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Commentaire de LeParfumdesMots

Un(e)secte


Commentaire ajouté par LeParfumdesMots 2019-11-08T16:50:05+01:00

J’avais des aprioris négatifs sur ce roman. Sur les romans de Maxime Chattam. Sur Maxime Chattam. Je n’arrive pas vraiment à me l’expliquer mais, depuis la lecture des derniers tomes d’Autre-Monde, je le considérais comme un auteur à la recherche d’argent et de célébrité plutôt que soucieux d’écrire de « bonnes histoires » authentiques.

Je ne vais pas vous mentir en disant que cette pensée m’a accompagné toute la lecture d’Un(e)secte et je ne comprenais pas, sincèrement, les nombreux articles élogieux déjà parus, surtout concernant ce côté « effrayants » de nos amis les petites bestioles qui n’apparaît que très subtilement. Je me suis alors posé cette question : Que penserais-je du roman s’il avait écrit par un autre auteur ? »

J’ai alors pris conscience que ce roman contient tout ce que l’on attend d’un thriller. Alors que je me disais « que ce roman est long », je m’aperçois que c’est mon impatience de connaitre la suite qui parle à la place de la raison. Maxime Chattam est l’un des plus grands auteurs, l’un des rares à parvenir à rendre le lecteur dépendant de l’histoire. L’alternance du narrateur entre plusieurs personnes coupe l’intrigue aux moments les plus cruels. Il devient alors très difficile de reposer le roman avant de l’avoir terminé.

L’auteur nous propose deux histoires parallèles qui finissent, comme vous vous en doutez, à se rejoindre aux 4/5 du roman pour conclure ensuite en un dénouement haletant et à couper le souffle. On pourrait regretter une fin « bouclée » en à peine quelques pages mais n’est-ce pas là la marque des plus grands auteurs ? D’être capable de nous tenir en haleine jusque la toute dernière page ? Je ne suis pas certain que la comparaison soit acceptée de tous, mais Maxime Chattam est en train de se mettre au niveau de Mary Higgins Clark, la reine du suspense. Vous rappelez-vous le dénouement de La nuit du renard ?

Les personnages sont attachants et on parvient assez facilement à s’immerger à leurs côtés au point de ressentir leurs émotions respectives. Maxime Chattam a veillé à faire de nous les confidents de ses héros, notamment grâce à ces petites phrases en gras et italique qui nous permettent de connaitre ce que pense les personnages bien plus efficacement que les simples descriptions habituelles.

L’écriture est d’une telle simplicité, mais quelle efficacité. Maxime nous donne cette impression que l’écriture est facile et ne nécessite aucun effort. Et pourtant, il a du passer de nombreuses centaines d’heures à se documenter, se rendre sur le terrain ou bien encore parler à des spécialistes. Les descriptions pourraient sembler simplistes à cause de l’utilisation de phrases courtes, très brèves. Mais je peux vous garantir que cela a un effet beaucoup plus dévastateur sur notre imagination. Surtout quand il s’agit de la découverte du cadavre d’un homme rongé par des insectes (que nous aimerons encore moins pour les dix années à venir).

Malgré l’apparence d’un roman qui fait peur (la couverture est sublime), on se retrouve à lire un thriller exceptionnel où l’auteur, à travers des descriptions simples et des personnages authentiques, parvient à nous tenir en haleine de la première à la dernière page.

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