« Je jetai un coup d'oeoeil au compteur. On roulait à cent-quarante. On était dans le Bolide, à présent, lui et moi ; on s'élançait sur la ligne droite de la mort. »
Alors que sa mère vient d'être admise en urgence à l'hôpital, Alan part sans plus attendre sur les routes pour arriver à temps à son chevet. Mais parmi tous les chauffeurs sordides qui prendront l'étudiant en stop ce soir-là, l'un d'eux se révèlera particulièrement... diabolique.
Je l’aimais autant quand elle me frappait que lorsqu’elle m’embrassait. Comprenez-vous ? Moi, si. Et c’est très bien. Je ne crois pas qu’on puisse résumer une vie, expliquer une famille ; or nous étions une famille, elle et moi, la plus petite famille imaginable, une petite famille très unie de deux personnes, un secret partagé. J’aurais répondu que j’étais capable de tout pour elle, si on m’avait posé la question. Et c’était exactement ce qu’on me demandait de faire.
Celui qui mène le bal Dieu, ou tu l'appelleras comme tu voudras doit adorer s'amuser. mais cela ne peut se faire que dans des circonstances bien précises. Comme ce soir.
Toi, tout seul dans la nature, ta mère malade, besoin d'un moyen de transport. Dans moins de dix kilomètres, on va commencer à voir les premières maisons. Dans moins de quinze, on atteindra les limites de la ville. Ce qui signifie qu'il faut que tu te décides tout de suite.
- Que je décide quoi ?
Qui monte dans le Bolid' et qui reste à terre. Toi ou Ta mère.
Une nouvelle qui se lit rapidement. Au vu du scénario, je n'en attendais pas grand chose, si ce n'est de passer un bon moment.
J'ai été agréablement surpris par la tournure qu'à pris le scénario. Au delà de l'horreur lors de la découverte progressive du conducteur, la questions posé et ses conséquences sont inattendu et font réfléchir.
Alan Parker, 21 ans, est étudiant en première année à l'université du Maine. Il reçoit un coup de fil l'avisant que sa mère est victime d'un infarctus. Sa voiture étant en panne et ne disposant donc d'aucun moyen de se déplacer, il se précipite sur la route pour faire du stop.
Nouvelle très bien construite, qui ne laisse aucun répit. On devine bien entendu qu'il va se passer quelque chose avec l'un des conducteurs au moment où Hector va décider de voyager de cette manière. Et bien entendu, c'est ce qui se produit, puisqu'un étrange personnage exige de lui qu'il fasse un choix cornélien.
Le récit est court mais intense, l'ambiance pesante et oppressante à souhait.
Une petite nouvelle pour une thématique intéressante qui nous pousse à nous poser la question de ce qu’on ferait à la place du personnage face à cette lourde responsabilité!
Une nouvelle sympa, une question que l'on refuse de se poser, une fin que l'on attend pas, mais un peu décevante. Je renoue avec plaisir au style d'écriture de Stephen King que j'avais mis de côté durant de nombreuses années
C'est pas première fois que je ne suis pas pleinement satisfait après avoir terminé la lecture d'un livre de Stephen King... J'ai trouvé que tout était survolé, l'histoire beaucoup trop rapide... Mais c'est peut être le format de la nouvelle que je n'ai pas trop apprécier...
Je suis en tout cas resté sur ma faim avec ce livre, qui ne m'a pas transporter. Surtout vis-à-vis des autres livres du même auteur que j'ai pu lire, celui-ci ne m'a clairement pas faire flipper...
Un étudiant apprend que sa mère est à l'hôpital et fait du stop le soir pour aller la rejoindre à 150km.
Une courte lecture pour mon baptême de Stephen King. Je ne suis pas déçue par la forme de l'histoire ni par le style de l'auteur, juste un peu déconcertée par la chute. Au final on ne sait pas trop quoi penser de cette fin en demi-teinte qui rend l’événement ni franchement mauvais ni franchement bon. Je médite encore !
Résumé
« Je jetai un coup d'oeoeil au compteur. On roulait à cent-quarante. On était dans le Bolide, à présent, lui et moi ; on s'élançait sur la ligne droite de la mort. »
Alors que sa mère vient d'être admise en urgence à l'hôpital, Alan part sans plus attendre sur les routes pour arriver à temps à son chevet. Mais parmi tous les chauffeurs sordides qui prendront l'étudiant en stop ce soir-là, l'un d'eux se révèlera particulièrement... diabolique.
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