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"Même si te quitter était une erreur,
Aussi ardent soit mon désir, je ne sais comment la réparer
Rageant contre moi-même chaque jour
Si intensément, je me
Hais parce que je t'ai
Malmenée, blessée.
Aussi je veux que tu saches que
Loin de toi, je me
Lamente sur ta perte.
Où que j'aille, malgré les femmes que je rencontre,
Walkyrie de mes nuits, tu demeures dans mon coeur"
Afficher en entier" Vous est-il déjà arrivé de faire quelque chose de si incroyablement stupide que la culpabilité et le regret que cette action a suscités planent au-dessus de votre jugement, vous consumant de l'intérieur, jusqu'à ce que vous ne parveniez plus à voir, à entendre ou à penser à rien d'autre ?
C'est mon cas. J'ai fait beaucoup de choses que je regrette et pour lesquelles je me sens coupables, mais la pire des choses que j'ai faites est arrivée hier.
J'ai laissé la fille que j'aimais, seule dans son lit, comme un sale machiste qui se sert d'une fille pour assouvir ses besoins et la quitte : c'est moi. Je suis devenu ce type.
Mais ce n'est pas vraiment moi. Je suis amoureux de cette fille nue dans son lit. Simplement, je ne la mérite pas.
Et je le sais."
Afficher en entier- J'ai besoin de prouver à Owen que je peux le faire.
Elle se met à frissonner lorsque je touche sa gorge. Je glisse la main derrière sa nuque et l'attire contre moi. Nos bouches se joignent et nos langues se mêlent. Elle est contre moi. Elle glisse les bras autour de mon cou et laisse tomber le drap de telle manière que je peux sentir sa chair douce et nue.
Après tout ce qui est arrivé aujourd'hui, ma réaction habituelle aurait été de m'enfuir, de me terrer quelque part, de faire comme si je n'existait pas et de me concentrer sur n'importe quoi, sauf sur la vie ou sur mes sentiments.
A présent, tout ce que je veux, c'est m'abandonner à la sensation de la bouche de Fable sur la mienne, de ses mains sur mon corps, de son corps qui s'agite contre moi. Je veux la plaquer contre le matelas, explorer chaque recoin de sa peau à l'aide de mes mains ou de mes lèvres et la pénétrer, retrouver la puissance de ce lien que je partage uniquement avec la personne qui compte le plus à mes yeux.
Tandis que je contemple la profondeur de son regard, je lui murmure que je l'aime. Le sourire qu'elle m'adresse en réponse, tendre et si plein d'émotions, me fait chavirer.
Elle tient mon coeur entre ses mains. Et pour la première fois de ma vie, je m'abandonne entièrement à elle.
Librement.
J'appartiens à Fable Maguire et je sais qu'elle est à moi.
Afficher en entierIl me demande de la sauver, puis il me largue. Il me déclare sa flamme dans un mot et ne répond pas à mes appels ni mes textos. C'est un abruti.
C'est un sale con.
Afficher en entier"Vous pouvez fermer les yeux devant ce que vous ne voulez pas voir, mais vous ne pouvez pas fermer votre coeur devant ce que vous ne voulez pas ressentir."
Afficher en entier— Tu es jaloux ?
— Quand il s’agit de toi, toujours.
Afficher en entier" Fable est :
Fidèle
Audacieuse
Belle
Lumineuse
Exquise
Je suis désolé.
Drew"
Je laisse échapper un soupir mélancolique. Je crois qu'il essaie de me briser le cœur pour être celui qui le réparera. Il peut me tuer d'un seul mot.
Afficher en entier"Feu et passion
Ardents
Brûlent en nous
Lueurs vives d'un
Extraordinaire amour"
Afficher en entierSi j’avais une fleur à chaque fois que j’ai pensé à toi […] je pourrais marcher dans mon jardin pour toujours.
Alfred, Lord Tennyson
Afficher en entier— Fumer tue, tu sais.
J’ai déjà utilisé cette réplique : au cours du dîner au Country Club, le soir où je l’ai embrassée, où j’ai goûté ses lèvres, où j’ai senti son corps sous ma main et entendu les petits sons qu’elle émet quand elle est excitée pour la première fois.
Elle me jette un regard méprisant en me soufflant la fumée dans la figure.
— Alors, va-t’en. Comme ça, tu n’auras pas à respirer mon air vicié.
Je suis cloué sur place. J’ai peur de l’approcher, qu’elle me dise d’aller me faire voir, ce que je mérite.
— Je suis content d’être tombé sur toi. Je voulais te parler.
— Vraiment ?
Elle hausse un sourcil tandis que sa cigarette se balance au bout de ses doigts.
— Qu’est-ce que tu as à me dire de plus ? J’ai compris le message quand tu as cessé de donner signe de vie.
— Tu as raison. Je me suis comporté comme un abruti.
J’inspire profondément.
— Écoute : je sais que ce que j’ai fait n’était pas bien. Je n’aurais pas dû m’enfuir comme ça.
— Tu ne t’es pas simplement enfui. Tu ne m’as pas donné de nouvelles pendant plus de deux mois ! Et ça aurait pu durer encore si tu n’étais pas tombé sur moi ce soir, je me trompe ? Est-ce que tu avais l’intention d’essayer de m’éviter pendant le restant de tes jours ?
http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/
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