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Extrait ajouté par Fnitter 2020-02-24T19:33:13+01:00

Lorsque nous combattons, ne pensez pas aux causes ni à la justice des choses. Pensez les uns aux autres, pensez d'abord à votre bâtiment !

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Extrait ajouté par Fnitter 2020-02-24T19:33:02+01:00

Que peut-on perdre sur le champ de bataille ?

Mais tout n'est pas perdu ; la volonté inexpiable,

L'espoir de la vengeance, la haine éternelle,

Le courage, voilà que ne se soumettra ni ne cédera jamais.

Le Paradis Perdu du John Milton.

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Extrait ajouté par Fnitter 2020-02-24T19:32:54+01:00

La sympathie est un sentiment qu'un commandant ne peut pas s'autoriser bien longtemps. Lorsqu'un vaisseau se transforme en briquet, quelle qu'en soit la raison, faire simplement preuve de compréhension peut être pris pour de la faiblesse.

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Extrait ajouté par ceaime2B 2020-02-07T15:00:32+01:00

"Marins de la Walkyrie, j'ai jugé que je devais vous dire quelques mots sur ce que nous allons faire par cette belle matinée. …/… Beaucoup d'entre vous ont été arrachés à leur maison ou à leur village, certains servaient à bord d'Honnêtes bâtiments marchands. Ils sont ici contre leur volonté, pour mener une vie qui n'a jamais été facile. Mais nous ne devons jamais céder à la tyrannie, quelque difficile qu'il soit d'attribuer de la valeur à notre sacrifice, même si nous le faisons au nom du roi et de notre pays."

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Extrait ajouté par Samaritain 2014-01-19T09:10:25+01:00

Les vieux se souvenaient encore du temps où l’on célébrait cette fête après le coucher du soleil en allumant des feux dans toute la campagne. On y jetait des fleurs sauvages et des herbes. Lorsque tout était en place, les couples de jeunes gens sautaient main dans la main à travers les flammes, ce qui était supposé porter chance. On récitait des formules rituelles en vieux cornouaillais. La fête était accompagnée de ripailles et de beuveries, des esprits chagrins prétendaient que tout cela avait plus à voir avec la sorcellerie qu’avec la religion.

Mais, aujourd’hui, tout était calme, même si l’on apercevait des feux épars dans le lointain. Quelque fermier ou propriétaire célébrait la fête avec ses ouvriers. On avait cessé d’allumer des guirlandes de feu depuis que le roi de France avait été décapité et que la Terreur avait dévasté le pays comme une traînée de poudre. Si quelqu’un avait été assez imprudent pour remettre en vigueur la vieille coutume, on aurait rappelé tous les paysans et la milice aux armes, car une chaîne de feux était désormais synonyme d’invasion.

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Extrait ajouté par Samaritain 2014-01-19T09:09:18+01:00

Bolitho passa le bras autour des épaules de Catherine, il sentait sa peau sous sa main. Les hautes portes vitrées qui donnaient sur la bibliothèque étaient grandes ouvertes, l’air était rempli de l’odeur prenante des roses. Elle admirait son profil, la mèche grise tranchait sur sa peau bronzée. Pour le rassurer, elle lui disait que cela lui donnait l’air distingué, alors qu’elle savait bien qu’il la détestait, comme quelque chose qui lui rappelait en permanence leur différence d’âge.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-08-14T19:48:37+02:00

Le vieux Partridge, leur maître pilote, avait changé de cap au cours de la nuit. Au près serré, huniers arisés, ils avaient donné un large tour pour éviter les récifs si redoutés des Menottes

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-08-14T19:48:30+02:00

Bolitho descendit de sa couchette, tenant encore l’un des barrots, le temps de s’habituer au roulis. Une frégate, nul ne pouvait rêver mieux. Il se souvenait de celles qu’il avait commandées, jeune capitaine de vaisseau, plus jeune encore qu’Adam. Des bâtiments si différents les uns des autres, et pourtant, si familiers. Mais les visages, les hommes, cela se brouillait un peu dans sa mémoire, même s’il ne les oubliait pas

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-08-14T19:48:25+02:00

Le vice-amiral Sir Richard Bolitho se réveillait d’un sommeil mouvementé. Sa modeste chambre de nuit était plongée dans le noir. Instantanément, son cerveau réagit aux bruits et aux mouvements. Son instinct de marin lui disait que, dehors, la mer qui baignait cette coque fine et gracieuse était aussi sombre que sa chambre. Un beau commandement, pour lequel bien des jeunes officiers se seraient fait couper le bras droit. Il écouta un instant le bruit sinistre de la tête de safran ; le gouvernail peinait dans sa lutte contre la mer, contre la poussée du vent dans la voilure. Il entendait le friselis de l’eau contre la carène. La frégate Anémone virait de bord et venait à son nouveau cap. Oubliées, les longues glissades sur les lames du grand océan, le temps faisait désormais alterner périodes de soleil brûlant et averses de pluie. Dans ces parages, la mer était plus courte, les vagues plus raides. Le vaisseau plongeait dans les creux, cap sur la terre. Trois semaines depuis qu’ils avaient appareillé des Antilles. Adam avait conduit son Anémone comme le pur-sang qu’elle était

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-08-14T19:48:02+02:00

Il avait eu le temps d’observer et d’écouter ces hommes, un équipage de deux cent vingt officiers, marins et fusiliers qui travaillaient en bonne intelligence. La manœuvre dans la tempête ou sous les grains était parfaite, on voyait que tous étaient désormais bien amarinés. Adam pouvait être fier de ce qu’avaient réussi son jeune état-major et lui-même, avec l’aide de quelques excellents officiers mariniers, tel le vieux Partridge. Adam redoutait sans doute le retour à Portsmouth :

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