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— Alors, Gabe, tu connais le groupe ?

Son nouveau sourire la fit fondre. Elle donnerait n'importe quoi pour qu'il lui sourie sans cesse de la sorte.

— Un peu, oui. Raconte-moi, qu'est-ce que tu fais de ton temps libre quand tu ne chaperonnes pas ta copine ?

— Je suis comptable. Gabe fronça les sourcils.

— Ça doit être... chiant au possible. Melanie ne put s'empêcher de rire.

— En tout cas, ça paie les factures. De plus, j'adore les chiffres. Grâce à eux, tout est prévisible.

— Et je suppose que tu es du genre prévisible. Elle tendit la main vers lui et lui effleura le cou. Sous ses doigts, elle sentit battre son pouls.

— Qui sait ? susurra-t-elle.

— Tu me dragues, Melanie ? Oh oui, oui, oui.

— Peut-être.

Pourquoi Nikki serait-elle la seule à s'amuser, ce soir ? Melanie était soudain d'humeur festive, elle aussi.

— Désolé de vous déranger, fit quelqu'un derrière Gabe.

Un gros piercing ornait le nez de l'intrus, et son cou grêle était tatoué d'une énorme tête de mort. Aussitôt, le cœur de Melanie s'affola. La plupart des tatouages la mettaient mal à l'aise, mais les motifs de tête de mort et de barbelés l'effrayaient au plus haut point. Elle but une gorgée d'eau et reporta son attention sur Gabe. Comment allait-il gérer la situation ?

— Je suis l'un de tes plus grands fans, Force, continua le cauchemar ambulant avant de se répandre en compliments. T'es le meilleur batteur de la planète. Je peux avoir un autographe?

Peut-être que Nikki n'avait pas vomi sur le chanteur des Sole Regret, mais en entendant les propos de l'inconnu, Mélanie renversa son verre sur le batteur du groupe.

Mélanie bondit sur ses pieds et chercha de quoi essuyer l'eau qui dégoulinait du visage de Gabe. Gloussant, il saisit le bas de son tee-shirt pour sécher les gouttelettes sur sa peau. Bouche bée, Mélanie fixait ses abdominaux. De véritables tablettes de chocolat. Comme s'il n'était pas suffisant qu'elle ait renversé son verre sur un batteur célèbre, à présent, s'étouffant, elle crachait presque sur ce célèbre batteur aux incroyables yeux verts et au sourire si séduisant.

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Début du tome 1:

Debout devant le miroir des toilettes publiques, Mélanie remarqua la petite lueur dans les yeux de Nikki. Oh, merde ! Qu'est-ce que sa copine mijotait ? Elle n'avait aucune envie de supporter son cinéma, ce soir.

La longue route jusqu'à Tulsa, le cauchemar pour trouver une place de parking, le billet trop cher acquis auprès d'un revendeur à la sauvette avant de piétiner deux heures dans la queue et dans le froid, tout cela avait mis Mélanie de mauvais poil. OK, admit-elle : elle était même d'une humeur massacrante. Ses cheveux paraissaient avoir été pris d'assaut par un raton laveur enragé, et ses orteils, enfermés dans des sandales à lanières à hauts talons, semblaient être assaillis de coups de pioches donnés par des mineurs en modèle réduit.

Nikki, pour sa part, avait l'air aussi impeccable qu'à l'ordinaire, mis à part cette troublante lueur de sournoiserie qui brillait dans ses immenses yeux bleus. Mélanie, qui s'apprêtait à se remettre du rouge à lèvres, arrêta son geste avant que le tube atteigne ses lèvres. Son alarme spéciale « Nikki-est-sur-le-point-de-nous-attirer-des-ennuis » venait de retentir.

— Que signifie ce regard ? demanda-t-elle.

— C'est le grand soir ! lança Nikki.

Elle glissa l'une de ses soyeuses mèches châtaines derrière son oreille, et pivota pour admirer son meilleur profil dans le miroir. En fait, ses deux profils étaient aussi splendides l'un que l'autre, mais Mélanie n'avait jamais réussi à l'en convaincre, ni à la persuader qu'elle méritait plus qu'une aventure d'une nuit avec un minable. Oui, Nikki valait mieux que ça !

— Tu as déjà dit ça hier, fit remarquer Mélanie en se concentrant sur l'application de son rouge à lèvres.

Nikki esquissa une grimace en l'observant et tira une brosse de son sac pour tenter d'arranger un peu sa tignasse.

Bonne chance, ma belle.

Si Mélanie portait ses cheveux relevés la plupart du temps, c'était pour la simple et bonne raison que seules les pinces les plus solides parvenaient à mettre un peu d'ordre dans ses longues boucles lui descendant jusqu'à la taille. Aujourd'hui, Nikki lui avait suggéré de les détacher, arguant qu'elle était superbe ainsi. Cependant, Mélanie savait fort bien qu'en compagnie de Nikki, personne ne la trouverait jamais belle - c'était une évidence depuis leurs années de fac. Les hommes étaient irrémédiablement attirés par Nikki. Mélanie, elle, restait dans l'ombre. C'était devenu une habitude.

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Séduis-moi:

" - Je me demande pourquoi tu souris autant, Madison, dit sa sœur jumelle.

Debout derrière elle, Kennedy posa ses deux mains sur les épaules de Madison et croisa son regard bleu, similaire au sien, dans le miroir de l'antique coiffeuse.

- Il te cause toujours de la peine, ajouta-elle.

Madison se renfrogna. Être avec Adam était l'une des plus grandes joies dans sa vie déjà bien remplie. Kennedy ne comprendrait rien.

- C'est quand il part que j'ai de la peine, répliqua-t-elle.

- Et ça, c'est ce qu'il fait le mieux. Il s'en va toujours.

- Il est obligé, son groupe est en tournée.

- Madi..."

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Approche-moi :

" Elle s'arrêta pour le jauger d'un regard.

- Aurait-elle des raisons de s'inquiéter ?

- Seulement si elle souhaite te revoir avant demain matin.

Mélanie esquissa un petit sourire narquois.

- Combien de tatouages as-tu ? Ne me dis pas qu'il te faut toute la nuit pour me les montrer !

Quel culot ! Elle ne perdrait rien pour attendre.

- Non, mais il me faudra plusieurs heures pour comprendre pourquoi tu me troubles autant."

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Tome 2:

— Jet'...

Un coup sourd fut frappé à la porte.

Adam ferma les yeux et déglutit.

— Merde ! J'ai encore raté

l'occasion ! marmonna-t-il entre ses dents.

En temps normal, il débordait de confiance en lui. Son incapacité à

prononcer trois simples mots - ou peut-être pas si simples, aprè

Madison. C'était plus que de la gratitude pour avoir sauvé sa vie, sa carrière et sa santé. Il ne l'aimait pas pour ce qu'elle avait fait vis-à- vis de lui ou ce qu'elle continuait à

faire, mais parce qu'elle était comme son propre cœur. Ce fragile organe l'avait déserté depuis si longtemps qu'il ne s'en était rendu compte que le jour où Madison avait comblé

l'immense vide dans sa poitrine.

Hélas, elle avait laissé entendre qu'elle était susceptible de le quitter.

Jamais il ne supporterait une telle douleur. Si Madison l'abandonnait, sa souffrance serait telle qu'il ne serait plus qu'une coquille vide, comme avant leur rencontre.

Alors pourquoi était-il incapable de prononcer ces quelques mots ? Je t'aime, Madison.

Parce qu'il redoutait qu'elle ne les prononce pas à son tour.

Un coup plus vigoureux résonna à la porte.

— Hé, Adam ! cria quelqu'un dans le couloir. Ouvre-moi avant d'être complètement à poil. J'ai tes affaires.

Peut-être n'était-ce pas le bon moment d'avouer son amour à

Madison, finalement. Jusqu'à

présent, leur nuit n'avait pas été aussi romantique qu'il l'avait espéré.

Décidément, la vie ne cessait de lui jouer de mauvais tours.

Il déposa un léger baiser sur les lèvres de la jeune femme et se leva.

Ouvrant la porte en grand, il attrapa son sac des mains de Jordan qui, d'habitude, s'occupait de les ravitailler en bières. Sachant que

Jordan était l'un des membres les plus incompétents de leur équipe,

Adam jeta un coup d'œil au sac de voyage, s'assurant que c'était bien le sien.

— Merci.

Jordan eut un large sourire et ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais Adam lui ferma la porte au nez avant qu'il ait le temps de prononcer un mot. Allaient-ils tous enfin comprendre qu'il voulait être seul avec Madison ? Putain, avait-il besoin d'accrocher un panneau à la poignée de la porte ?

Il jeta son sac à terre et fit un pas en direction de Madison, avant de s'apercevoir que, oui, un panneau

était exactement ce qu'il lui fallait.

Saisissant la pancarte qui mentionnait NE PAS DÉRANGER comme le sésame à leur tête-à-tête, il ouvrit la porte et l'accrocha à

l'extérieur. Jordan se tenait toujours planté là, l'air plus crétin que jamais.

De nouveau, il ouvrit la bouche, mais Adam lui montra d'un doigt la pancarte avant de lui claquer la porte au visage pour la seconde fois. Puis il tourna le verrou et se dirigea vers le salon. Toujours chaussée de ses santiags, Madison, allongée sur le canapé, avait une jambe à terre, l'autre sur l'accoudoir. Sa jupe était retroussée haut sur ses cuisses.

Hmm, il n'avait plus qu'à lui retirer sa petite culotte.

Mais dans ce cas, il ne pourrait lui avouer ses sentiments ni effacer sa déception. En revanche, il serait capable de lui offrir du plaisir. Ça, il en était sûr. Il traversa la pièce et s'arrêta au bout du canapé, admirant

Madison, gravant sa silhouette dans sa mémoire.

— Que voulais-tu me dire, avant que nous soyons interrompus ?

demanda-t-elle.

Son cœur manqua un battement

— Heu... Pourquoi tu n'as pas encore retiré ta robe ?

Et pourquoi était-il aussi lâche ? Que redoutait-il en lui avouant ses sentiments ? En vérité, il préférait ne pas songer à ses diverses réactions possibles.

Madison lui adressa un sourire sexy et se leva. Elle fit passer la masse de ses longs cheveux blonds sur une

épaule et lui présenta son dos.

— Tu veux bien t'occuper de ma fermeture Éclair ? Au moins ne le repoussait-elle pas complètement.

Sa peau était chaude et douce. Le cœur empli de joie, Adam posa ses lèvres sur sa nuque et, tout en baissant avec lenteur la fermeture

Éclair de sa robe, déposa une pluie de baisers le long de son dos. Les petits gémissements de Madison l'excitaient, et déjà son sexe durcissait sous son jean. Il continua à

l'embrasser lentement, très lentement, goûtant, léchant sa délicieuse peau jusqu'au milieu de son dos.

Quand la fermeture fut entièrement ouverte, il était à genoux derrière

Madison.

Il lâcha la robe qui tomba aux pieds de la jeune femme. Madison s'écarta d'un pas. Son postérieur somptueux se trouvait face à son visage... et il ne pouvait se résoudre à le lâcher. Il saisit ses fesses à deux mains et les caressa. Puis, se penchant en avant, il effleura des lèvres la peau soyeuse juste au-dessus de l'élastique de sa petite culotte.

Comme Madison s'écartait, il protesta d'un murmure, l'empêchant d'aller plus loin. Il avait envie de lui dévorer les fesses. Cette petite culotte de soie mauve le gênait. Il posa ses doigts sur l'élastique, fit glisser le tissu couleur lavande de quelques centimètres sur ses hanches. Alors, il embrassa, suça et caressa ses fesses voluptueuses, tout en évitant son petit orifice, sachant que, ce faisant, elle le désirait encore plus. Il aimait savoir comment l'amener à le supplier.

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On lui arracha le téléphone des mains.

— La règle, c'est vingt-quatre heures, insista Owen.

— Les rock stars ont une vie trop trépidante pour appliquer cette règle, lâcha Adam.

Notre moyenne de vie est égale à la moitié d'une vie normale, divisée par le nombre de nos addictions moins le volume de litres de bière engloutis par mois, le nombre de voitures rapides qu'on possède et la quantité de kilomètres parcourus à moto sans casque.

Je dirais que pour Gabe, la règle, c'est trois secondes.

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