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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par jodieM 2024-02-07T08:01:40+01:00
Or

Voici le tome 8 ! Lorsque j'ai terminé ce livre hier soir, c'est le coeur gros et les yeux remplis de larmes que j'ai été me coucher ... Dans ce tome, nous suivons Hélène Grandjean qui n'est autre qu'Hélène Mouret. Grandjean étant le nom de son mari défunt. Elle s'installe à Paris, Passy plus précisément, avec sa fille de 11 ans et demi, Jeanne. Celle-ci est fragile et vulnérable, elle souffre de maladie qui lui provoque des crises régulières. Dès les premières pages, Hélène impuissante face aux crises de Jeanne, court chercher un médecin. C'est ainsi que rentre en jeu le personnage de Mr Henri Deberle. Entre Henri et Hélène c'est le coup de foudre. Seulement le docteur est marié à Juliette et ensemble ils ont un petit garçon nommé Lucien. De plus, Jeanne est une enfant très jalouse, très possessive avec sa maman. Dès qu'un personnage (masculin) s'approche trop près de sa mère, celle-ci devient colérique. Ce livre m'a bouleversé ... La relation mère-fille, mise en avant par Zola, est très intéressante ... Est-ce qu'une mère a le droit de penser à elle sans se sentir coupable envers son enfant ? si oui, à quelle prix ??? Un livre profond qui rejoint directement la troisième place (après le ventre de Paris et la fortune des Rougon) dans cette saga des Rougon-Macquart !

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Commentaire ajouté par claire-1139 2023-10-15T21:02:26+02:00
Diamant

Difficile de choisir son tome préféré des Rougon-Macquart mais celui-ci est d’une subtilité et d’une sensibilité telles qu’il est de loin mon favori

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Commentaire ajouté par Moineaunain 2023-09-26T10:20:53+02:00
Lu aussi

C'est toujours une surprise en entamant un Zola, je ne sais jamais si je vais aimer ou pas! J'ai bien aimé ce roman qui comportait certes beaucoup de descriptions mais aussi beaucoup de dialogue. L'histoire est interessante mais je n'ai pas aimé le personnage de Jeanne

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Commentaire ajouté par lyneeve 2023-01-04T13:55:04+01:00
Diamant

très beau

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Commentaire ajouté par Wyvern 2022-07-15T15:19:08+02:00
Lu aussi

Je trouve chez les auteurs français une grande force dans les événements brutaux, dans la dépiction de la misère humaine. Zola n'échappe pas à cette règle et on comprend donc que ce roman n'ait pas fait autant d'émules que Germinal ou l'Assomoir, étant bien moins choquant plastiquement et se rapprochant plus de ce qui fait la force des auteurs russes : les sentiments et relations de la haute société de l'époque. Tout y est, l'amour réciproque mais frustré jusqu'au bout, l'élément extérieur perturbateur qui va déboucher sur un drame, les passions violentes et les lassitudes ordinaires. On peut l'apprécier chez Zola, je préfère cela chez Tolstoï ou Tourguéniev.

D'autre part, on a là une ode à la ville de Paris, personnage à part entière de ce récit peut-être plus encore que dans n'importe quel autre des Rougon-Macquart, la ville et ses monuments étant ici décrits de long en large à cinq reprises clôturant les cinq parties du livre.

Si bien que j'ai une réserve semblable à celle faite par Mallarmé dans une lettre à Zola de 1878 : les descriptions de Paris, bien que magnifiques, paraissent complètement distinctes du récit et on peine à y voir une réelle métaphore ou causalité quelconque. Il semblerait que Zola ait voulu à la fois chanter son amour pour la capitale et écrire l'histoire d'Hélène Mouret, et qu'il ait décidé de tout faire en un seul livre. La ville de Paris aurait pu être la simple toile de fond de l'histoire mais, omniprésente et personnifiée comme elle l'est, on s'attend à ce qu'elle y joue un véritable rôle, ce qui n'est pas le cas. Elle offre tout au moins une structure amusante au récit, qui reste agréable à dire.

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Commentaire ajouté par vermeils 2022-06-10T09:44:34+02:00
Argent

Un petit roman moins dense que ses autres œuvres, mais que j'ai personnellement bien aimé, bien que ça ne soit pas mon préféré.

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Commentaire ajouté par BooksFan-ny 2022-05-27T16:19:33+02:00
Argent

"Une page d'amour" est le huitième volet des Rougon-Macquart, histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire. Il est visiblement l'un des tomes les plus méconnus de la série. Il est également bien différent, puisque Zola ici se fait moins critique de la société. Loin de ce qu'il a pour habitude de dénoncer, il nous parle ici de l'amour passionnel et nous démontre à quel point il peut être éphémère et dévastateur.

"Une page d'amour" se démarque également par le nombre restreint des protagonistes : Hélène et sa fille, le couple Deberle et leur fils, l'abbé Jouve et son frère, ainsi que quelques figurants comme le Dr Bodin, le beau Malignon ou encore la mère Fétu. Les événements se déroulent sur une courte période, qui débute en hiver 1853 pour se terminer l'hiver suivant.

De l'arbre généalogique de cette famille, la branche d'Ursule Macquart, épouse Mouret, est celle que j'affectionne le plus, c'est là que sont pour moi les personnages les plus attachants. Et dans "Une page d'amour", ce sont sa fille Hélène et de sa petite-fille Jeanne que nous suivons.

Hélène Grandjean, née Mouret, perd son mari alors qu'ils viennent tout juste de s'installer à Paris (Passy). Nouvellement veuve, elle n'a plus que sa fille, Jeanne. Si Hélène n'a pas été touchée par la "malédiction familiale", Jeanne en revanche a hérité de la fragilité psychologique de son aïeule Adélaïde, ainsi que du faible état de santé de son père. Cette enfant, qui paraît au premier abord être une petite peste jalouse et égoïste, est en fait atteinte d'un mal-être beaucoup plus profond. Tous les êtres qu'elle a aimé ont disparu : son chat, son oiseau, son père. La peur de l'abandon et de ne pas être aimée domine son comportement. Alors quand sa mère se rapproche de son médecin, elle y voit un réel danger. Elle va s'interposer, s'imposer, refuser de partager sa mère. S'en suivra un drame inéluctable (en cela, on reconnaît la marque de fabrique de l'auteur).

Et c'est dans un Paris romantique que se déroulent les événements. L'auteur, qui d'habitude n'hésite pas à en dépeindre ses moindres défauts (quartiers pauvres et sales, ou en reconstruction, dans des couleurs et odeurs à foison), nous le décrit dans une perspective bien différente. Car, en effet, c'est de la fenêtre de la chambre d'Hélène qu'il nous permet de le voir. On découvre un Paris tout blanc, ou tout gris, ou dans des teintes jaune, bleu ou rouge. Un Paris pluvieux, brumeux, mélancolique ou ensommeillé. Ou au contraire un Paris bien vivant, ensoleillé, bruyant. Tantôt matinal ou crépusculaire. Tantôt brûlant ou glacial. Il change au gré des événements ou des humeurs d'Hélène et de Jeanne. À se demander s'il n'influence pas le cours de l'histoire... Il nous offre en tout cas une atmosphère en adéquation avec le récit, que Zola dépeint magnifiquement.

C'est le roman de Zola le plus doux, le plus tendre qu'il m'ait été donné de lire. Zola, en effet, ne dépeint pas la même violence, puisqu'il s'agit avant tout d'amour, et notamment d'amour passionnel, mais aussi d'amour filial (celui d'une mère à son enfant et d'une fillette à sa mère). C'est à la fois une belle mais bien triste histoire. C'est également la première fois que Zola arrive à vraiment m'émouvoir. La fin dramatique, que l'on devine un peu dès le début (surtout quand on commence à bien connaître l'auteur), est douloureuse et j'ai, pour la première fois, dû retenir mes larmes.

J'ai entre les mains le roman édité chez Fasquelle en livre de poche (1985). Je souligne la belle couverture représentant "La balançoire" d'Auguste Renoir, qui illustre l'une des scènes les plus marquantes du roman.

Avec ce livre, j'atteins les deux tiers de mon objectif, qui est d'avoir lu tous les Rougon-Macquart avant la fin de l'année (il ne m'en reste que sept...). Et c'est une très belle parenthèse que Zola vient de m'offrir dans mon défi personnel.

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Commentaire ajouté par Boug 2022-02-01T21:44:42+01:00
Argent

Intéressant de changer d'univers, un huis-clos assez léger.

J'ai cependant fini par être agacé de beaucoup d'aspects : les non-dits, les faux-semblants, le caractère de Jeanne, la passivité d'Hélène.

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Commentaire ajouté par Mayoune 2021-09-05T22:07:30+02:00
Argent

Un Zola très doux, ce qui est rare avec cet auteur. Il a un côté vaudeville tragique, hésite entre l'histoire d'amour et l'histoire d'adultère. De très belles descriptions de Paris vu par les toits renforcent le côté "huis-clos" du livre : les personnages passent l'ensemble du roman entre les trois mêmes lieux. Un peu agacée par le personnage de Jeanne, très désagréable, avec laquelle je n'ai pas du tout accroché.

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Commentaire ajouté par Kura-kura 2021-05-23T17:02:08+02:00
Or

Un bien triste Zola, il ne diffère pas vraiment des autres le rythme est plus tranquille, pas de cancans, peu de manigances mais des mensonges, des tromperies. Une femme honnête bafouée à qui malheur arrive. Jamais un roman de Zola n est heureux ou léger mais c est aussi pour ça que je les lis.

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