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Si notre amour était une pièce de lingerie, ce serait un corset, lacé de façon si serrée qu'il vous couperait le souffle.

Si notre amour était une pièce de lingerie, elle serait dessinée à l'encre sur sa peau comme un tatouage destiné à se plier et à grandir avec elle.

Si notre amour était une pièce de lingerie, elle serait faite de dentelle transparente qui laisserait tout voir, tout en mettant les deux parties à l'agonie.

Si notre amour était une pièce de lingerie, elle serait en cuir, de fins liens qui pourraient supporter une centaine d'années de guerre et de paix, de disputes et d'abats amoureux. Elle céderait et ploierait sans jamais se déchirer ni se briser. Elle serait faite pour durer, pour tenir éternellement.

Si notre amour était une pièce de lingerie, elle ne s'userait jamais.

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Mon désir est extrême. Je voudrais qu'il écarte les jambes et pose sa bouche sur moi. J'ai besoin qu'il suce mon clitoris et m'excite de ses doigts. J'ai envie qu'il me prenne contre lui et pousse sa queue en moi. Je veux baisser les yeux et voir sa bite nue contre ma peau, voir sa poussée, voir ses abdos se contracter, ses mains sur mes hanches, voir le feu dans ses yeux lorsqu'il me pénètre à fond.

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« Si notre amour était une pièce de lingerie, elle ne s'userait jamais. »

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—  Voilà, j’ai l’intention de la demander en mariage, demain soir. J’ai organisé une fête au bureau –  je vais le faire après. Étant donné que son père n’est plus de ce monde, je me suis dit que c’était à toi que je devrais demander sa main. Je sais, cela fait un peu démodé, mais tu es comme un frère pour elle.

Comme un frère pour elle.

La rage se déverse en moi en emportant mes pensées pour les recracher, portées par des mots secs et mortels comme des flèches de vérité qui traversent l’espace en sifflant pour atteindre leur cible.

—  Je ne suis pas comme un frère pour elle. Un frère ne penserait jamais à la culbuter sur ma table de travail chaque fois qu’elle pénètre dans mon bureau. Un frère ne reluquerait pas son cul chaque fois qu’elle tourne le dos.

Le sourire s’efface de son visage. Quel imbécile ! Il ne se rend donc pas compte de l’effet qu’elle produit ?

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Elle s’endort sur le canapé, les pieds nus étalés sur le tapis, sa robe à paillettes tire-bouchonnée autour d’elle. Je la transporte sur le lit et elle se réveille suffisamment pour se déshabiller, je l’aide délicatement pour baisser la fermeture à glissière et je détourne les yeux lorsqu’elle ôte sa robe longue, quelques coups d’œil à la dérobée me permettant seulement de voir ce qu’elle a choisi de porter dessous pour la soirée –  notre ensemble soutien-gorge et culotte en dentelle Haviar bleu lavande. Je replie la couette et elle se roule en boule dessous.

—  Bonne nuit, Kate.

Je remonte la couverture et dépose un petit baiser sur son front. Au moment d’entrer dans l’autre chambre, je m’immobilise et je me retourne pour la regarder, ses cheveux noirs sont étalés sur l’oreiller, un de ses bras pend sur la couette.

Parfois, je l’aime tellement que c’est douloureux. 

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« Je ne sais pas ce qu’elle porte sous sa chemise, mais voir le string luxueux qui se dévoile, le style reconnaissable, savoir que mon nom est contre sa peau, cela me touche. Ce n’est pas seulement moi, c’est nous, notre amour à l’oeuvre, nos soirées de travail qui s’éternisent, nos disputes, notre passion. »

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—  Maintenant, je vais devoir te divertir pendant les deux jours à venir. Jouer les animateurs, te faire boire plus que de raison à la santé de Hong Kong et t’offrir des vacances inoubliables.

Elle lève les yeux au ciel et ramasse le menu.

—  Arrête. Nous savons tous les deux que je me contenterai du room service ce soir tandis que tu sauteras une putain chinoise quelconque.

—  J’annule la pute chinoise, dis-je d’un ton vexé. Je veux dire, j’avais l’intention de la sauter, mais toi et ta solitude inopportune venez de la priver des plus beaux orgasmes de son existence.

—  Oh là là, dit-elle en levant la carte pour dissimuler son sourire. Arrête ça, je t’en prie.

Son pied cogne contre ma jambe et je regarde ma propre carte, regrettant que cette bague soit toujours à son doigt et que nous ne soyons pas seuls dans le restaurant.

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« Trey passe dans le couloir, il porte son veston et tient ses clés à la main, et je déteste déjà cette paroi de verre qui sépare mon bureau du couloir. Chaque passage de son costume me fait penser à une vitrine remplie de donuts – un million de calories – alignés pour vous tenter. Un million de bêtises, brillamment éclairées et juste à votre portée. »

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« – Vous mélangez tout. J’ai le droit d’avoir des fantasmes, mais je n’ai pas le droit de les mettre en pratique. »

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