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- J'adore tes peintures, Bianca. Chaque fois que je regarde celles que j'ai accrochées chez moi, je me sens heureux. Elles transforment ma maison en un endroit sain et joyeux. Je pense au chemin que nous avons parcouru, à tout ce que nous avons traversé et aux choses incroyablement belles que tu arrives à produire, et ça ne cessera jamais de m'étonner. Ça me donne de l'espoir pour le futur.
- J'ai peint ce paysage de montagne parce qu'il me faisait penser à toi. C'était si fort, austère et beau. Et chaque couleur que j'ai utilisée dans cette peinture, je l'ai choisie à force de t'observer. J'ai utilisé la couleur de tes cheveux et de ta peau pour les montagnes arides, et tes yeux sont le ciel. C'est presque un portrait abstrait de toi.
Afficher en entier- Si tu as du mal à le comprendre, je vais te le dire clairement, me dit-il sèchement. C'est sérieux, Bianca. Je n'ai jamais été aussi putain de sérieux de ma vie.
Afficher en entier"- Tu es à moi, me dit-il. Je n'avais aucune idée de ce que je pouvais répondre à ça, mais je n'eus pas besoin de répondre. L'instant d'après il était en train de m'embrasser passionnément, désespérément. "
Afficher en entier— Quoi ? demandai-je d’un ton belliqueux. Oui, j’étais vraiment saoule. Qu’est-ce qu’il y a ? Mr Magnifique est derrière moi ou quoi ?
Stephan pinça les lèvres et j’eus soudain l’horrible sentiment que j’étais tombée en plein dans le mille. Je regardai derrière moi, alors que ma tête me tournait, et je levai les yeux vers le haut, très haut, jusque dans un regard profondément bleu.
— Bonsoir, Mr Magnifique, dis-je d’une voix plus basse, mais toujours manifestement ivre.
Afficher en entierIl tenait une tasse de café dans une main et passait l'autre avec agitation dans ses cheveux châtains. Il était en train d'examiner les tableaux que j'avais accrochés aux murs. J'observais son dos parfait. Il était bronzé, bien sûr. Et il était gonflé de muscles bien dessinés. Mais il était aussi élégant d'une certaine façon, comme le reste de son corps. Son cul avait l'air d'être taillé dans la pierre. J'eux inexplicablement envie de le mordre, mais je retins ce désir étrange.
Je léchai un doigt en m'approchant de lui puis je le frottai fortement sur la peau de son épaule.
Je connaissais beaucoup de filles avec des bronzages artificiels. Si sa couleur avait été vaporisée sur lui, un frottement vigoureux révélerait son secret. Mais la belle teinte dorée ne partit pas.
James me jeta un regard surpris par-dessus son épaule.
- Tu t'amuse, là derrière ? demanda-t-il
Je baissais la main en lui faisant un sourire penaud.
- Pardon. Ne fais pas attention à moi.
Il accepta mes drôles de réactions sans broncher et continua à étudier le mur.
Afficher en entier- Si tu fais ça, tu vas te faire baiser très vite, chérie, chuchota-t-il.
Je supposai que Stephan pouvait nous entendre, puisqu'on était dans un si petit espace.
Je lui lançai un regard noir.
- C'est toi qui as commencé.
J'entendis Stephan étouffer un rire.
James se contenta de sourire d'un air malicieux.
Afficher en entierJe remarquai petit à petit les petits détails plus inquiétants, tout en observant l’immense chambre à coucher. Des brides pendaient du baldaquin. Il y en avait d’autres qui étaient attachées aux colonnes, posées avec soin sur le blanc immaculé des draps.
— Ce sont des cordes ? demandai-je d’une voix haletante. Il y avait une espèce de rampe matelassée au milieu du lit, de la même couleur beige que le tapis. Je ne savais pas à quoi ça servait.
— Oui, répondit-il sans préciser sa pensée.
Mon regard fut attiré par ce que j’avais peut-être essayé de ne pas voir : une cravache noire était posée sur la rampe.
— C’est une cravache d’équitation ? demandai-je, la voix cassante, tout en connaissant la réponse.
— Oui, répondit-il. Il bougea pour la première fois depuis que nous étions entrés dans sa chambre. Il me poussa en avant, toujours en me tenant les cheveux jusqu’à ce que je me trouve plus près du lit. J’ai d’autres jouets que je veux utiliser sur toi, mais je ne voulais pas t’effrayer en les exposant tous.
Je ris avec désespoir. C’est donc comme ça qu’il essayait de ne pas m’intimider.
Afficher en entierJe ne regardais pas souvent du porno. Presque jamais, en fait. Mais j’avais eu un besoin étrange de chercher des sites au contenu BDSM très spécifique la nuit où j’étais rentrée à la maison après avoir vu James pour la première fois sur un vol. J’avais toujours eu une fascination réticente pour le BDSM, et même après la courte interaction que j’avais eue avec James sur ce vol, cette fascination avait été déclenchée, au point de rechercher les choses que j’avais envie qu’il me fasse. Je ne savais toujours pas pourquoi, malgré mon manque d’expérience, j’avais su exactement ce que je voulais qu’il me fasse. Il y avait eu quelque chose dans ses yeux, une trace du dominant en lui qui était si évidente pour moi que je ne pouvais le nier.
Afficher en entier- Même les masochistes ont besoin d'amants, lui dis-je d'une voix douce. Que ferait une fille comme moi sans quelqu'un comme toi ? Peut-être que chaque personne trouve son autre à qui elle convient.
Il se pencha et m'embrassa.
- Merci. C'est magnifique de ta part de me dire ça. Juste au moment où je pensais que je t'étais indifférent, tu me donnes de l'espoir.
Afficher en entierJe fermai les yeux, prête à m'endormir.
Il se coucha à côté de moi, tirant mon dos contre son torse et jetant un bras au-dessus de moi.
- A moi, chuchota-t-il dans mon oreille.
Je me laissai glisser dans un sommeil agréablement profond.
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