trop de temps à se coiffer ! De toute façon, elle dormait peu depuis un mois, d’un sommeil agité, et se réveillait difficilement le matin, de sorte qu’elle disposait d’une heure à peine pour se préparer.

Ses insomnies avaient débuté à l’annonce de l’identité du repreneur de Moore Components. L’idée d’avoir affaire à Bastien Zikos créait en elle une sourde appréhension, qu’elle s’efforçait d’autant plus de cacher à son entourage que tout le monde semblait s’en réjouir. Les administrateurs judiciaires se félicitaient d’avoir trouvé un tel acquéreur dans un contexte aussi peu favorable. Pour leur part, son père, la municipalité et bon nombre de notables de la ville espéraient que le nouveau propriétaire investirait les capitaux suffisants pour remettre l’usine à flot et réembaucher le personnel licencié.

Seule Lilah, qui avait eu l’occasion d’entrevoir une facette bien moins séduisante de la personnalité du play-boy milliardaire, ne partageait pas les espoirs de la communauté locale.

Cet homme l’avait fortement impressionnée par son charisme, son autorité naturelle, mais aussi la dureté qu’elle avait perçue sous ses dehors charmeurs. Sa façon de mesurer l’autre du regard, de s’exprimer, d’imposer d’emblée son ascendant avait quelque chose d’intimidant. Sans oublier son physique d’Apollon, avec ses traits réguliers et virils, sa haute stature et son corps d’athlète. En résumé : trop parfait pour être honnête. Voilà pourquoi elle avait repoussé ses avances ; ce qui, curieusement, n’avait fait qu’aiguiser l’intérêt de Bastien Zikos à son égard.

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Si on oublie comment on en arrive là l’histoire passe. Tout est trop rapide mais j’ai vu tellement pire.

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Dates de sortie

The Notorious Greeks, Tome 2 : Un si délicieux chantage

  • France : 2017-04-01 - Poche (Français)
  • USA : 2015-08-18 - Poche (English)

Activité récente

Shawi l'ajoute dans sa biblio or
2017-04-03T12:18:44+02:00

Titres alternatifs

  • The Greek Commands His Mistress - Anglais
  • The Greek Commands His Mistress (The Notorious Greeks #2) - Anglais
  • Una lezione per Bastien - Italien
  • Una lezione per Bastien (Domatrici di cuori #2) - Italien
  • A las órdenes del griego - Espagnol
  • A las órdenes del griego (Amores en Grecia #2) - Espagnol

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