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C'est un vieil homme qui s'éteint, péniblement alité. Pas n'importe quel homme, mais le plus grand critique gastronomique du monde, qui est parvenu à hausser un art mineur au rang des plus prestigieux, a fait et défait des réputations. Après quelques décennies de boustifailles, d'agapes, "des flots de vin, d'alcools en tout genre, après une vie dans le beurre, la crème, la sauce, la friture, l'excès à toute heure", le vieil homme tire sa révérence, rend son tablier, sa plume. Ce n'est rien, sinon qu'in extremis "une seule chose importe" : le souvenir d'une saveur, "vérité première et ultime de toute une vie". Quelque chose qui lui échappe. Quelque chose d'originel et de merveilleux. Une saveur oubliée, nichée au fond de la mémoire. Il cherche et il ne trouve pas. La quête de cette saveur, qui pourrait bien être une gourmandise, tout au bout de la vie, est l'occasion de retracer pour le vieil homme l'itinéraire d'une existence vouée à la gastronomie. Un itinéraire tantôt dessiné dans la complaisance ou l'humilité tardive, tantôt redessiné sans concession par les proches de ce pape de la cuisine, les uns après les autres, et toujours à la première personne. Roman à plusieurs voix donc, en une langue parfumée et savoureuse, brossant le portrait d'un homme et le bilan complexe d'une vie à la fois faite de générosité et d'égoïsme. Pour un premier roman, Muriel Barbery réussit là un coup de maître. --Céline Darner
Présentation de l'éditeur
C'est le plus grand critique culinaire du monde, le Pape de la gastronomie, le Messie des agapes somptueuses. Demain, il va mourir. Il le sait et il n'en a cure : aux portes de la mort, il est en quête d'une saveur qui lui trotte dans le cœur, une saveur d'enfance ou d'adolescence, un mets original et merveilleux dont il pressent qu'il vaut bien plus que tous ses festins de gourmet accompli. Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative, il plonge dans les cocottes de son enfance, il en arpente les plages et les potagers, entre campagne et parfums, odeurs et saveurs, fragrances, fumets, gibiers, viandes, poissons et premiers alcools... Il se souvient et il ne trouve pas. Pas encore.
Un voyage culinaire et philosophique aux côtés de personnages du 7 rue de Grenelle … Une ode aux sens et un jugement sans complaisance sur la nature humaine
Je pense sincèrement être passé à côté de cette lecture. Je n'ai pas compris le fond de l'histoire. On change de personnages, de lieux, en fonction des chapitres. Le rapport aux recettes de cuisines passées, à la recherche de sa "madeleine de proust", est vraiment léger. Je pensais que le roman allait tourner autour de ça, mais c'est un plus par rapport à ses voyages, les gens qu'il rencontre. Une lecture que je n'ai pas vraiment comprise. Dommage, pour être pour une autre fois ?
J'avais lu, il y a quelque temps déjà, "L'Élégance du hérisson" de la même auteure (après avoir vu l'adaptation que j'ai beaucoup appréciée).
Ayant était littéralement conquise par la plume si poétique et riche de Barbery, j'ai voulu découvrir "Gourmandise" qui est son premier roman et qui, je dois l'avouer, m'a attiré par son titre alléchant.
J'ai tout d'abord été surprise du lieu où se situe le récit car il s'agit du même immeuble bourgeois que dans "L'Élégance du hérisson". Mais contrairement à celui-ci, "Gourmandise" est un court roman sur un critique culinaire qui se meurt et cherche dans sa mémoire LA saveur qu'il a aimé plus que tout autre. Celle qui a illuminé ses papilles et tous ses sens. On part donc dans un court voyage culinaire ou s'entremêle saveurs, visions, odeurs et sons de plats, de desserts, d’apéritifs et d'encas.
Chaque chapitre est un souvenir alternant le critique mourant et des personnages de son entourage. Ils sont écrits essentiellement de manière narrative. Quant aux souvenirs, ils y sont décrits avec une certaine poésie et une sensualité des sens.
Un court récit original, à l'écriture belle et fine. La lecture est agréable mais m'a paru quelque peu frustrante par sa fin. J'aurais souhaité en connaître d'avantages sur ces personnages ainsi que leurs quotidiens.
Un livre très sympathique à lire, l’alternance des points de vues le rend très dynamique. Le côté cuisine et description des plats me rebutait un peu au début parce que je n'y suis pas du tout réceptif mais au final c'est plus un livre sur les relations que sur la cuisine.
Le personnage principal est assez insupportable, les nombreux points de vues négatifs sur son compte étaient toujours les bienvenues. J'ai eu du mal à m’intéresser à lui pendant tout le livre. La révélation finale m'a toutefois beaucoup plu, elle est étonnante et ironiquement poétique d'une certaine façon.
Après avoir admiré "l'élégance du hérisson", j'ai décidé de me délecter d'"une gourmandise", bien m'en a pris!
Entre deux descriptions culinaires et gustatives, on découvre l'entourage du narrateur, incidemment. Puis l'auteure leur donne la parole, ils livrent leur mal-être et le lien qui les attachait au personnage principal. Délicatesse et gourmandise!
Même si le hérisson m'a plu, cette forme de narration et la surprise finale....Cela vaut le coup!
Une gourmandise littéraire à dévorer, mais attention, pas entre les repas, faute de quoi, on a très envie de se mettre quelque chose sous la dent.
C'est une écriture poétique qui nous raconte les derniers instants d'un gastronome plongé dans ses souvenirs à la recherche d'une saveur. C'est aussi le témoignage de personnes (entre autres) l'entourant (ou non) à ses dernières heures.
Je l'ai beaucoup apprécié surtout dans la rythmique simple et le vocabulaire soutenu. Je ne pensais pas que l'on pouvait utiliser autant de mots pour décrire une tomate <3
Résumé
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C'est un vieil homme qui s'éteint, péniblement alité. Pas n'importe quel homme, mais le plus grand critique gastronomique du monde, qui est parvenu à hausser un art mineur au rang des plus prestigieux, a fait et défait des réputations. Après quelques décennies de boustifailles, d'agapes, "des flots de vin, d'alcools en tout genre, après une vie dans le beurre, la crème, la sauce, la friture, l'excès à toute heure", le vieil homme tire sa révérence, rend son tablier, sa plume. Ce n'est rien, sinon qu'in extremis "une seule chose importe" : le souvenir d'une saveur, "vérité première et ultime de toute une vie". Quelque chose qui lui échappe. Quelque chose d'originel et de merveilleux. Une saveur oubliée, nichée au fond de la mémoire. Il cherche et il ne trouve pas. La quête de cette saveur, qui pourrait bien être une gourmandise, tout au bout de la vie, est l'occasion de retracer pour le vieil homme l'itinéraire d'une existence vouée à la gastronomie. Un itinéraire tantôt dessiné dans la complaisance ou l'humilité tardive, tantôt redessiné sans concession par les proches de ce pape de la cuisine, les uns après les autres, et toujours à la première personne. Roman à plusieurs voix donc, en une langue parfumée et savoureuse, brossant le portrait d'un homme et le bilan complexe d'une vie à la fois faite de générosité et d'égoïsme. Pour un premier roman, Muriel Barbery réussit là un coup de maître. --Céline Darner
Présentation de l'éditeur
C'est le plus grand critique culinaire du monde, le Pape de la gastronomie, le Messie des agapes somptueuses. Demain, il va mourir. Il le sait et il n'en a cure : aux portes de la mort, il est en quête d'une saveur qui lui trotte dans le cœur, une saveur d'enfance ou d'adolescence, un mets original et merveilleux dont il pressent qu'il vaut bien plus que tous ses festins de gourmet accompli. Alors il se souvient. Silencieusement, parfois frénétiquement, il vogue au gré des méandres de sa mémoire gustative, il plonge dans les cocottes de son enfance, il en arpente les plages et les potagers, entre campagne et parfums, odeurs et saveurs, fragrances, fumets, gibiers, viandes, poissons et premiers alcools... Il se souvient et il ne trouve pas. Pas encore.
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