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Épopée romanesque d’une incroyable intensité, chronique poignante de l’amitié masculine contemporaine, Une vie comme les autres interroge de manière saisissante nos dispositions à l’empathie et l’endurance de chacun à la souffrance, la sienne propre comme celle d’autrui.
On y suit sur quelques dizaines d'années quatre amis de fac venus conquérir New York. Willem, l’acteur à la beauté ravageuse et ami indéfectible, JB, l’artiste peintre aussi ambitieux et talentueux qu’il peut être cruel, Malcolm, l’architecte qui attend son heure dans un prestigieux cabinet new-yorkais, et surtout Jude, le plus mystérieux d’entre eux. Au fil des années, il s’affirme comme le soleil noir de leur quatuor, celui autour duquel les relations s’approfondissent et se compliquent, cependant que leurs vies professionnelles et sociales prennent de l’ampleur.
Révélant ici son immense talent de styliste Hanya Yanagihara redonne, avec ce texte, un souffle inattendu au grand roman épique américain.
Traduit dans vingt-trois pays, Une vie comme les autres, lauréat du Kirkus Award et sélectionné pour le Man Booker Prize, a déjà conquis plus d’un million de lecteurs.
En quoi une relation amicale était-elle plus dépendante qu'une relation amoureuse ? Pourquoi considérait-on l'amitié admirable à vingt-six ans, mais suspecte à trente-six ? Pourquoi l'amitié valait-elle moins qu'une relation amoureuse ? Pourquoi ne valait-elle pas plus, même ? Elle consistait en ce que deux personnes demeuraient ensemble, jour après jour, liées non par le sexe ou l'attirance physique, par l'argent ou la propriété commune, mais seulement par un accord partagé de continuer, un dévouement mutuel envers une union qui ne pourrait jamais être codifiée. L'amitié comprenait d'être témoin du lent écoulement des malheurs d'un autre, ainsi que de longues périodes d'ennui, et d'occasionnels triomphes. Elle consistait à se sentir honoré du privilège d'être présent pour quelqu'un dans ses moments les plus sombres, et de savoir que l'on pouvait en retour se sentir déprimé en compagnie de cette même personne.
J'ai transporté ce livre partout avec moi pendant 2 semaines et ce soir c'est terminé. J'ai achevé ce pavé ou devrais-je dire que c'est lui qui m'a achevé. J'en ressors en larmes et si profondément touché par son histoire.
Pourtant j'ai du m'accrocher au démarrage, le roman souffrant de quelques longueurs, de chapitres parfois trop longs et d'une traduction approximative par endroits.
Mais je suis resté pour son intrigue immersive et ses personnages: tous si terriblement humains. Je suis resté parce que j'avais vraiment envie de connaître le dénouement de l'histoire et obtenir des réponses.
On est dans du pur mélo, il y a des scènes souvent difficiles à lire et en tant que lecteur on est poussé dans ses retranchements. Si bien que je ne pensais pas aimer et finalement je suis conquise.
On aime ou on aime pas mais je recommande ce livre en vous conseillant de vous accrocher et en affirmant que vous n'oublierez pas de si tôt son histoire.
Un roman très difficile à "noter" pour moi. Je m'attendais à une claque monumentale suite aux critiques élogieuses, et finalement, bof. Quelques longueurs, une émotion qui tarde à venir. Je sais que Jude est le personnage central, mais je trouve que les autres personnages sont trop relégués à l'arrière plan. Un roman sombre, très très très (trop?) négatif. Alors oui, toutes les histoires ne finissent pas bien, et son aspect tragique est sûrement la singularité du roman. Mais pour moi, c'était juste trop. Un drame, de l'espoir, un nouveau drame, de l'espoir, un drame qui me touche dans sa brutalité (qui correspond à la réalité de la vie), de l'espoir, un drame, un drame, un drame. À l'arrivée, je n'étais même plus étonnée. Quand au bout de 300 pages (sur 1100), tu sais déjà parfaitement comment va finir cette brique, tu as tendance à être plus détaché. Cependant, ce roman ne peut pas me laisser totalement indifférente. D'où ma notation en demi-teinte. À voir quel souvenir il me laissera.
Attention!! Ce livre comporte des sujets sensible pour certaines personnes pas recommander pour les jeunes adolescents mais très bon et très belle écriture.
Je n'ai pas du tout accroché. Longs flash-back et descriptions qui m'ont perdue. Je n'ai pas ressenti grand chose pour les personnages, et encore, quand je me souvenais qui ils étaient. J'ai fini le livre en ne lisant plus que 1 page sur 5, voire juste les dialogues....
Ce récit bouleversant est profondément réaliste dans la manière dont il décrit la vie si complexe de Jude St. Francis. Les émotions nous atteignent forcément, tout autant que la dureté des événements qui ont altéré sa confiance en l'être humain. Les épreuves que le destin lui impose sans relâche en font un être de résilience, et une personne bien plus brave que la plupart des mortels.
La manière dont son passé nous a été dévoilé, à la manière d'une énigme dont les indices étaient éparpillés au fil des pages, capte avec brio l'attention du lecteur. Ma plus profonde gratitude à l'auteure pour avoir écrit cette histoire si poignante.
1100 pages. 1100 pages d’une vie comme les autres. Il fallait que ce soit bien écrit pour me tenir en haleine de cette façon jusqu’à la fin !
J’ai beaucoup aimé suivre ces personnages touchant, tendres, et découvrir petit à petit leur vie et leur passé. Évidemment, j’ai été touchée par le personnage de Jude et par sa relation avec Willem. J’ai aimé le fait de découvrir petit à petit le passé de Jude, je pense que c’est véritablement cela qui m’a fait tenir et continuer ma lecture. Une très bonne lecture que je conseillerai à ceux qui cherchent à s’émouvoir face à des vies dures, parfois banales, mais qui nous restent dans la tête et le cœur.
Depuis que j’ai fini ce livre, il n’y a pas un jour qui est passé sans que je pense au personnage de Jude. J’ai été profondément marqué par ce personnage et son histoire. Le livre est aussi beau qu’il est terrible.
Je commencerai par dire que c’est un livre compliqué et triste.
J’ai eu du mal à rentrer dedans je trouve l’écriture un peu longue (il gagnerait à être moins long) ainsi que la chronologie un peu difficile à suivre ce qui nous perd au début.
En ce qui concerne l’histoire en elle même je trouve elle permet de révéler notre personnalité, car elle nous confronte à un niveau de tragédie et de fatalisme qui nous pousse dans nos retranchements. On se sent nous-mêmes attendris par ce qui se passe comme si c’était personnel (je devais me répéter « c’est une fiction, ce n’est pas arrivé »). Pour ma part j’ai ressenti un léger trop plein de malheur qui au final me mettait en colère et peut être m’empêchait à certains moments de rentrer en empathie avec les personnages. Cette colère me donnait envie d’arrêter mais une forme de curiosité et d’espoir que peut-être j’étais trop pessimiste et que ça allait bien finir m’a poussé à lire jusqu’au bout.
Et je dois dire que la deuxième moitié du livre m’a plus convaincue mais dans un même temps m’a détruite émotionnellement. La colère est partie et à la place une grande tristesse et résignation l’ont remplacée en comprenant au fur et à mesure qu’il n’existe qu’une issue au livre.
Au final je dirai que c’est une lecture qui vaut le coup mais qui doit prendre son temps, et à l’image d’un roller coaster on en ressort un peu retourné.
Bon, je peux clairement dire que CE LIVRE m'a fait pleurer comme jamais au paravent. JE PREVIENS TOUT POTENTIEL LECTEUR DE FAIRE ATTENTION AUX TRIGER WARNING, IL Y EN A BEAUCOUP. Également il est important de préciser qu'un certain âge est recommandé pour le lire afin d'avoir la maturité nécessaire pour encaisser un tel choc/livre.
Bref, Jude et Harold mérite tout l'amour du monde. J'ai aussi beaucoup aimé les personnages de Willem et Malcom, ils sont des amis si fidèles. Spoiler(cliquez pour révéler)D'un côté je suis si heureuse que Jude est pu connaitre le vrai bonheur(chapitre 3 des Années de Bonheur) mais je suis dechirée qu'il lui est été arraché.
Résumé
Épopée romanesque d’une incroyable intensité, chronique poignante de l’amitié masculine contemporaine, Une vie comme les autres interroge de manière saisissante nos dispositions à l’empathie et l’endurance de chacun à la souffrance, la sienne propre comme celle d’autrui.
On y suit sur quelques dizaines d'années quatre amis de fac venus conquérir New York. Willem, l’acteur à la beauté ravageuse et ami indéfectible, JB, l’artiste peintre aussi ambitieux et talentueux qu’il peut être cruel, Malcolm, l’architecte qui attend son heure dans un prestigieux cabinet new-yorkais, et surtout Jude, le plus mystérieux d’entre eux. Au fil des années, il s’affirme comme le soleil noir de leur quatuor, celui autour duquel les relations s’approfondissent et se compliquent, cependant que leurs vies professionnelles et sociales prennent de l’ampleur.
Révélant ici son immense talent de styliste Hanya Yanagihara redonne, avec ce texte, un souffle inattendu au grand roman épique américain.
Traduit dans vingt-trois pays, Une vie comme les autres, lauréat du Kirkus Award et sélectionné pour le Man Booker Prize, a déjà conquis plus d’un million de lecteurs.
(Source : Buchet-Chastel)
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