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– Vous savez, Adrien, lorsqu'un couple se forme, c'est toujours un peu la même histoire : l'un des deux en a envie, et l'autre laisse faire. D'une certaine façon, à des degrés divers, il y a forcément celui qui choisit, et celui qui est choisi. [...]
Afficher en entier[...] Le fait qu'il pleure pour son vélo autant que moi pour mon père ne m'a pas choqué. Chacun ses douleurs, chacun ses manques. On ne partage jamais les blessures, mais on peut essayer de les guérir ensemble.
Afficher en entier[...] L'absence est un poison universel dont personne ne sait fabriquer l'antidote. [...]
Afficher en entier[...] Ce sont les prisons dans lesquelles on s'enferme volontairement dont il est le plus difficile de s'échapper.
Afficher en entier– [...] Je crois que notre passage sur terre se résume en trois points : pour soi, ce que l'on ressent. Pour les autres, ce que l'on fait. Pour le monde, ce que l'on laisse.
Afficher en entier– Tu sais, mon garçon, on confond souvent vivre vieux et avoir une belle vie. La durée ne compte pas, c'est l'intensité qui fait tout. Quoi que tu affrontes, n'oublie jamais qu'exister est une chance. Profites-en de toutes tes forces.
Afficher en entier[...] Ce que l'on ne fait pas blesse parfois tout autant que les erreurs que l'on commet.
Afficher en entier– Allons, allons. Tu traverses une phase malheureusement banale. C'est le lot de chacun. Comme toi j'ai eu des doutes, comme toi j'ai pensé ma vie complètement inutile.
– Même vous ?
– Évidemment ! Celui qui te dira que ça ne lui est jamais arrivé est un menteur ou un parfait crétin ! Tu ne dois pas faire ta vie en fonction de tes peurs, mais au nom de tes désirs. C'est la seule façon d'avancer.
Afficher en entierN'être personne pour celle qui est tout, ça me fait quelque chose.Sans s'en rendre compte, elle vient de croiser l'homme qu'elle a aimé, avec qui elle a vécu, fait des projets, et qui porte contre son coeur la lettre qu'il a eu tant de mal à écrire pour lui dire qu'il l'aimait toujours.
Afficher en entierLa seule fois où j'ai mis les pieds dans un hôpital j'avais 17 ans. […] Ce jour là j'ai eu la preuve formelle qu'il n'est absolument pas possible de se faire propulser jusqu'au 1er étage du lycée par deux potes qui vous projettent façon catapulte. Sur mon plâtre, tout le monde avait inscrit un gentil petit mot […] la surveillante avait écrit : laisse le vol aux oiseaux, c'est leur boulot, abruti !
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