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Pendant qu’ils roulaient, Brunetti entrouvrit la fenêtre pour laisser un peu d’air (même s’il était brûlant) venir dissiper l’odeur de l’abattoir qui s’accrochait encore à ses vêtements. Comme la plupart des Italiens, Brunetti trouvait ridicule l’idée de devenir végétarien, n’y voyant que la dernière marotte en date des gens bien nourris ; aujourd’hui, cependant, il ne la trouvait pas sans attrait.

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Tout le monde parlait, tout le temps, de de la destruction imminente de la ville, ce qui n'empêchait pas le prix des appartements de doubler tous les deux ou trois ans et les loyers d'augmenter dans des proportions qui les mettaient hors de portée de la classe laborieuse.

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Le premier article parut dans l'édition du soir de La Notte, canard très porté sur les manchettes en rouges et les formules à l'indicatif présent.

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- Quand on a Spoiler(cliquez pour révéler)été sali de cette façon, commissaire, il en reste toujours quelque chose. Les gens aiment bien penser du mal des autres ; plus ils les trouvent ignobles, plus ils s'en réjouissent.

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Elle sourit. "C'est un jeune homme. Très bien habillé." Une telle remarque, venant de la part de la Signorina Ellettra, laquelle portait aujourd'hui un ensemble mauve fait d'une soie filée par des vers particulièrement talentueux, aurait-on dit, était un très grand compliment.

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"Houla, le superflic ! ironisa Paola en tendant la main vers une autre tomate, il voit des rondelles de tomates avec juste de quoi mettre une tranche de mozzarelle entre elles, il voit un bouquet de basilic tout frais dans un verre d'eau, à la gauche de sa délicieuse épouse, et juste à côté un bloc de mozzarelle, sur une assiette. Il fait le rapprochement entre tous ces éléments et, raisonnant à la vitesse de la lumière, en déduit qu'il y a de l'insalata caprese pour le dîner. Pas étonnant qu'un tel homme frappe de terreur la population criminelle de cette ville."

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Ils s'arrêtèrent à la hauteur de la porte et les souvenirs du passé se précipitèrent sur lui comme des Furies : des repas d'anthologie, pleins de rires et de chansons, le soprano clair de sa mère s'élevant au-dessus des autres voix; sa mère furieuse, hystérique, prise d'une crise de larmes quand il lui avait annoncé qu'il allait se marier avec Paola, puis venant le voir dans sa chambre le soir même pour lui remettre son bracelet d'or, seul cadeau qu'il lui restait du père de Guido, disant qu'il était pour Paola, car le bracelet devait traditionnellement appartenir à l'épouse du premier fils.

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La ville avait atteint un grand âge et Brunetti aimait ces traces de ses chagrins laissées sur son visage.

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Passe encore s'ils avaient eu des corps parfaits et des vêtements élégants. Mais le tissu avachi de leurs frusques et l'état encore plus avachi de nombre d'entre eux lui faisaient éprouver des envies pour la pudeur obligatoire des sociétés islamiques.

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Il était pâle, autant que si on avait été au cœur de l'hiver ; pas de vacances pour ceux qui peinent dans les vignobles de la loi.

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