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Commentaires de livres faits par Underworld

Extraits de livres par Underworld

Commentaires de livres appréciés par Underworld

Extraits de livres appréciés par Underworld

Malgré sa décision de ne pas céder à l’hystérie, son cœur s’emballa, mais elle cacha sa peur. Ce n’est qu’un homme, se raisonna-t-elle farouchement. Certes ! lui répondit son esprit. Un homme, mais aussi un Viking assoiffé de sang ! Avec des frissons dans le dos. Les larmes lui montèrent aux yeux. Non ! se gourmanda-t-elle. Tu ne t’écrouleras pas devant lui ! Si elle avait peur, c’était seulement pour Stefan, du moins était-ce ce qu’elle se disait en sentant le tremblement descendre le long de ses membres.
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– Vous n’avez aucune autorité ici, espèce de brute impie !
Une des femmes du groupe venait de le haranguer. Elle avait parlé d’une voix stridente, et la panique habitait son regard. Sourcils froncés, il baissa vers elle un regard fixe. Il était étrange qu’elle ait si exactement formulé le fond de sa propre pensée. La femme se replia dans l’ombre avec un petit couinement pitoyable. Tous ce gens avaient-ils peur de lui ? Eh bien soit ! Peut-être que cela lui permettrait de s’extraire plus vite d’ici. Il détestait tant les églises chrétiennes, avec leurs effigies déprimantes et leurs couloirs balayés de courants d’air.
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– C’est une femme qui va diriger la forteresse ? Et les hommes n’y voient rien à redire ?
– Je prendrai soin des habitants de Kald et assurerai leur sécurité. Nul besoin d’un appendice supplémentaire pour accomplir cette tâche, ne croyez-vous pas ?
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– Vous montez bien à cheval, Svea, dit-il d’une voix profonde et autoritaire. Je n’avais encore jamais vu une femme monter à califourchon. Les femmes montent généralement en amazone.
– Dans ce cas, vous n’avez encore jamais rencontré de vraies femmes, Lord Stanton.
– Je me rends compte à présent que vous avez de multiples talents. Vous montez à cheval, vous buvez, vous savez vous battre. Vous donnez même des ordres à vos hommes. Je suis impressionné.
– Je n’ai jamais eu l’intention de vous impressionner, répliqua-t-elle, les yeux écarquillés.
Avec lui, elle ne savait jamais sur quel pied danser. Lui adressait-il simplement des compliments ou se moquait-il ouvertement d’elle ? L’un comme l’autre l’horripilait tout autant.
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Ils s’étaient donc installés à Kald et, avec l’aide de leurs compagnons, ils avaient rebâti un village de leurs propres mains. Ils l’avaient défendu sans relâche contre les attaques saxonnes qui leur prenaient chaque année tant de vies.
Jamais ils n’avaient eu l’intention de défier les habitants de cette contrée. Ils n’étaient pas venus en quête de sang et de batailles. Contrairement à ce que semblait croire Annes, ils n’étaient jamais les premiers à attaquer. Leur clan n’avait aucune ve lléité d’expansion guerrière. Seulement, comme tout un chacun, ils étaient prêts à défendre au péril de leur vie la terre qui les nourrissait.
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– A quoi ressemble l’endroit où vous êtes né ?
– Il y fait froid, lâcha-t-il
– Seulement… froid ?
– Que pourrais-je en dire ? C’était un lieu de désolation. Une terre gelée et stérile. Il n’y avait ni récoltes ni bétail… Rien de comparable avec cet endroit, conclut-il en haussant légèrement les épaules. Je n’étais qu’un garçon quand nous sommes partis, je n’ai pas tant de souvenirs que cela. Je sais seulement que nous n’avions aucune terre à nous. Du moins, aucune terre qui ne soit pas régulièrement inondée, et de ce fait stérile. Je me rappelle aussi que nous avions constamment faim. Il n’y avait pas de quoi nourrir tout le monde. La famine emportait les plus faibles. Nous sommes partis pour survivre, pas pour nous enrichir ou terroriser d’autres peuples.
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Elle [Anne] savait cependant que les Danois étaient des gens de la mer. Son père les appelait d’ailleurs "loups de mer", car ils étaient supposés n’avoir peur de rien, ni de personne : des païens qu’il fallait craindre et combattre. Pourtant, l’homme qu’elle avait sous les yeux n’avait rien de commun avec les monstres féroces décrits par le roi.
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– Après ce jour maudit, j’ai juré de ne plus jamais laisser un Saxon s’en prendre à ma famille ou à mon peuple. J’ai appris à me battre comme un guerrier afin de pouvoir protéger les miens. Pendant les années qui ont suivi la mort de mon père, je n’ai vécu que pour le combat. J’avais le cœur empli de haine et j’étais prêt à punir n’importe quel Saxon pour ce que Crowe avait fait. Ma colère s’est abattue sur tous les soldats que je croisais. Lorsque les Saxons tentaient encore et encore de nous assiéger pour nous faire fuir de Kald, j’étais…
Il s’interrompit un instant, le regard perdu dans des ténèbres qu’elle ne pouvait qu’imaginer.
– Oui, une partie de moi était heureuse. Je voulais les combattre avec toute la fureur qui m’aveuglait, je voulais les tuer. C’est ainsi que ma réputation s’est forgée. Je n’en suis pas fier, je le jure. Seulement, si c’est ce qu’il faut pour que les miens puissent vivre en paix, qu’il en soit ainsi. Si mon nom instille de la peur dans les cœurs des Saxons et les tient à distance de nos terres, tant mieux. Mais je tiens à ce que tu saches que je n’ai jamais provoqué une seule de ces batailles, Anne. Je n’ai rien fait d’autre que défendre mon peuple. D’ailleurs, les années passant, j’ai fini par prendre conscience qu’il n’y avait qu’un seul homme qui méritait ma haine, un seul que je voulais détruire…
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"Ce mariage vous changera tous les deux; vous changera en mieux"
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– Comment s’appelle-t-elle ? demanda-t-il. J’ai entendu dire que les hommes du Nord donnaient un nom à leurs armes.
Le doigt du vieillard caressa l’inscription runique sur la poignée.
– Elle s’appelle Gunnlogi, dit-il, ce qui, en notre langue, signifie Flamme des Batailles.
– Flamme des Batailles, répéta George, rêveur. Ce nom me plaît.
Il caressa les runes gravées sur la lame et demanda :
– Ces caractères, que veulent-ils dire ?
– Ce sont des invocations, pour obtenir la chance et la victoire.
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– Le Légiste voit tout, dit-elle. Il saura que nous avons menti.
Grant éclata de rire, puis il joua l’effroi et s’exclama :
– Rien n’échappe donc à cet homme ? Nous sommes perdus !
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– C’est une loi ancienne, tombée en désuétude. De nos jours, la nuit de noces n’a plus besoin de témoins. Il suffit que j’atteste, ensuite, de la consommation du mariage. C’est pourquoi nous allons tous sortir d’ici.
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Enfant, il avait adoré les légendes païennes qui expliquaient la formation des constellations, mais ses parents lui avaient interdit d’en entendre davantage quand ils s’étaient convertis au christianisme.
– Alors, dit Ulrika, abruptement. Tu les connais ?
– Quoi ? Ah ! les constellations ? Bien sûr !
Elle en montra une.
– Celle-ci, comment s’appelle-t-elle ?
– Facile. C’est la Charrue.
– Ha ! Tu as faux, l’Ecossais. C’est le Chariot de Wotan.
– Mais non. C’est la Charrue.
Le doigt d’Ulrika se dirigea, de nouveau, vers le ciel.
– Et là, nous avons le chariot de sa femme, et au bout, il y a Tir.
Cette femme n’y connaissait rien du tout !
– Tir ? Tu veux dire l’Etoile polaire, je suppose.
Ulrika émit un clappement de la langue, mais c’est le Légiste, sur le retour, qui répondit pour elle :
– Elle a raison.
– Bien sûr que j’ai raison, renchérit-elle.
– Mais…
– Grant a raison aussi.
– Hein ?
Ulrika se tourna vers George, qui vit, dans la nuit, son regard luisant. C’était un regard peu amène qu’elle dardait sur lui.
– Vous avez tous les deux raison, reprit le Légiste. Les étoiles ont autant de noms qu’il y a de peuples sur la Terre. Tous ont des légendes qui trouvent leur origine dans le ciel.
George lui accorda, in petto, qu’il avait certainement raison, même s’il avait, jusqu’à ce moment, toujours pensé que sa vision du monde était la seule possible, en tout cas la seule valable, la seule vraie.
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– Pourquoi t’appelle-t-on le Légiste ?
– A cause d’une coutume ancestrale que nous honorons toujours sur cette île. Il faut toujours un homme connaissant la loi et capable de la dire en cas de nécessité.
– Et cet homme, c’est toi.
– C’est moi. J’étais encore tout jeune quand mon peuple a décidé que je serais le Légiste.
George le crut volontiers. Son interlocuteur possédait la sagesse et le discernement nécessaires à cette fonction, qui n’était pas sans rappeler celle des Anciens chargés de régler les litiges dans les clans écossais.
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– Es-tu prêt ? demanda le vieillard.
– Aussi prêt qu’un homme qui se dirige vers la potence.
Le Légiste eut pour George le sourire du chat ayant réussi à coincer une souris dans un recoin.
– Viens, dit-il. Ta fiancée t’attend.
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Les femmes devaient être petites, délicates de complexion, douces; soumises, surtout. Une femme chrétienne digne de ce nom n’oserait jamais, comme celle-ci, adresser la parole à un étranger. C’était un comportement scandaleux, révoltant…
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Partager la couche d’une femme telle que celle-ci était… inimaginable. Elle réunissait en elle tous les défauts qu’une femme ne devait surtout pas présenter : dominatrice et sûre d’elle-même, elle avait des avis sur tout et n’hésitait jamais à le faire savoir. Elle regimbait, elle discutait. Autrement dit, elle ne manifestait pas la douceur et la docilité qui sont la marque des femmes.
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Le brouillard s’épaississait, il faisait de plus en plus froid. George tira plus fort sur sa rame, dans l’espoir d’arriver plus vite sur la plage, afin de sauter sur le sable en se battant les flancs, pour se réchauffer.
Parfois un coup de vent dispersait la brume. Il devenait alors possible d’apercevoir la côte rocheuse, déserte, désolée. Puis tout s’estompait de nouveau, et revenait l’impression de flotter au milieu de nulle part.
Dans ces conditions, il était difficile de prendre des repères. George s’en agaçait. Il ne s’était jamais aventuré si loin au nord, mais, sachant se diriger avec une carte, il se rappelait le dessin des côtes, qu’il avait étudié à Inverness avant de s’embarquer. De là venait sa science, qui lui avait permis d’indiquer l’emplacement de la baie de Gellis. Il espérait que c’était bien la baie de Gellis, mais avec cette brume… Il n’avait plus qu’à prier.
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– Je ne veux pas d’elle, marmonna Thorstein.
[…]
– Tu mens ! Je t’ai vu la regarder. Je sais qu’elle semble indifférente par moments…
– Elle n’est pas indifférente ! Elle souffle le chaud et le froid comme une tempête.
– C’est bien ce je disais ! Elle te plaît. Tu lui plais aussi. Vous n’avez pas d’allégeance familiale ou d’obligation en travers de votre chemin. C’est l’alliance idéale.
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De toute façon, il ne se fiait plus aux jolies femmes. Kara ne lui avait-elle pas appris une fois pour toutes à quel point elles pouvaient être fausses et changeantes ?
Plus jamais il ne se laisserait manipuler par ces trop belles sorcières.
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Il savait ce qu’il risquait si son origine était découverte. Pour les Northumbriens, un homme du Nord en valait un autre. Peu importait qu’il soit d’un royaume ennemi de ces terribles Danois qui mettaient à sac toute la mer du Nord, jusqu’au pays des glaces. Ils ne faisaient pas la différence.
Il détestait devoir tromper sa jeune hôtesse mais, puisqu’il avait échappé à la tempête, il voulait vivre. Et pas seulement pour venger ses amis lâchement assassinés.
Tant qu’il serait ici, il ferait tout ce qui était en son pouvoir pour protéger Alwynn et pour l’aider, se promit-il.
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Valdar resta immobile dans son nid d’herbes. Il se concentra sur sa respiration, s’efforçant de repousser le doute et l’inquiétude. Cette femme l’avait sauvé, mais pour combien de temps ? Ne finirait-elle pas par le trahir ?
Pour une raison qu’il ne comprenait pas, les hommes qui fouillaient la plage faisaient peur à la jeune femme. Et il savait fort bien que, malgré ses fanfaronnades, il n’aurait guère été capable de se servir de son épée.
Il les entendit s’égailler en plaisantant sur leur manque de chance et sur ce qu’ils auraient aimé faire subir aux hommes du Nord, s’ils en avaient rencontré.
Tout s’éclaira. Ces gens étaient prêts à massacrer tout rescapé de la tempête sans même s’assurer, sans doute, qu’il s’agissait d’un ennemi. Sa main retomba sans force à côté de lui lorsqu’il relâcha le poignet de la femme. Mille questions l’assaillirent. Sachant ce qu’elle risquait en lui sauvant la vie, pourquoi l’avait-elle recueilli ? Il s’abstint toutefois de le lui demander. Il ne voulait pas la contrarier. Il avait besoin de son aide pour atteindre son but : retourner chez lui et obtenir justice contre Girmir et ses complices.
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Ils venaient de franchir la dune et atteignaient la prairie sauvage quand un groupe de paysans déboucha sur la plage. Outre leurs paniers, les hommes portaient des piques et des fourches, armes inattendues dans ce cadre paisible.
Le cœur d’Alwynn battait à tout rompre tandis qu’elles se laissaient tomber sur le sol avec l’homme. Elle souffrait de voir ce que son peuple, autrefois si paisible et hospitalier, était devenu. Naguère, quand une tempête jetait embarcations et marins sur leur rivage, ils se portaient au secours des naufragés. Mais plus maintenant.
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– Et quel est le prix à payer pour être venu en aide à un homme du Nord ?
– L’exil du royaume pour un homme, le couvent pour une femme, et, dans les cas extrêmes, la peine capitale.
Des hommes munis de piques et de fourches fouillent la plage pour y tuer les rescapés, sans autre forme de procès, qu’ils soient ennemis ou amis, peu importe…
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– Tu es si belle, Alwynn… Quand j’ai posé mon regard sur toi pour la première fois, j’ai cru voir une Walkyrie. Une pure vierge d’Odin prête à emporter mon âme au Walhalla, le palais de son maître.
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Ce n’était plus une jeune fille, mais elle était encore très jeune. Et il y avait quelque chose dans l’éclat de ses yeux verts, dans sa démarche fière et dans la manière dont elle levait le menton qui la faisait ressembler à une superbe Walkyrie.
Le parfum de fleurs qui émanait de sa chevelure lui emplissait les narines, couvrant l’entêtante odeur de poisson qui flottait dans l’air. Il avait tout à fait conscience qu’en le secouant énergiquement, cette femme l’avait tiré du royaume des morts, dont il hantait déjà la rive.
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