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- Je veux partager ma vie avec toi, je veux être monogame avec toi, et mon passé est mon passé. J'aimerais qu'il existe un moyen pour que je te le prouve une bonne fois pour toutes. J'ai un passé sordide, mais je n'ai jamais menti à aucune des femmes que j'ai fréquentées et je n'ai jamais promis à aucune d'elles ce que je t'ai promis à toi.
Afficher en entierJ'ôtai doucement ses cheveux de son visage dévasté, souhaitant le réconforter en voyant si clairement ses émotions dans ses yeux. C'était un reflet de mon propre tourment. Son âme était un miroir de la mienne. Il n'était peut-être pas si loin du compte quand il affirmait que nous étions fait l'un pour l'autre. Je le connaissais depuis si peu de temps, mais parfois il parvenait à me lire si parfaitement, si naturellement, que j'en étais sidérée.
Afficher en entier- D'accord, d'accord. Pardon, j'ai juste vu ces tatouages et je me suis souvenu de ce que vous aviez dit au bar. Je ne pensais pas que tu le ferais, James.
James ricana et me fit un câlin. Il embrassa mon front de façon adorable.
- Je n'en aurais pas été capable avant de rencontrer ma parfaite Bianca.
Afficher en entier- Ce que tu dis là me réchauffe le coeur, ma belle, murmura James contre ma peau.
Afficher en entierJ’écarquillai les yeux et mon cœur s’arrêta quand je vis les lettres rouge sang tatouées sur son torse parfait. Exactement à l’endroit de son cœur, pensai-je. Il avait abîmé sa peau parfaite pour moi. Je sentis des larmes me piquer les yeux.
La pièce autour de nous passa directement en mode chaos : Marnie et Judith se mirent à crier et à sauter comme des folles sans la moindre honte.
J’entendis un ‘qu’est-ce que t’as fait, putain ?’ mécontent de la part de Stephan.
Je pris quelques profondes inspirations, les yeux rivés sur le mot Bianca écrit en petites lettres sur son cœur.
— C’est un faux, hein ? lui demandai-je. C’est une blague, hein ?
Son sourire ne faiblit pas quand il essuya une horrible larme sur ma joue.
— Pourquoi les larmes ?
— Ta peau parfaite. Tu n’aurais pas dû la marquer pour moi. Tu as la plus belle peau du monde. C’est si dommage, lui dis-je en chuchotant.
Il se mit à rire, surpris.
— Tu t’y habitueras. Je pense que tu préfèreras l’autre, me dit-il.
— S’il te plaît, dis-moi que l’autre est sur ta bite !
Je jetai un regard sévère à Judith pour celle-là. Elle fut prise d’un fou rire.
James se mordit la lèvre de sa jolie bouche et il se retourna pour me montrer son dos.
Afficher en entierNous bavardâmes longtemps et nous étions tous les deux d'une humeur plus légère quand il dut se remettre au travail. Je me demandais comment mon cœur pouvait être à la fois léger de bonheur et lourd d'amour.
Afficher en entier- Je n'ai pas besoin de rien de out cela, James. C'est de toi que j'ai besoin maintenant. J'aime ton honnêteté, ta tendresse et ta domination.
J'inspirait profondément, soudain paniquée par les mots qui sortaient de ma bouche. Je ne lui avais encore jamais rien dit d'aussi révélateur.
Afficher en entierLa façon dont il me regarda alors me donna envie de pleurer de désir. Si j'étais assez folle pour croire ce regard, j'étais perdue à jamais.
Afficher en entier— Tu m’as manqué, finit-il par me dire.
Il m’avait manqué aussi, mais je ne pouvais pas le lui dire. Il me troublait encore trop pour ce genre d’honnêteté. Au lieu de cela, je dis la première chose qui me passa par la tête :
— Tu es en retard.
Il serra à nouveau la mâchoire.
— Oui, j’étais dans ma voiture, au milieu de l’appel de travail le plus ennuyeux de ma vie. Je crois que je vais devoir virer mon directeur de New York. Je ne t’ai pas vue arriver et j’ai perdu l’heure de vue. Je te demande pardon. Je ne voulais pas rater une seule seconde de notre temps ensemble, ce qui a rendu cet appel téléphonique si particulièrement pénible.
— Ce n’est pas grave. Pour une fois on était en avance, alors j’étais juste surprise de voir que ce n’était pas ton cas.
— Présente-nous, dit Judith d’une voix forte.
Afficher en entierEnsemble, nous sommes chez nous
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